Notre amour

attirance

1 semaine est passé depuis cette nuit, je n'arrête pas d'y penser, sa voix, son toucher et même si j'ai du mal à l'admettre, ses grognements de plaisirs. A certain moments, surtout la nuit, je peux encore sentir son toucher ainsi que son odeur. Un sentiment de vide m'accable depuis, comme si je n'était pas entière ainsi mes penser dérive souvent vers lui comme les nuages qui dérive dans un ciel orageux.

 Le premier sentiment qui m'ai venu suite à cette nuit est la honte et le dégout de soi. Puis plus j'y pense, plus je me dis que cette soirée a été le seul moment de ma pathétique vie où je me suis sentit libre. D'une certaine manière, je me suis toujours sentis enchainer, enchainer à cette ville, à mon père, aux préjuger à Poudlard.

 En faite, on m'a toujours rabaisser, sur ma pauvreté au tant qu'à Poudlard qu'ici. A Poudlard, se n'est pas seulement pour mon manque d'argent qui se voit avec mon uniforme d'occasion et les vieux manuels qu'y avait appartenu à ma mère qu'en elle avait été élève comme moi. En première année, Poudlard était ma seule chance de m'en sortir, malheureusement c'est devenu un enfer pour moi dès le moment où j'ai poser les pieds dans le Poudlard express.

 Les gryffondors avec le groupe de James Potter en tête pour avoir était trier à serpentard et les serpentard pour être un sang-mêlé. Le plus dur c'est la nuit, des fois je n'arrive même pas à fermer les yeux la nuit par peur de se qu'ils peuvent me faire ou par les cauchemars de ce que sera la prochaine blague des marauders, les seuls en qui je peux faire confiance sont Regulus et Narcissa Black.

 Bien qu'au début j'ai franchement eu du mal avec Regulus avec sa ressemblance avec son frère et Narcissa bien qu'elle le cache, elle est fasciner sur la mode moldu toujours en évolution à partir de mes dessins qu'elle a vu. Elle m'a même dit que si un jour j'arrivais à ouvrir ma propre boutique de mode dans le monde moldu ou sorcier d'ailleurs, elle m'aiderai. 

Enfin bref, je dois absolument me dépêcher si je ne veut pas être en retard à mon travail.

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Se soir là, il était revenu, j'essaya de l'ignorer du mieux que je peux même si parfois mon regard se tourna vers sa direction pour m'assurer qu'il était toujours là et non un fruit de mon imaginations. Même si se soir là, il y avait plus de monde que d'habitude puisque c'était le week-end mais même avec cela, je pouvais toujours sentir son regard me fixer comme si il voulait me manger.

Depuis lors, il était revenu tous les jours. Au bout du dixième jours, tous était comme d'habitude jusqu'à que je rentre chez moi. Un groupe de 5 hommes m'ont entouré, prise de panique j'essaya de sortir ma baquette sachant que dans le quartier où je vivait se n'était pas bon signe. Puis une prise de conscience m'était venu, horrifier je me suis souvenu que c'était des moldus donc je ne pouvais pas utiliser la magie sous peine de me faire casser ma baguette ainsi que me faire expulser de Poudlard.

 J'était figer sur place, j'ai commencé à imaginer le pire scénario de ce qu'ils peuvent me faire quand tous d'un coup, j'entendis des coups de feu. Puis un, puis deux, puis trois et enfin les deux autres. Ils étaient tous étendu par terre, morts. J'ai vu une personne s'approcher de moi... c'était Xanxus. Ne voulant pas réfléchir de se qu'il venais de se passer, j'alla vers lui pour aller dans ces bras.

 Il ne m'a pas repousser, au contraire, il m'a serrer encore plus fort. Puis l'entement, on sait regardé, sans que je ne me rende compte, on était entrain de s'embrasser. Le sentiment de vide que j'avais depuis cette fameuse nuit de notre rencontre avait disparu et à la place, je pouvais ressentir une chaleur monter en moi. Puis la réalisation ma frapper, même si sa ne faisait pas longtemps qu'on s'était rencontrer et que je n'avais passer qu'une nuit avec lui. Moi, Severina Snape, la personne que personne n'aimer, était tomber follement amoureuse d'un étranger... qui l'aurait cru, pas elle en tout cas.