𝐋𝐢𝐥𝐢𝐭𝐡 [18 +] 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬

𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐬𝐞𝐢𝐳𝐞

Chapitre seize

Présent (France)

Je suis là, debout sur le sol, et tous ces hommes me regardent. Je respire difficilement, je ne dois pas réagir comme il le voudrait.

Alors je garde mon calme et je me lève. Je relève le menton et regarde dans les yeux de ces hommes, puis dans ceux d'Adrik.

- " Et alors ? Vous allez les laisser 'jouer avec moi' et faire quoi ? Tu vas prendre une vidéo de nous et l'envoyer à Lorenzo ?"

- " C'est exactement ce que je voulais faire ". Il sourit.

- "Lorenzo n'en a rien à faire de ce que tes gars peuvent me faire, non pas que je vais les laisser faire..."

- "Hmm je pense que ça va le faire venir plus vite". Il répond.

     

Point de vue de Lorenzo

- "Boss ! Quelqu'un nous a envoyé une vidéo."

-"Et pourquoi est-ce que je m'en soucierais ?" Je réponds.

- "Je pense que vous devriez la regarder. C'est Lilith."

En entendant son nom, j'ai levé les yeux et je me suis intéressé à ce qu'il disait.

-"Montre-moi."

Il s'approche de moi et me tend son ordinateur portable. Il fait jouer la vidéo.

Il faisait sombre et c'était dans un sous-sol. Qu'est-ce que c'est que ça ?

- "Qui nous a envoyé ça ?"

- "Les Russes." Donc c'est vraiment Adrik qui l'a kidnappée.

Il y a beaucoup d'hommes dans la pièce. Et puis la caméra montre Adrik.

- "Bonjour, Lorenzo. Comment tu vas ? Tu sais, je ne voulais pas faire ça mais j'ai vu cette belle jeune femme qui avait besoin de mon aide pour te combattre. Mes hommes m'ont dit qu'elle était ta petite pute et que tu voulais la récupérer, alors j'ai compris que je devais saisir cette opportunité. Tu as 48 heures pour venir ici et la récupérer. Et je veux avoir une conversation avec toi."

Puis la vidéo montre Lilith qui se fait poussée pour qu’elle soit à genoux. Elle se débat. Elle attrape les bras d'un homme et les tord. L'homme crie. Un autre homme s'approche d'elle mais avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, elle attrape sa jambe et la touche jusqu'à ce qu'elle soit juste à côté de son entre-jambe. Puis elle le gifle violemment.

Elle essaie de se lever mais il y a trop d'hommes.

- "C'est une sacrée battante. Mais honnêtement, avec tous ces hommes, elle ne peut rien faire." Adrik commente.

-"Faites-la crier et supplier", ordonne ce salaud.

Je commence à perdre mon sang-froid. Ce bâtard ne prend pas seulement ce qui est à moi, mais il veut la faire souffrir ? Je suis le seul à pouvoir le faire.