Cadreur de fortune - BakuShima

9. Le nouveau jeu !

Le titre ne fait référence qu'à la fin du chapitre 😏. Je ne me suis pas trompé, j'ai bien dit "quatre jours", et commencé par le jour 2, car le chapitre précédent, ils avaient fait leur première journée déjà.

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PDV Omniscient :
Le lendemain, ils étaient repartis pour quatre jours.

Jour 2 :
C'était journée kayak ! Ils avaient loué un kayak pour deux et avaient vu les lieux incroyables et même exploré une caverne maritime !

La journée avait un tant soit peu, mal commencée. Il faisait bien plus froid ce jour-là par rapport au reste de la semaine. Mais cela n'avait pas eu l'air de déranger le duo qui n'était couvert que par un short et un débardeur...

Le rouge était excité comme une puce et gigotait beaucoup dans l'engin qui avait plusieurs fois manqué de tomber sous les cris d'un blond enragé.

En fin d'après midi, une fois de retour à l'hôtel, ils sautèrent au salon de massage puis au spa pour détendre leurs muscles endoloris par l'effort.

Ils s'étaient par la suite couchés tôt, déjà H.S vers seulement 20 heures.

Jour 3 :
Katsuki avait attrapé un rhume s'étant mal couvert la veille pendent la virée en kayak. Malgré les apparences, le blond tombait souvent malade même s'il le cachait bien. Contrairement au roux assez résistant.

PDV Katsuki :
Eijiro avait pris la mauvaise habitude, depuis le début du séjour, de taper l'incruste dans mon lit chaque fois que l'occasion se présentait. En général, il squattait, puis repartait dans le sien pour la nuit.

Les seules fois où il s'était endormis dans mon lit, le lendemain, il s'était mystérieusement réveillé dans le sien.

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Ce matin-là, on était resté à l'hôtel, car Eijiro ne voulait pas que je ne m'enrhume plus.

Nous avions passé la matinée dans mon lit, devant la télé, au chaud sous les couettes.

Le midi, déjeuné dans le bâtiment, puis l'après-midi, simple balade dans la ville. L'hôtel louait des motos et nous en avions pris un pour rouler en ville.

Eijiro avait pris soin de me forcer à prendre une veste, et avait décidé de conduire, car je cite : « Si jamais tu éternues au volant, et que d'un coup, tu tournes, ou freine sans faire exprès, on va tous mourir ! ».

Enfin, il avait sans doute raison, même si ça m'écorchait de l'avouer...

Au final, j'aurais pu faire semblant d'être malade pour qu'il continue à s'occuper de tout, mais bon, il me payait déjà le voyage, l'hôtel, et avait passé la journée à me materner contre mon gré.

Jour 4 :
ENFIN LA LIBERTÉ !
Mon rhume était passé et je pouvais enfin sortir sans veste.

Aujourd'hui, nous testions les salles d'arcade thaïlandaises. Nous avions trouvé celle-ci la veille au soir lors de la balade.

J'avais écrasé Shitty Hair à plate couture ! Le seul jeu où il avait gagné, c'était celui de dance.

D'ailleurs, plusieurs personnes mataient son cul pendant qu'il se bougeait comme un asticot. Un regard noir de ma part suffisait à leur faire changer d'occupation dans la seconde.

Depuis la fois au club, inconsciemment, je surveillais que personne ne pose trop ses yeux sur lui, ou ne lui tourne autour. Et je m'énervais lorsque je surprenais quelqu'un à se rincer l'œil.