Khadija: Le destin va-t-il me sourire !?

partie 44.

Les jours filaient à l'éclaire et ma situation avec belle mère ne s'est toujours pas stabilisée. Elle devient pire chaque jour. Elle me fait la misère et le pire je peux rien dire à mon mari. Au début je croyais que je pouvais arranger seule les choses mais quand elle m'a clairement dit: tu es la principale cause de tous les maux de mon fils. Tu porte la poisse, tu es une malédiction khadija. T'as tué tes deux parents et maintenant ta prochaine cible c'est mon fils!? Tu te trompes parceque jamais je ne te laisserai faire. Tu vas d'abord quitter cette maison parceque tu ne sers à rien, tu ne peux même pas donner un enfant à ton mari. C'est seulement manger, te coucher qu'est le meilleur que tu saches faire. Et sache une chose, la fille que tu n'imagine même pas rentrera dans cette maison comme ta rivale, et en peu de temps tu partiras crois moi. Dégage de ma vue sale malpropre.

Vous voyez l'effet de Hourey, cette femme est plus diabolique que je ne le pensais. C'est l'incarnation du mal en personne.  Mais je m'en remets à dieu. Il est le seul qui pourrait améliorer ma situation. Parceque le dire à mon mari dégradéra la relation mère-fils et ça je ne le souhaite pas. Déjà qu'elle me déteste maintenant si Mohamed agit mal avec elle, elle déversera sa rage sur moi.
Elle est insupportable cette femme. Je sens vraiment pas son séjour ici pour soit disant '' prendre soin de mon fils''

Ces derniers jours, chaque jour que dieu fait, Aïcha passe la journée ici. C'est pour vous dire qu'elle veut clairement séduire mohamed.....ah Aïcha si tu savais......

Moi: bébé c'est bon on enlève le plâtre aujourd'hui.

Lui: enfin... Et les bandages aussi j'en ai assez. Je me sens attaché là.

Moi: mdr... Tourne toi.

Je commençais par les bandages, les blessures avaient cicatrisé, je les nettoyais chaque fois et l'obligais à prendre ses médicaments, on aurait dit un peut enfant.
Ensuite le plâtre.

Moi: wow masha Allah ça va...

Lui: ah ouais, avec tes soupes par ci par là c'est normal que j'aille bien.

Moi: mdr ... T'es médicaments alors.

Lui: merde...

Moi: ouvre la bouche allez... Ouvre. C'est pas toi qui disais que j'aime pas les médocs voilà...

Lui: c'est grave amer.

Moi: abon, attends.

Et je l'embrasse. Je m'y prenais bien car oui mr a veillé à ce que je devienne une experte en baiser.

Lui: je prendrais toujours mes médicaments jusqu'à guérir complètement.

Moi: mdr pour le baiser...

Lui: bah ouais, ces douces lèvres sucrées hmmmm......

Moi: mohamed ta mère nous regarde arrête...

Et il se tourne vers ces dernières ( Aïcha et belle mère) qui me lançaient des missiles de regard depuis un moment.

Je leur fis mon plus beau sourire et me dirige vers la cuisine.

Belle mère m'y trouve après quelques instants.

Elle: sale impoli c'est devant moi que tu fais tes chichis à ton mari!? T'as pas honte!?

Moi: mon premier jour dans cette maison vous m'avez dit: mets toi à l'aise. C'est la maison de ton mari, fais tout ce qui te fait plaisir. Et c'est ce que je mets en application.

Elle: ce n'est plus pour longtemps.

Moi: que le meilleur gagne alors....

Je prends mon plateau et pars en souriant.