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Une énième dispute venais d'exploser encore une fois entre Zeina et Djibran.

- TA CRUS J'ÉTAIS TA BONNICHE? TA DES PIEDS FAIT LE TOUT SEUL TON MÉNAGE. Cria Zeina.

- A QUI TU PARLES TOI? BAISSE D'UN TON PETITE CONNE. Répliqua Djibran fou de rage.

- BAISSE D'UN TON? MAIS CES TOI OUAI, JE TE RAPPELLE CHUI PLUS GRANDE IMPOLIS. Cria Zeina.

- PLUS GRANDE ET ALORS? CES MOI L'HOMME ICI.

Voilà a quoi ressemblait leurs dispute assez violente.

Qui sont Zeina et Djibran? Ce sont mes grands frères et sœurs.

Leurs crie me donnait un mal de crâne intense.

- Arrêtez de criez. Dis-je en me levant.

- Toi ferme ta gueule. Me dit Djibran.

Choque, c'est la première fois qu'il me parle comme sa, il a toujours été respectueux envers moi. Zeina aussi était choquer vu sa tête

- Tes sérieux Djibou? D'où tu lui parles comme sa elle a rien fait. Dit Zeina sous le choque.

- Qu'est ce que vous faite les choquer la, je parle comme je veux.

Il était encore sur les nerfs sa se voit.

- Mais c'est ta sœur. Dit Zeina.

- Haha dégage la bas, moi j'ai qu'une seul sœur et c'est toi. Elle c'est pas ma sœur, c'est qu'une gamine que les *darons on adoptée pour faire passée le temps. Dit Djibran sèchement.

Coups de couteau, mon frère, mon cœur me dire sa? Impensable, lui qui était si *hnine avec moi me dire sa, c'est...impossible.

- Tes sérieux Djibou? Dis-je la voix tremblante.

- M'appelle pas Djibou t'es pas de ma *miff pour le faire, t'aurai du *canner avec la tienne en Iraq.

- Tes qu'un monstre Djibran. Dis-je en pleurant.

- Djibran il t'arrive quoi la? Dit Zeina dégoûte.

- La petite princesse pleure c'est dommage, tfou pour moi t'es pas ma sœur, tu mérites même pas la vie.

Sans est trop pour moi, je monta dans ma chambre, mis un jeans noir, et un gilet gris et mes converse blanche et sortit de la maison sous les cries des deux autres.

Qui aurais cru que mon frère, aurai été celui qui ma le plus blesse dans ma vie? On ne se fait jamais mieux trahir que par sa famille.

Je déambulais les rue de Marseille le visage inonde de larme, ces mots on été si dur, si vrai, si douloureux.

Mon téléphone ne cessais de sonner, mais je ne voulais pas répondre, il ma bien fait comprendre que je n'étais pas la bienvenus dans leurs famille.

Je partie m'assoir sur un banc, assez loin de mon habitat, j'avais besoins de respirée et d'être loin de tout.

Je réfléchis et une idée me vint en tête, personne ne sauras son contenu jusqu'au jour J.


Je met mes clefs dans la serrure et tourne le tout. A peine avoir mis un pied dans la maison, que Zeina me sauta dessus en larme.

- Ma sœur, je suis désolé, j'ai eu tellement peur. Dit-elle en pleurant.

- T'inquiète c'est pas grave. Dis-je en la serrant a mon tour.

Nous nous lâchâmes, et nous nous dirigeâmes vers le salon, ou y étaient installer ma mère en larme, et mon père la réconfortant.

- *Ûmmi. Dis-je en la regardant les larmes aux yeux.

Ils tournèrent tout les deux la tête, ma mère se leva d'un coups et me pris dans se bras.

- *Smeh, je voulais pas ma fille, n'écoute pas cet imbécile de Djibran, il ne sait pas ce qu'il dit. Dit-elle en me serrant fort.

- Ûmmi..Dis-je avant d'exploser en larme.

- Chuut pleure pas, tu es ma fille, tu fais partis de la famille. Dit-elle.

- Tu es autant importante dans nos cœur que Zeina, tu es ma fille, notre fille ne doute jamais. Dit mon père.

- Tu fais partie de la famille petite sœur.

Je me contentas de leurs sourires.


Bagage en main, billet prêt a être scanner, direction mon pays.

La, ou ma famille, est morte, la ou leurs sang y est encrée.

Je m'avance, prête a entrée dans l'avion, je me retourne, le sol français va me manquer, ma famille va me manquer, mes amies, et tout ces petit détails insignifiant pour vous important pour moi.

Assise sur le siège n* 28, je ne peux plus reculer, un dernier message avant que le réseau ne se coupe.

- << As Sâlam Âleykoûm, si vous lisez ce message, c'est que je suis dans cet avions direction la ou est ma vie, vous êtes des personne formidable, rester comme vous êtes, Ûmmi je sais que tu seras anéantie, excuse moi de faire coulée t'es larmes ma reine, Bâba celui qui me protégeait et m'aimait comme son sang n'brik sache que je te considère comme mon père, Zeina ûkty fait ta vie, mari toi et rend-nous fier, Djibran akhy malgré tes mots blessant je te pardonne, pose toi, et fonde ta vie, même si pour toi je ne suis pas ta sœur, pour moi tu es et restera mon frère. Je vous aime du plus profond de mon cœur, Shiam.>>

Je ne peux l'envoyer qu'à une seul personne, Et sa sera Zeina qu'il le transmettra je le sais.

- << Les passagers du vol 7689 sont priée d'éteindre tout appareille électronique.>> dit une hôtesse.

[{ Envoyez}].

Je venais de l'envoyer, j'éteignis mon téléphone.


L'avions venait d'atterrir, nous étions tous sain et sauve.

- << Le vol en direction de l'Iraq c'est bien passer, il est 13h30, et fait 27 degrés au conteur.>> dit un homme.

De la, toute les personne de l'avions se mirent a applaudir.

Vous avez bien lu, j'ai décidé de repartir sur mon territoire, mon pays, l'Iraq.

Aimez commentez💋.

Miff: famille.
Canner: mourir.
Daron: parent.
Hnine: mignon.

[ Mariée de force à un djihâdiste ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant