Chapitre 17 : Soirée Entre Amis Ou Presque

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PDV : Emily

Lorsque je vois la porte de l’ascenseur se fermer et je regarde la pile des dossiers que j'ai à faire puis je les glisse dans mon sac, je prends ceux que j'ai fini pour les donner à Hotch, je monte vers les bureau et je toque à celui de Aaron.

Aaron : Entrez.

Emily : J'entre et il sourit en voyant que c'est moi. J'ai fini ses dossiers.

Aaron : Poses-les sur mon bureau. Je contourne son bureau, je me trouve à côté de lui et je pose mes dossiers avant de poser ma main sur son épaule.

Emily : Il n'y a plus personnes sauf nous. Il sourit et se lève avant de m'embrasser, il passe ses mains dans mon dos pendant que les miennes viennent caresser ses cheveux.

Aaron : Laisse-moi deux minutes pour finir mon dossier et je suis tout à toi. J'acquiesce.

Il se rassoit pendant que je vais m’asseoir sur son canapé en face du bureau. Je commence à défaire les premiers boutons de mon chemisier, une fois arrivés à mon soutien-gorge je me lève et commence à marcher et faire le tour du bureau, quand je passe près de lui, je passe ma main dans son dos, sur sa nuque ou dans ses cheveux.

Aaron : Emily, il dit d'une voix rauque de désirs, j'arrive pas à finir mon dossier, il faut que tu arrêtes.


Emily : J'ai pas envie.

Aaron : S'il te plaît.

Emily : Non, je pose ma main sur le dossier de sa chaise et le pousse pour que nous soyons l'un en face de l'autre et je m'assoie à califourchon sur ses genoux.

Il passe ses mains sur mes fesses et il me tire un peu plus vers lui, je pose mes lèvres sur les siennes et je l'embrasse, nos langues se rencontrent et commence à jouer ensemble, mes mains caressent ses cheveux et je défais sa cravate et déboutonne sa chemise. Je jette tout par terre.

Mes lèvres se déplacent dans son cou que j'embrasse et suçote avidement, il gémit. Ses mains finissent de défaire mon chemisier et il l'envoie rejoindre ses vêtements, il passe ses doigts sous mon soutien-gorge puis il le dégrafe et le fait tomber aussi. Je descend mes lèvres sur son torse que j'embrasse tout en entier, je m’attarde sur ses abdos, il gémit, ses mains passe sur mes cuisses puis il attrape mes poignets et les tient dans mon dos, il glisse ses lèvres dans mon cou qu'il embrasse, puis il descend ses lèvres sur mes seins qu'il embrasse et suçote avidement, je gémis.

Je défais mes mains des siennes et je les passe sur son torse, je les fais glisser jusqu'à sa ceinture et je la déboucle, je défais son pantalon puis je le fais glisser sur ses jambes très vite suivit de son boxer, il gémit lorsque je caresse son membre et il reprend mes poignets dans une seule de ses mains cette fois et il défais mon pantalon de son autre main et il le fais glisser ainsi que ma culotte, tout finit au sol.

Ses mains passent sous mes fesses, il me tire encore plus vers lui, puis il passe ses doigts à l'intérieur de mes cuisses puis il joue avec mon point sensible, je gémis,avant d'introduire l'un de ses doigts en moi, je gémis. Il retire ses doigts et j'en profite pour soulever mon bassin et je me rassoie en me plaçant sur son membre, on gémit en même temps. Je commence à bouger, je fais des va et vient de plus en plus rapide, je l'embrasse pour étouffer nos gémissements, mes mains caressent ses cheveux puis ses épaules. Il se déverse en moi, nous faisant gémir en même temps dans un moment de plaisir intense. On s'embrasse et on se décolle pour se rhabiller. J'embrasse Aaron une dernière fois avant d'ouvrir la porte du bureau.

Aaron : On se voit se soir, je finis mon dossier et j'arrive. Il me tend ses clés. Tu m'attends chez moi.

Emily : OK, à toute à l'heure, je t'aime.

Aaron : Je t'aime.

PDV : Morgan

Une fois que nous avons retrouvé Rossi et les autres, nous trouvons un bar, je m'assoie entre Rossi et Reid, Reid est à côté de Garcia et J. J à côté de Garcia, le serveur arrive.


Morgan : Je vais prendre un Rhum.

Rossi : Un whisky, pour moi.

J.J : Moi une tequila.

Garcia : Moi aussi.

Reid : Moi je vais prendre un whisky aussi.

Morgan : Tu bois toi ?

Reid : Comme tout le monde je m’hydrate. Il sourit.

Morgan : Tu sais ce que je veux dire.

Reid : Je fais ce que je veux, non mais oh. Je lève les bras en signe d'apaisement et il rigole.

Rossi : C'est pas tout mais moi je suis bien content d'être revenue de ce froid polaire.

J.J : Moi je préfère quand il fait froid que quand il fait chaud comme dans le désert du Sahara.

Reid : Non, tu peux pas dire ça, Sahara ça veut dire désert donc si tu dis désert du Sahara, c'est comme si tu dis désert du désert.

Morgan : Tout le monde rigole. Qu'est ce qu'on ferait sans toi Reid ?

Reid : Tout le monde continue de rire, il se penche pour que moi seulement je l'entende. Il faudrait que tu te trouves un autre petit ami.

J.J : Alors Garcia, as- tu trouvé quelque chose dans le téléphone de Derek ?

Morgan : Tu as piraté mon téléphone ? Je sens Spencer s'agiter, je suis sûr qu'il est en train de repasser tous les messages que l'on s'est envoyé pour trouver si il y a des choses compromettantes.

Garcia : J.J, celle-ci se prend une tape sur l'épaule. C'est possible, Derek.

Morgan : Non mais je rêve.

J.J : Alors ?

Garcia : Je n'ai rien trouvé de bizarre.

Morgan : Je souris. Tu vois.

Garcia : Sauf que j'ai pas fini de tout fouiller.

Morgan : Je t'interdis de continuer à fouiller.

Garcia : En même temps tu ne me dis rien.

Rossi : Il a le droit d'avoir une vie privée.

Morgan : Merci Rossi.

Rossi : En même temps, si tu leur dis une fois pour toute qui c'est elles arrêteront de te saouler.

Garcia : Merci Rossi.

Morgan : Enfaîte Rossi tu ne sais pas quel camps choisir et pour ton information je pense qu'elle me saoulerait encore plus si elle savait qui c'était.

Rossi : Je suis pas le seul à ne pas savoir quel camp choisir, Reid non plus ne dit rien.

Morgan : Il lève les mains comme pour dire qu'il était innocent. Reid.

Reid : Ne se prononce pas. Tout le monde rigole.

On continue à parler de tout en de rien jusqu'à ce qu'il soit très tard et que nous rentrions. Spencer un peu saoul même s' il n'a bu qu'un verre, c'est lui qui à passer le reste de la soirée à passer sa jambe contre la mienne ou à poser sa main sur ma cuisse, tout en faisant attention à ce que personne ne remarque. Il est saoul mais il fait attention, c'est très drôle.

Pas si impossible Where stories live. Discover now