Partie 30.
(youyouyouy) Alors petit rappel moi je suis originaire de TUNISIE , mais quand j'atterris à Paris, je viens pas de Tunisie, je viens d'une ville du centre de la France. Je suis née en France voilà.
J'arrive enfin il me regarde et il est choqué ! Voilà ca tête « »
-Salim : C'est qui qui à fait ça ?!
Arrête de me hcheume devant ma mère toi !
-Moi : Personne, bref on y va ou quoi ?
-Mama : Oui weldi ramène là, tu attends avec elle sil te plait !
-Salim : Tqt Khelti, je te ramenerai ta fille .
Je sors, ma mère ferme enfin à la porte, et entre la fermeture de la porte, et le moment où il ouvre sa bouche, même pas 2 sec sont passés !
-Salim : OH SHERAZADE CEST QUI QUI T'A FAIT CA ?
-Moi : Personne.
-Salim : OH JE REPETE PLUS, CEST QUI QUI T'A FAIT CA ?
-Moi : Tu veux vraiment savoir ? A cause de tes conneries, voilà où j'en suis. T'es qui toi hein t'es qui pour me faire souffrir comme ça, t'es qui toi pour que j'me fasse taper hein ? Regarde moi bien (je commence à pleurer, ma voix tremble) j'suis une grosse pute si je t'adresse encore la parole après tous ça ! Moi j'suis une merde c'est ça ? Hein , moi j'suis une merde, toi tu marches sur moi ? Bah tu sais quoi SALIM VA TE FAIRE FOUTRE, t'as entendu ? VA TE FAIRE FOUTRE !
Et j'pleure toute les larmes de mon corps, mais tout en avançant, j'crois lui il est choqué, mais qu'il se remette un peu en question non ? Il se prend pour qui sah ? J'étais en mode trop vénère, et fcmt à partir de ce jour-là dans ma tête c'était clair, lui et moi plus jamais !
Il ne parle pas, j'avance tous doucement dans sa voiture, parce que j'suis sur que j'avais un côte cassé tellement j'avais mal ! Je mets 2h à rentrée dans la voiture, je faisais la fille dure, mais ça se voyait à mon visage que j'avais mal des fois je lachais des petits cris donc j'étais cramé.
Une fois enfin assise, la ceinture bouclé, il me regarde avec pitié.
-Moi : Garde le ton regard de pitié, j'en veux pas !
-Salim : ...
Et ouai, il ne répondait pas, j'crois que cette fois-si j'ai été très claire !
On arrive enfin aux urgences, et je pleure de douleurs, mes côtes m'faisais trop mal. J'arrive pas à sortir de la voiture, il fallait vraiment faire un effort sur les jambes. Bon Salim ensuite il voit que j'arrive pas à me lever, il vient du côté passager et me TEND sa main !
Je le regarde de haut en bas et je dit :
-Moi : Pas besoin de ton aide.
Il ne réponds pas, s'écarte. Je me lève enfin, avec les larmes aux yeux, ouai j'pleurais de douleur.
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Chronique de Shérazade : seule à paris
General FictionThug love à l'ancienne histoire réelle Chronique Enregistrée