Chapitre 1

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-Non pardonnez moi Monsieur, me supplia t'il, ce n'était pas mon intention...

-Ferme là ! Dis-je de ma voix virile et d'un ton autoritaire.

Il ferme les yeux désespéré et attendant le sort que j'allais lui donner. Personne ne me manque de respect ici, cette ville m'appartient et je la dirige.

-S'il-vous-plaît Monsieur, pleure t'il tête baissé et agenouillé devant le Roi de cet jungle. J'ai une fille, ma femme est décédée personne ne pourra prendre soin d'elle, laisser moi vivant.

-Personne, j'ai bien dit personne ne sort de là avec le cœur qui bat encore, je peux entendre les battements de son cœur d'ici et cette peur qui l'envahit. Ton devoir était d'être fidèle à moi, repris-je, mais tu as préféré vendre ton honneur en échange d'argent.

Aucun mot ne sortit de sa bouche, ses cheveux blancs étaient tachés de son propre sang, il était abattu mais par ma gentillesse j'ai donné l'ordre de le tuer par balles et non par coups.

-Vous êtes un grand homme, pardonner moi.

-Je ne pardonne jamais !

Mon doigt venait de presser sur la détente et c'était ainsi que l'ange de la mort vit prendre son âme. La victime s'écroula au sol, je range mon calibre dans mon dos et me retourne vers mes hommes, tous têtes baissés s'écartent et me laisse passer, je pris place dans ma berline et ordonne à mon chauffeur de rouler.

PDV Narratrice

C'était lui, cet homme que tout le monde redoutait, sa voix était comparer aux orages, ses yeux était ainsi comparer à l'obscurité et sa carrure à un guépard qui répondait la terreur à son propre reflet. Il était sans pitié et il le restera.
Cette ville de Turquie « Adana » était dirigé par cette mafia, de son nom on reconnaît la ville comme la plus dangereuse de la Turquie, ici, l'amour n'existe pas, les jeunes court derrière le fric, ils sont prêt à donner corps et âme pour ça, la trahison n'est pas pardonné et les femmes sont vu comme des manipulatrices, les hommes ne s'approchent pas d'elles, il ne faudrait surtout pas faire cet erreur.

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-Melis ne sort pas de sa chambre va lui parler, dit Hasan, elle fait la princesse qui veut pas manger !

-Tu est aussi son grand frère tout comme moi alors tu devrais apprendre à la comprendre et à te faire respecter. Lui dis-je d'un ton autoritaire.

Il me regarde en fonçant les sourcils puis prend la parole.

-Les femmes sont beaucoup trop compliquées, je préfère ne pas lui parler sinon j'aurais la migraine.

-Tu es irresponsable. Lui lançais-je avant de me diriger vers le long couloir au mur blanc accompagné de plusieurs tableaux tous représentants des grands hommes, c'était grâce à eux que notre famille portait ce nom. Je continu de traverser cet endroit en passant par plusieurs portes puis je fini par m'arrêter devant cette porte blanche. Je toque.

-Je ne veux pas manger ! Crit-elle.

-Melis ! Dis-je énerver, ça ne nous correspond pas d'agir comme des enfants, elle vient d'avoir 19 ans il est tant de grandir là.

Elle ne me fait pas répéter et ouvre directement la porte, tête baissé, ses longs cheveux bruns cache son visage. Je fais des pas à l'intérieur et nous enferme.

The Turkish MafiaWhere stories live. Discover now