Chapitre 14 - Apologizes are done.

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Conversation texto en ITALIQUE


Elza : T'es plus avec Molly ?


Peter : C'est compliqué.


Et je cessai de répondre par message.


Alec : On fait quoi ce soir ?


Elza : Pitié pas de soirées arrosées déjà.


Les garçons rirent.


Alec : T'es pas une vraie Kiwi, Elza !


Maola : Déjà, on va graille à la plage dans l'un de nos resto préférés et après, on aura qu'à aller chez moi, mais en petit comité.


Peter : Ouais, ça marche.


Nous arrivions au restaurant. Nous étions au total 21, les gars et les cinq copines et puis moi. Je ne me considère pas comme la copine d'une des gars, bien que maintenant tout le monde pense que je sors avec Alec. Ce qui est totalement faux bien sûr.


On nous installa sur des canapés afin de prendre l'apéro. Une blinde de cocktail, prions qu'ils soient sans alcool, arrivèrent, avec des chips, des cacahuètes, des bâtonnets de surimi... Alors que je riais avec le groupe, mon portable vibra a nouveau.


Peter : Je vois ta culotte.


Je baissais la tête sur ma jupe et la repositionnait correctement confuse et honteuse. Je me sentis rougir.


Elza : T'es pas obligé de mater.


Peter : C'était plus fort que moi.


Elza : T'as vraiment faim toi, c'est fou.


Peter : C'est toi qui me donne faim.


Elza : Arrête de te sentir pousser des ailes avec moi.


Peter : J'oubliais que tu as Alec.


Elza : Je n'ai pas Alec.


Peter : C'est ce que tu dis.


Elza : Si nous étions vraiment " en couple", on serait déjà à côté, à se papouiller et je perdrais pas mon temps à te répondre.


Peter : Tu perds donc ton temps à me parler ?


Elza : Ouais, en gros.


Peter : Ca te passera.


Elza : De quoi ?


Peter : Cette haine que tu as envers moi.


Elza : Un jour, peut-être.


Emeline se pencha sur mon portable.


Emeline : Tu parles à qui ?


Elza : Personne grosse.


Emeline : Tu m'en parlerais sinon ?


Elza : Bien sûr.


J'avais un sourire à la hypocrite et hésitant. Je n'avais pas envie de m'aventurer sur des terrains glissants, et m'imaginer quelque chose avec ce dragueur, sans coeur. Du coup, j'évitais d'en parler.


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