Chapitre 2 - rencontres des Millers

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« Tu vas bien ? Je suis si fière de toi tu sais » lui confia son père, qui l’étrainer encore.

« oui je vais bien, tout vas bien » lui a-t-elle répondu peut sur d’elle.

Elle avait adorer la sensation que se saut lui avait procuré mais elle ne pensais pas ressauter de si tôt. A défaut de ne pas arrivait a arrêter de pensé, elle pourrais au minimum arrêter ces chutes volontaire. Elle avait trop peur que se qui venait de se produire recommence. Mais elle souriait. Il ne faut pas oublier que s’était pour son père qu’elle avait fait sa et non pour elle. Alors autant accomplir la tache jusqu’au bout.

Paul l’aida a se relevait pendant que le moniteur lui enlevait le matérielle qu’elle avait garder jusque-là.

« On rentre ? », Eva n’attendais que sa, de pouvoir se poser sur son lit et de réfléchir a se qui venait de se passer (oui elle ne s’arrêter jamais). Alors elle accepta de bon cœur. Ils montaire dans la voiture de son père et partirent en direction de cher eu.

Eva habitait au Canada, a Toronto précisément, avec son père, sa « mère » et ses 2 frères. Sa mère n’était pas sa mère, mais était la réelle mère de Tom et Charly.

Sa réelle mère n’avait était qu’une amourette durant une mission en France de 1 ans que son père avait accepté il y a 16 ans maintenant. Et cette petite amourette avait suffit a lui donnait la vie. Son père et sa « mère » ignorais qu’elle était au courant de tout. Elle était tombé sur un album photo de cette fameuse mission dans le grenier il y a de sa environ 2 mois.

Se qui l’énerver d’autant plus c’est que son père ne lui disait rien, et continuer a alimenter se mensonge. Quant elle a appris sa, elle fus dévaser, mais elle a trouvé intéresser de voir combien de temps se mensonge pouvais durer, et en combien de temps il pouvait détruire la famille. Alors elle n’avait rien dit, et elle souriait.

Enfin bref, durant le tragé aucun mots n’avait était échanger. Lui était trop occupé a se réjouire intérieurement pour sa fille. Elle, elle était trop occupé a réfléchir a sa rentré a venir.

Oui car la rentrer se ferrais le sur-lendemain. Aujourd’hui on était Samedi, et Eva rentrer en terminale Lundi. Elle était un brin stresser par cette événement impromptue. Mais elle se qui la fessait se réjouir de cette rentrer était quelle se sentait comme une héroïne d’un roman qui devait bravé son destin pour survivre entre une horde d’adolescents en plein puberté.

Une fois arrivé a leur maison, Eva déssendit de la voiture, adressât un maigre sourire a son père et rentrât dans leur demeure. Sur le canapé elle trouvas c’est deux frères qui regarder la télé.

Tom était le plus âgés de la famille, il avait 18 ans, et Charly avait le même age qu’Eva, donc 16ans. De la sorte, elle savait donc que sont père était partie en mission laisser une femme enceinte avec un petit garçon de 1 ans. Elle le trouvas un peu moins héroïque d’un coup.

Eva ignorerait quel raisons avait pousser son père a la prendre avec lui a Toronto.

Enfin bref, Eva s’approcha pour savoir se que c’est frère regarder. Et elle pouvait constater que même par leurs ages avancer, regarder des dessin animé ne leur posait aucun problème. Elle se réjouis de ça, les dessein animé était, pensa-t-elle, le meilleur moyen de cultiver son imagination.

Elle monta les marche 4 a 4 pour rejoindre sa chambre. Elle était de taille moyenne, mais certaine personne trouvais quelle était bien trop petite. Eva la qualifiai tout simplement de taille suffisante et ne voyais pas se qu’il fallait de plus pour se sentir bien. Elle avait une bibliothèque qui recouvrait l’entièrement de sont mur, une armoire suffisamment grande pour contenir le double de ces habits et un lit 2 place placé devant sa fenêtre au rideau bleu canard. Eva avait placé son lit a cette endroit car, comme elle aimais tant le dire,

« ce levais en même temps que le soleil est un pure plaisir ». Et puis, sans se le cacher, ça laissé place a son imagination.

