Tome II : 31. Jouet

125 16 0
                                    

Josué

"Je me souviens t'avoir dit que c'était moi qui viendrais à toi quand j'aurai besoin de quelque chose et non l'inverse.

Mirabelle parcouru mon bureau des yeux avant de posé un regard blasé sur moi. Elle passa sa main dans ses cheveux coloré avec une grâce à coupé le souffle et s'assit, voyant que je la fixait un sourire coquin prit place sur ses lèvres.

Quelle conne. Pensais-je

"Que fais-tu ici?

"J'ai constaté que tu ne respectais aucun point de notre contrat... Tu veux la fille et moi Casey. Alors pourquoi essaies-tu de le tué ? Demanda t-elle d'une voix grinçante

"Je n'ai aucun compte à te rendre Mirabelle.

Je me levai impatient de mettre un terme à cette discussion.

"C'est là que tu te trompes. Tu as beaucoup de compte à me rendre Josué, j'ai tué ce putain de secrétaire et traîné son corps là où tu me l'avais demander. J'ai fais tout ce que tu voulais, mais toi tu ne fais rien de ce que je veux. Dit-elle en haussant le ton

Ma main se frappa violemment sur la table, et le visage de Mirabelle blêmit.

Tue - la

"Ce n'est pas assez clair pour toi ou c'est ton cerveau qui commence à être défectueux ?

"Josué... É-écoute moi ...

Elle se leva à son tour et se mit à reculer.

Fais la taire !

Je contournai la table et l'attrapa le cou.

"Putain tais toi!

Ses mains essayèrent de défaire mon emprise, je serra encore plus fort pour qu'elle puisse comprendre que ça ne servait à rien. Son visage virait au bleu et ses main devenaient peu à peu froide.

Je la lâcha au dernier moment. Ce n'est pas l'envie d'en finir avec elle qui le manquait, mais j'avais encore besoin de son aide.

"J'espère que cette... Petite conversation à répondu à tes questions.

"Tu es complètement...malade!

Elle se tenait le cou tout en essayant de reprendre son souffle.

"Je sais. Maintenant sors d'ici, l'un de mes hommes va te ramener.

Je me rassis et me remis à lire quelques dossiers. Le claquement assourdissant de la porte m'informa qu'elle venait de partir.

Les bénéfices avaient chuté de 35%, Casey me bloquait le passage et mon tunnel était encore en construction.

Ceux de la Russie ne faisaient qu'augmenter, la drogue s'y vendait comme des p'tits pains. Et je comptais bien transformer le Mexique en "ma petite Russie".

"Casa bonita (jolie demeure).

Je leva la tête pour rencontrer les iris de Christina, elle ne portai qu'une simple top rouge, une jupe noir et des bottes. Je ne l'avait même pas entendu entré. D'un signe de la main je l'invita à s'asseoir.

"Me hiciste Llamar. (Tu m'as fait appeler). Dit-elle en mâchant vulgairement

"Je déteste quand tu fais ta pute mal élevé, jette moi ce torchon que tu mâches.

"A sus órdenes señor (à vos ordres monsieur)

Elle l'enleva de sa bouche et la jetta dans la poubelle.

"La pute perds son temps à resté là. Crache le morceau Josué.

Son accent la rendait encore plus sexy qu'elle ne l'était déjà.

"Le stress prend possession de mon corps, je me suis dit que tu pourrais m'aider à l'évacuer.

Elle pencha la tête et se mit à rire.

"Josué je ne suis pas un jouet que tu pourras utiliser quand tu voudras.

"Les autres le font... Pourquoi pas moi?

Je me levai pour aller me positionner derrière elle. Mes droigts se posèrent sur son cou que je caressais, sa respiration s'accéléra et ses yeux se fermèrent.

"Je ne suis pas le jouet des autres. Dit-elle entre deux respiration.

"Sois le mien.

Mes doigts continuèrent leur chemin pour caressé l'un de ses tétons déjà dressé sous son t-shirt. Un petit gémissements lui échappa, je cessa tout mouvement et alla me positionner devant la fenêtre les mains dans mes poches.

"¿Por qué me torturas? ( Pourquoi me tortures-tu?) Fini ce que tu as commencer. Dit-elle en se redressant sur la chaise.

"J'ai appris que l'on ne te voyait plus ni dans les rues, ni dans les bars. Pourquoi ? Demandais-je avec un sourire triomphant

"Je n'ai plus envie de me laisser touché par ces gens. Dit-elle en fuyant mon regard

"Je ne te crois pas.

"Tu devrais.

Elle passa une mèche invisible derrière son oreille, tout en gardant les yeux sur l'un des tableaux

"Dis moi la vérité Christina.

Mon ton était ferme et sec

"Je... Je ne veux que toi. Tu es le seul qui est arrivé à me procurer du plaisir depuis des années. Ce que je ressens avec toi dans ces moments sont tellement fort que parfois je pense que je vais mourir de satisfaction.

"Arrête tu vas me faire pleurer.

Un rire m'échappa en voyant l'expression meurtrie sur son visage.

"Je crois que je devrais partir.

Elle se leva et marcha vers la porte. Je le referma aussitôt avant qu'elle ne puisse sortir.

"Je ne t'ai pas encore dit de t'en aller.

Ma main se faufila sous sa jupe et je me mis à caressé son entre-jambe.

"Je ne vais pas te mentir, je ne serai pas ton prince charmant. J'ai déjà quelqu'un en tête, mais cela ne m'empêchera pas de prendre mon pied avec toi.

"Cela... Me suffit. Dit-elle en ouvrant la bouche pour chercher de l'air

Pour l'instant.

J'enfonça deux doigts en elle, et ses gémissements remplirent la pièce. Ma bouche trouva la peau de son cou que je mordillai sans attendre.

"toma me. (Prends moi)

Je sortis un préservatif de ma poche et l'enfila. Ses pieds s'enroulèrent autour de ma taille et je m'enfonça en elle. Un cris aigus quitta sa gorge alors que je continuais mes mouvements tantôt rapide tantôt lent. Ma tête se projeta en arrière alors que je m'enfonçais, plus profondément.

Ma vue se brouilla, mes sens ne répondait plus, j'étais comme programmé. Sa bouche trouva la sienne et nos langues s'unisserent, mon pouls battait tellement fort que je l'entendais.

Et c'est dans un cris presque orageux que j'atteignis l'extase.

CHAINED TO THE MAFIA  (En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant