Six

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                                                                    Au sixième mois de l'année,

                                                                    On n'est plus très concentré :

Ainsi commence la négligence

Et le travail emporté par le vent

Déjà pense aux prochaines vacances

Sous un soleil resplendissant.



Dehors, le monde s'agglutine

Et se faufile comme d'invisible ballerine

Tous veulent somnoler au parc,

A l'ombre des longues journées,

Fouler les abords du lac

Verres fumés sur le nez.



Le soir, le diner englouti,

Beaucoup de gens sont de sortis,

Pour une balade digestive

Ou bien au calme en amoureux,

Entouré de pigeons, de grives,

Et de tourtereaux, les chanceux !



Le mois de juin est aussi

Un moment propice de vie :

N'oublions pas les quelques fêtes

L'énorme feux de la Saint Jean,

Et celle qui trône bien en tête

Où l'on peut danser en chantant.

DouzeWhere stories live. Discover now