Sa chambre était peinte d’un bleu pastel. Elle trouvait cette couleur charmante, elle lui rappelait le ciel.

Eva s’assit en tailleur en direction de sa fenêtre, en profita pour l’ouvrir, et regarda de-hors. En réalité, il n’y avait rien de surprenant ou de magnifique a la vue que cette ouverture lui procurait, mais elle aimait bien sa, la simplicitée. Elle avait juste la vue sur le voisinage, ainsi, après avoir longement épiais la batice qui se tenait devant elle, Eva se rendit conte qu’elle avait était acheter. Eva sourie. Cela fessait si longtemps que cette maison était en vente qu’elle craignait qu’elle finisse par tomber en ruine avant d’avoir était acheter.

Mais se ne fut pas le cas apparemment et elle se demander bien qui cela pouvais bien être.

Enfin, elle fit vite le tour de la question car elle se dit (a voix haute cette fois)

« Si la maison a étais vendu a un couple avec un enfant, ils ne devrait pas tarder a s’installer car personne ne raterait opportunité de faire sa rentrait, le jour même de la rentrer. Si ils ne sont pas la avant demain après midi, soit ils n’ont pas d’enfants, soit... »

Eva ne put finir sa penser, ne trouvant tout simplement pas les mots juste pour pouvoir la sintétiser rapidement. En réalité, il exister plais de possibilité de ne pas être présent le jours même de la rentrer. Et ça la frustras de ne pas pouvoir avoir une quelconque théorie sur se qui allait se passer.

Elle déssendit dans le salon pour savoir si sa famille était au courant de se changement soudain. Sa mère était rentrée également. Ça lui écorché la gorge de devoir l’appeler comme sa, car se n’était pas se que cette femme était. Julie (car c’était son nom) était, certes, une femme belle est courageuse, mais elle n’était pas sa mère. Mais elle devait l’appeler comme ça, du moin en public. Dans sa tête, c’était désormais Julie.

Enfin, elle s’assit à la table du salon, Tom et Charly était toujours sur le canapé, Julie lisait le journal sur l’îlot de la cuisine et Paul cuisinait, un tablier rouge autour de la taille.

« Vous saviez que la maison d’en face avait était vendu ? » demenda-t-elle

Tom se retourna, d’un coup, surpris. « Chic, de nouveau voisin ! ». Tom a toujours étais, malgré son âge, le plus enfantin des trois enfants. On pouvait largement dire que le plus mature d’eu était Charly. Il gardait toujours les pieds sur Terre et affronter la réalité, mais ne trouvais pas d’inconvénient à un bon dessin animé.

« Oui, on m’a tenue informer de cette achat, dit Paul, ils devraient arriver dans 1 ou 2 heure. »

Eva était de plus en plus curieuse, c’était l’un de ces nombreux défaut.
« Et du coup c’est un couple qui vas emménagé ? »

« Je crois pas, mais c’est une famille. Leur histoire est compliquée c’est tout se que je sais » Lui dit Julie, la tête dans son journal.

« Mais on ira les salué des leurs arrivé, c’est pour sa que je fait un gâteau ! » lui intimât son père, le sourire au lèvre. Tom frappa ses main l’une contre l’autre en fessant des petit bon sur le canappé, se qui avait le don d’exaspéré Charly qui voulais, lui, continué son programme télé.

La réponse que Julie lui avait fournie n’arrivait pas a contenter Eva, mais elle n’avait pas le choix, c’est toute les information qu’elle pouvais avoir.

Elle articula un maigre « OK » et repartie, pensive dans sa chambre dans l’attente de ces misterieux acheteur.

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La fille de l'Aviateur Where stories live. Discover now