Pas si impossible

Chapitre 2 : Révélation

PDV : Morgan

J'ai passé la nuit au commissariat pour des meurtres que je n'ai pas commit. Surtout pour celui de Damien Walters qui est mort hier, je suis le dernier à l'avoir vu. J'ai pu appeler Hotch mais franchement j'ai pas envie que toute l'équipe fouille dans ma vie.

Je n'ai pas dormis de la nuit en même temps ça fait presque 12H que je suis là assis comme un con à ne pas savoir se que j'ai fait de mal.

Gordinski : Alors Derek bien, dormis ?

Je ne réponds pas et il m'explique que je suis « coupable » de trois meurtre dont celui de Damien Walters.

Morgan : Je n'ai pas commis c'est meurtre, je suis innocent, je n'était même pas là quand vous avez découvert la deuxième victimes.

Gordinski : C'est vrai, mais tu venais juste de partir, tu n'as pas d'alibi et tu corresponds au profil que ton collègue m'a envoyé.

Morgan : Je fais parti des fédéraux et beaucoup de gens m'en veulent, vous ne pensez pas que quelqu'un a pu me mettre tout ces meurtres sur le dos.

Gordinski : A oui et qui ?

Morgan : Euh... Redney Harris

Gordinski : Le chef de gang ?

Morgan : Oui, il était là hier à la maison des jeunes.

Gordinski : C'est tout se que tu as Derek, un chef de gang ?

Morgan : Ça ne vous suffit pas, il vous faut quoi un tueur, un dealer, un violeur … Dites moi.

Gordinski sort de la salle pour rencontrer Hotch et l'équipe. Hotch rentre dans la salle et me demande comment je vais.

Morgan : A votre avis je suis assis là depuis 12H et je suis accusé de trois meurtres que je n'ai pas commis.

Hotch : Derek

Morgan : Je vous demande une chose ne fouiller pas dans ma vie privée.

Hotch : Derek, tu sais très bien que se n'est pas possible.

Morgan : Si c'est possible on vit 24H sur 24H ensemble, j'ai le droit d'avoir un passé et une vie privée.

Hotch : Comme le fait que tu es un casier ?

Morgan : Je n'est pas de casier, il a été épurer.

Hotch : Je sais, grâce à un homme qui dit ne pas t'avoir vu depuis 15 ans. Pourquoi n'as tu pas revus cet homme ?

Je reste muet et en colère jusqu'à ce qu'il s'en aie. J’entends des voix et je vois entrer Reid dans la pièce, je sais pas pourquoi il est là mais il s'assoit à côté de moi dans une chaise et il s'approche de moi pour faire le moins de bruits possible.

PDV : Reid

Reid : Il faut juste que tu m'écoute cinq minutes et après Hotch m'a autorisé à ouvrir la porte pour que tu puisses partir arrêté le coupable, on s'est tous que tu sais qui c'est.

Morgan : OK, vas-y, je t'écoute

Reid : Emily et moi, on est aller chez toi pour parler avec ta famille et quand Emily est partie à la maison des jeunes. Ta mère m'a autorisé à fouiller dans ta chambre et j'ai trouvé des photos déchirés ou des notes que tu as écris. Je suis le seul à le savoir je n'ai rien dit à personne.

Morgan : se lève et passe ses mains sur son visage Pourquoi je ne l'ai est pas brûler ?

Reid : Alors tu ne m'en veut pas ?

Morgan : …

Reid : Je suis désolé, tu veux en parler.

Morgan : …

Reid : Morgan.

Je me lève et pose une main sur son épaule, il se retourne, on est près, vraiment très près enfaîte il y a seulement quelque centimètre entre nos deux torses. On se fixe du regard.

Morgan : euh... Non. Il se recule et commence à sortir. Je lui attrape le bras pour qui se retourne.

Reid : Il faut que l'on soit discret, Gordinski n'est pas au courant.

Morgan : On ?

Reid : Oui, je viens avec toi, Derek ouvre les lèvres pour dire quelque chose, se n'est pas négociable.

Morgan : OK, suis-moi.

Reid : On va où ?

Morgan : A la maison de jeunes, pour arrêter Carl Beford, mais avant on va sur le terrain de foot je veux parler avec James.

Reid : James Barfield, c'est une sorte de mini toi ?

Morgan : Pour Carl et le foot. Oui.

Reid : OK.

Nous partons discrètement, pour que personnes ne s'en rende compte. Puis nous allons en direction du terrain, Derek ne parle pas. On retrouve James sur le terrain comme Derek l'avait prédis et il me demande de rester en retrait le temps qu'il parle un peu avec James.