chapitre 12

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- salut! Lui dis-je difficilement pendant notre baisé.

- uhm...arrête de parler! Me dit-elle.

Je retire mon t-shirt en souriant avant de recollé mes lèvres aux siennes.

Depuis peu, Farah et moi entretenons une relation...comment dire, sans prise de tête peut-être?

Cela me va, je passe mes meilleurs journée avec elle.
Mais, depuis Milan, j'ai compris qu'il fallait prendre en compte les sentiments ou les ressentis d'une fille car, tu auras beau leur demander ce qui ne va pas, elle te répondront, mais voudrons le contraire dans leurs têtes.

Ce qui est chiant!

●●●

- Tu m'empêche de travailler! Lui dis-je pour plaisanter.

- ah bon, et pourquoi ça!? Me dit-elle avec un sourire.

- ah tu l'ignore... je me mets au-dessus d'elle avant de commencer à lui faire des baises dans le cou, comme ça ! Dis-je d'un coup en me retirant.

- q..quoi, pourquoi tu-./

Elle se fait couper par la sonnerie de mon téléphone.
C'était un appel de Milan...encore.

Je souffle tout en passant une de mes main dans mes cheveux.

- tu devrais peut-être lui parler, vous avez apparemment des choses ou des explications à vous dire. Me conseil Farah.

- T'es pas vraiment la mieux placer pour me dire ça non!? Lui dis-je avec un sourire en coin.

Mais en vrai, je ne voulais pas aborder ce sujet avec elle.

Elle rigole gracieusement, son rire est contagieux, ce qui fait que je me mets à rigoler comme une conne avec elle.

D'un coup, je reçoit un oreillé en pleine face!

- oh tu vas voir toi!

On commence à se chamailler comme d'habitude.

Trop brutal cette meuf!

On arrête tout nos gestes en entendant du bruit.

- tu attendais quelqu'un ? Lui demandés-je, elle était sur moi.

- Non, pas que je sache...

après un moment de silence, une voix parlant une langue étrangère pour moi intervient.

- Merde c'est ton père !

On s'affole toute les deux car comment vous dire que son père me fiche la trouille.

Grand, chauve, tatouer aux bras, du cou jusqu'à l'arrière de son oreille gauche. il porte toujours des chemise à manche longue ainsi que des verre. Mais cela ne diminue en rien la sensation de peur qu'il cause au gens.
Je l'ai jamais rencontrer directement.
Et son frère mon Dieu, c'est pas le genre de gars avec qui tu veux des emmerdes.

- par la fenêtre! Me dit-elle.

- je vais même pas me plaindre !

Je la galoche une dernière fois, elle me sépare d'elle en me poussant avec un sourire.

Za fa tsy eo!

●●●

- tu fais une de ces tête, et tes vêtements!

Me dis mon père lorsque je franchie la porte de la maison. Il regardait un match

- c'est un match de qui ça ? Je lui demande en prenant place à ses côtés.

- un match de la play-off de cette année, c'est une rediffusion puisque je n'ai pas pu suivre quelques un, j'avais beaucoup de travaille.

- du coup...je voulais ton avis sur un truc.

Her Ipseity [● En Correction●]Where stories live. Discover now