Tsunade organise ? Jamais !

19.

Tout le monde était fatigué des bêtises de Temari et décidait d'aller dormir pour oublier toutes ces émotions.

****

Tenten et Neji étaient plus que gênés de ce qui s'était passé plus tôt. Aucun d'entre eux ne voulait commencer une conversation.

Tenten : Dis, c'était amusant le action ou vérité, non ?

Neji : Euh... Oui. Jusqu'à que Temari commence ses bêtises

Tenten : Je ne sais pas ce qui lui a pris de sortir des choses pareilles. On lui dit des secrets et voilà ce qu'elle fait. C'est la dernière fois que je lui avoue quelque chose.

Tenten était tellement énervée qu'elle n'avait pas remarqué qu'elle en avait trop dit. C'est quand elle eut fini son monologue qu'elle mit une main sur sa bouche devant le visage décomposé de Neji.

Tenten : Oups... On dirait que j'en ai trop dit...

Neji : Tu... tu lui as avoué quoi au juste ?

Tenten sut qu'elle ne pourrait plus lui mentir longtemps. Elle prit une grande inspiration et se lança.

Tenten : En fait... Je lui ai avoué que je t'aimais... Un peu ? Non beaucoup, je t'aime beaucoup Neji mais je savais pas comment te le dire vu que tu es très fier et froid envers les autres alors je me disais que j'avais aucune chance et...

Neji la coupa en l'embrassant doucement ce qui la surprit d'abord puis elle se laissa aller.

Tenten : Alors... Ça veut dire que tu m'aimes aussi ?

Neji : Euh... Oui, moi aussi je t'aime beaucoup Tenten

Tenten était à la fois hyper heureuse et hyper soulagée. Elle s'endormit avec le sourire aux lèvres.

****

Konohamaru et Hanabi étaient en même temps en colère et en même temps effrayés. Surtout qu'au retour à Konoha, Neji ne se gênera pas de tout raconter à Hiashi.

Konohamaru : Qu'est-ce qui lui a pris de raconter des âneries pareilles ?!

Hanabi : Quand on y réfléchit bien, elle a pas tout à fait tort. Enfin je veux dire, on passe vraiment tout notre temps ensemble et on s'est vraiment embrassés deux fois... Enfin tu m'as embrassé.

Konohamaru : Tu vas pas recommencer ?! Bon, où tu veux en venir ?

Hanabi : Peut-être, je dis bien peut-être, que je ressens un tout petit minuscule truc pour toi ?

Konohamaru : ... Je comprends toujours pas

Hanabi : JE T'AIME BIEN, IMBÉCILE !

Elle avait dit ça tellement fort que Konohamaru en était tombé. Alors la fille qu'il aimait venait de lui dire qu'elle l'aimait aussi. Il se releva et sourit

Konohamaru : Tu... m'aimes ? Tu m'aimes, tu m'aimes, tu as dit que tu m'aimes

Il continuait d'embêter Hanabi là-dessus jusqu'à ce qu'elle le pousse à l'autre bout de la tente.

Konohamaru : Aïe, ma jambe !

Hanabi : Tu t'es encore fêlé la jambe ?!

Elle se mit à genoux à côté de lui pour vérifier quand il lui fit tourner la tête et l'embrassa.

Konohamaru : Tu t'es faite avoir !

Hanabi :*se relevant* Tu n'es qu'un imbécile, ce n'est pas drôle !