Nanny McPhee •TBS~ÉLÉANA•

Chapitre 17

Tora : Anna ! Elle courut vers elle. Enfin tu es la ! Puis elle s'accroupit a ses côtés. Eh...pourquoi tu pleures ?

Éléana : c'est une vraie question ?! A ton avis ?! Dit-elle sauvagement étant toujours en pleure. J'ai peur de retourner en orphelinat ! Je veux pas, je veux pas !! Je n'ai que des mauvais souvenirs, même avec Christianna !!!

Tora : eh...je sais je te le jure, je sais ce que ce que tu ressens, mais tu n'y retourneras pas.

Éléana : tu sais ce que je ressens ? Hein..? En quoi tu sais ce que je ressens ?! T'as déjà été dans un orphelinat ?! A attendre chaque seconde chaque minutes chaque instants de ta vie que quelqu'un vienne t'adopter ! Une belle et heureuse famille c'est ce qu'on m'avait promis !!

Tora : et c'est pas ce que tu as ? Dit-elle sauvagement.

Éléana : ce que je veux dire-..C'est...elle soupira. Regarde où on en n'est ! A gâcher la vie et la possibilité de notre père ! La possibilité de tout sauver pour lui, et pour nous tous aujourd'hui ! Et c'est seulement maintenant que je m'en rend compte, j'ai tellement honte...qu'est ce que nous devons faire pour ça ?

Tora : ...

[...]
(Chez Mme. Quickly.)

Mme quickly était morte de rire avec son amie. Elles buvaient toute deux leurs alccol, et l'horrible femme avait une chèvre empaillée sur ses jambes. Tandis que son amie elle, tenait en l'aise deux autres chèvres. Une, teinte en jaune, et l'autre, teinte en rose.

Mme. Bartelof : alors il était ardent ?

Mme. Quickly : ardent ?! Oh il en était malade d'excitation ! Il mettait ses mains sans arrêts sur moi, ohh mais j'étais ferme ! J'ai dit Chedric- je veux dire, Cédric ! S'écrit-elle bourré. Cédric ! J'ai ma réputation à sauvegarder ! C'est le mariage, ou RIEN d'autre ! Dit-elle faisant de grand mouvements de bras. Pour qui me prenez-vous, pour une vulgaire petite-

Quelqu'un toqua à la porte ce qui fit couper Mme. Quickly dans sa fabuleuse histoire.

Mme. Bertelof : tarte ?

Mme. Quickly : pas pour moi chuis bourré.

Mme. Bertelof : nonnn une vulgaire petite tarte ! Ça toqua à nouveau. Tu disais-

Mme. Quickly : qui frappe comme ça ?! Elle dégagea la chèvre empaillée de ses jambes, et se leva.

Mme. Bertelof : et bien, c'est peut être lui !

Elles se mirent à ricaner, et l'amie de Mme. Quickly l'accompagna à la porte quand cette dernière l'ouvrît . . .

Mme. Quickly : si vous êtes venu pour tripoter- elle se coupa voyant les enfants se tenir la, devant elle.

Mme. Quickly : ohh.

Simon : Mme. Quickly...commença-t-il sa phrase gardant son sérieux, comparé aux autres qui regardaient mal la dame. Nous sommes désolé pour le thé avec notre père.

Mme. Quickly : C'est typique d'un homme. Il envoie sa progéniture pour effectuer le sale travail.

Simon : non..il ne sait pas qu'on est- il se coupa, et report après deux secondes. Ce que je veux dire c'est qu'il veut vraiment vous épouser.

Mme. Quickly : oui c'était assez clair ce qu'il voulait, un mariage n'a pas grand chose à y voir. Pas étonnant que vous soyez seul. Elle commença a fermer la porte.

Éléana : attendez ! Puis elle la réouvrit. Père n'a jamais été grossier ! Personne sur terre n'est moins grosser que lui. Il essayait juste de vous protéger des méchancetés que vous faisait.

Éric : la théière avec le crapaud...dit-il la tête baissée.

Lily : et les sandwichs avec des vers de terre...

Sébastien : ça c'était mon idée !! S'exclamât-il fière de lui. Mais Christianna lui donna un coup de coude pour qu'il arrête. J'veux dire, ma faute..

Mme. Quickly : je n'ai aucune idée de que à quoi vous référence. N'essayez pas de lui trouver des excuses c'est un gros cochon et un goujat !

Simon : non c'est faux ! C'est un homme bon, il essayait juste de nous sauver ! Parce qu'il ne se marie pas et bien..il n'aura plus d'argent on sera tous jetés à la rue !

Mme. Quickly : l'argent, quel argent ?

Éléana : l'argent de notre grande tante Adélaïde.

Éric : Lady Adélaïde Stish.

Mme. Quickly : Ladyyy ! Hmm !

[...]

La porte du bureau de Mr. Brown s'ouvrît d'un coup. Mme. Quickly apparut et s'approcha de Cédric qui lui venait juste de sursauter. Les enfants eux, étaient derrière sur le pas de la porte.

Mme. Quickly : Mr. Brown !

Cédric : Mme. Quickly ?!

Mme. Quickly : vos enfants m'ont expliqués ce qu'il c'était passé ! Elle les regarda, et regarda ensuite Mr. Brown.

Cédric : expliquer ?

Mme. Quickly : que leur petit tour durant le thé était le résultat normal de la perte de leur mère qu'ils ont seulement besoin d'une présence féminine dans la maison pour calmer leur tempérament et que vous pourriez vous aussi profiter de cette présence réconfortante. Ohh malheureux comme vous l'êtes ! Et tout ce que je veux, c'est une toute petite question Cédric... hm hm. Elle toussote.

Cédric regardait ses enfants étant toujours sous le choque. Simon se baissa en mettant alors un genou au sol, montrant son annulaire afin de faire comprendre à son père ce qu'il fallait faire.

Cédric : o-ohh...Ohhh ! Oui, oui bien sûr ! Heu oui ! Il déposa sa tasse de thé sur la table et se mit à genou prenant ensuite la main de la femme. Mme Quickly...

Mme. Quickly : Selma. Chuchota-elle.

Cédric : oui, je veux dire Selma...euh, voudriez-vous me faire l'honneur de- il se coupa avec son grand sourire nerveux. Voudriez-vous devenir ma...euh...voudriez-vous devenir ma...

Éric : Femme ! Murmurât-il a son père.

Cédric : femme, oui c'est ce que j'allais dire.

Mme. Quickly : Oui ! Ohh ouii Cedric !! Elle se mit à genoux et embrassa plusieurs la joue de Mr. Brown, qui lui regardait ses enfants. La femme fit alors de même. Allez-vous en les enfants. Papa va maintenant passer un petit instant...elle s'approcha d'eux, tandis qu'ils reculaient. Avec votre nouvelle, maman. Elle ferma la porte et retira son sourire.

[...]