1- Oui, j'accepte

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— Veux-tu être ma petite amie? Ma     meilleure amie? Ma compair?

—Suspense...

— Mdr, t'es pas croyable toi!
J'attends toujours une réponse Érika ...

—''Et si je disais non ?'', s'enquit-elle.

— ''Je serai anéanti, sincèrement.'', répondit Cameron.

— Lol. Pour ta réponse...
     Oui, je veux bien. J'accepte d'être ta petite amie Cam.

— Tu viens de m'épargner d'une crise cardiaque ! Mdr.

— Tu ne changeras jamais! Toujours aussi blagueur lol, dit Érika en riant.

— Jamais chérie. Allons du côté jeu pour nous amuser un peu, renchérit Cameron.

— Allons-y.

En marchant, tous les deux, Cameron retint la chaussure d' Érika par mégarde, ce qui dénuda entièrement son talon.


— Cameron: Mince ! La gaffe!

— Érika : T'inquiète ! Ce n'est pas si grave, dit-elle en essayant de remettre maladroitement sa chaussure.

— Cameron: Ça serait plus facile en t'asseyant.

— Érika : Ouais, tu as raison.

— Cameron: Pendant ce temps, je vais payer nos tickets pour les jeux.

— Érika : D'accord, je vais t'y rejoindre après.

Après avoir tant bien que mal remis sa chaussure, Érika rejoignit Cameron.
Ils passèrent un bon moment à jouer aux différents jeux par rapport au nombre de tickets qu'ils avaient pu obtenir.
La nuit tombait déjà, Érika proposa donc de rentrer.

Main dans la main, ils traversèrent la chaussée.
Érika pensait qu'il lui lâcherait la main après, mais il ne le fit pas.
Ils continuèrent à marcher ainsi, ce qui la gênait un peu, n'étant pas habituée. Elle se disait dans un coin de sa tête : << Et si quelqu'un nous voyait ?>>

Mais, très vite, elle dissipa cette pensée de sa tête, ne voulant que profiter du moment présent avec son bien-aimé.

— Cameron: Tes mains sont hyper douces! Je parie que tu ne fais pas les tâches ménagères...

— Érika : Lol, tu dis ça juste parce que mes mains sont douces ! Si j'en fais, mais pas tant que ça.

— Cameron: Tellement t'es une flemmarde, le contraire m'aurait étonné Mdr..., enchaîna-t-il.

— Érika: Remercie plutôt le ciel que nous soyons en public, dit-elle ironiquement.

— Cameron : Alors comme ça mademoiselle me veut pour elle seule ?

— Érika : Tu divagues là, se pressa-t-elle de dire gênée.

— Cameron : Comment rester sensé en ta présence? Le simple fait de te regarder me fait perdre mes moyens.
Je t'aime Érika.

—Érika : Je t'aime aussi Cameron, répondit-elle en le regardant dans les yeux.



C'est ainsi que se passa la veille de l'anniversaire d' Érika.
Elle était heureuse d'avoir accepté la proposition de Cameron, bien évidemment sans savoir ce qui allait s'en suivre ...

Deux sœurs, un amourDonde viven las historias. Descúbrelo ahora