Chapitre 6 - L'endroit

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Eva se réveilla, se matin, avec la boule au ventre. Demain, le lycée reprenait, et ça la stressait au plus haut point. Elle aimée le lycée, la n’étaies pas la question. Elle avait juste du mal avec les intéractions sociales. Elle n’avait pas vraiment d’amis, et sa seule distraction durant les récréations, était de lire un livre adossé au « vieux du font de la cour » ( c’est comme sa qu’Eva appelait le grand chêne qui se situait, comme son nom l'indiquer, au fond de la cour).
De cette endroit, elle pouvait voir comment les jeunes de son âge se comportaient. Elle ne faisait de mal à personne, et personne ne lui faisait de mal.

Mais même en se persuadant de cette vérité, Eva ne pouvait empêcher le nœud qui se formait dans sont estomac. Il semblait indémêlable.

Elle regarda par la fenêtre, essayant de chasser tous ses affreuse pensée. Le soleil se lever lentement, le ciel était dégagé, elle opta donc pour une balade matinale, espérant que son nœud a l’estomac se dénoue avec un peu d’exercice.

Eva se vêtit d'une magnifique robe d’été verte à manche courte un peu bouffante qui lui arrivait juste au-dessus des genoux. Elle enfila ensuite ces Doc Martens noir et sortie de sa chambre.

Dans le salon, seul Tom était réveillé, il était assis à table, le regard rempli de fatigue, un bol de céréales sans lait était posé devant lui. Elle fit un bisous sur le front de ce dernier, attrapa une bouteille de lait, un verre et une pomme, se servait un verre de lait et en profita pour remplir le bol de son grand frère. Eva avala d’une traite son verre de lait pendant que son frère lui bredouilla un bref « merci » à peine audible. Elle lui re-fis un bisous sur la joue cette fois en dit. 

« Je vais me promener, je serai là pour manger, ne m’attendez pas. »

Tom ne répondit pas et Eva, quant à elle, partit en un éclair, sans claquer la porte de chez elle, pour ne pas réveiller sa famille.

Une fois sortie de la maison, Eva s'aperçut qu’elle ne s’était pas coiffée ce matin, elle avait encore sa queu de cheval de la nuit dernière. Elle décida de tout simplement se lâcher les cheveux, « comme ça, plus besoin de re-rentrer » dit-elle.

Et c’est le sourire au lèvre et les cheveux dans le vent que sa balade commença.

Eva évoluait tranquillement dans le parc. Autour d’elle il y avait des gens qui pic-niquai, assis sur une nappe, d’autre jouer avec leur chien ou encore faisait tous simplement comme elle, c’est à dire se promenai.

Elle avait l’habitude de venir dans se parc, elle l’aimait beaucoup. Elle l’aimait autant car, un peu plus loin dans la clairière qui collait le parc, avec le temps, elle avait aménagé un petit banc et une balançoire accrochée a une branche du sol-pleureur magnifique qui l’a caché des autres grâce à ses feuilles. Mais elle l’appelait « L’endroit », comme sa, aucune information sur sa cachette n’était révélée.

Ces derniers temps, elle n’était pas beaucoup venu à L’endroit, et sa lui manquait terriblement.

Eva s’assît sur sa balançoire et commença à se balancer d’avant en arrière tous en réfléchissant à voix haute comme à son habitude quand elle avait un peu de temps seule.

« Faisons le point, mes voisin sont 2 frères qui n’ont pas le même nom de famille et une petite fille. Mais si sa se trouve, il ont la même mère mais pas le même père, se qui expliquerais l’es nom différent. »
Eva été satisfaite de son hypothèse, quant une autre pensée lui traversa la tête.

« Mais qui pourra bien être là mère de Delphine? Bash nous en aurait parler quant on faisait connaissance si sa femme devait arriver plus tard… Ou alors il la fait’ et j’ai pas écouté. C’est très probable. D’autant plus que je suis casiment tout le temps dans mes pensées, il doit se dire plein de truc pendant se temps… Mais dans la tête aussi il se dit plein de trucs. Je ne peut désidément pas faire ces 2 choses à la fois... »

Suite à son monologue, Eva fixa un point invisible pendant que la balançoire montait de plus en plus haut.

Puis elle eu comme une révélation, elle sautât de celle ci.

« Il faut VRAIMENT que je repeigne se fichu plafond. »

Et elle partit acheter de la peinture bleu pastel (comme ses murs) et blanche, et rentrat’ les bras chargés, chez elle.

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La fille de l'Aviateur Where stories live. Discover now