Policeman : Chapitre 17

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(Peter et Jerry s'étaient rendus à l'hôtel et s'apprêtaient à prévenir Agus qu'ils avaient vu Ruggero.)

Peter : AGUS !! RUGGERO, IL...!!! 

(C'est alors qu'ils ont vu Eduardo et Agus, face à face, à deux doigts de briser la distance entre leurs lèvres. Agus remarqua que Peter et Jerry étaient rentrés dans la pièce, et s'est instinctivement éloigné d'Eduardo.)

Agus : Je.. ! Vous foutez quoi ici !?

Jerry : On voulait te prévenir qu'on avait vu Ruggero avec un homme à l'instant, mais on pensait pas qu'on allait te déranger..

Agus : C'est rien, n'en parlons plus, on s'en br*nle ! On doit tout de suite descendre ! Attendez-moi devant la porte.

(Jerry et Peter ont tout de suite fermés la porte et Eduardo s'est mit à rire.)

Eduardo : Wouah ! Tu as si honte de moi ?

Agus : Non. J'ai juste pas envie qu'ils se mêlent de ma vie privée.

Eduardo : Un jour, ils finiront quand-même par savoir qu'on..

Agus : On peut arrêter ? On doit attraper un criminel, là. Tu veux venir ?

Eduardo : Pas besoin de t'énerver, ouais ouais..

(Ils ont enfilés leurs chaussures et ont rejoints les autres.)

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(Felipeh, Karol et Ruggero étaient réunis dans le salon pour faire le point.)

Felipeh : Bon, vous pensez peut-être que je suis une personne horrible, mais ce n'est pas le cas. J'avais juste des envies s*xuelles parce que je vous trouvais attirants. 

Karol : D'accord, la première nuit était cool, mais ce que j'ai trouvée écœurant c'est le fait que tu te permettes de me toucher comme si j'étais une de tes poupées. T'es vraiment un malade. 

Ruggero : Quoi ? De quoi tu parles ?

Felipeh : Ne l'écoute pas, elle raconte n'importe quoi.

(Karol se retourna vers Felipeh, le défiant du regard.)

Karol : Tu veux pas lui dire ce que m'a fait il y a peine quelques minutes ? Je vais le faire. 

(Elle s'est retournée vers Ruggero.)

Karol : Il a mit sa main dans ma ch*tte sans mon consentement et il m'a menacé de le laisser faire tout ce qu'il voulait avec mon corps.

(Ruggero s'est alors retourné vers Felipeh.)

Ruggero : Là t'as dépassés les limites. Tu n'as pas le droit de la toucher sans son consentement et encore moins la menacé. C'est considéré comme de l'agression s*xuelle.

Felipeh : Je sais, je m'en excuse. Maintenant j'ai pris conscience que vous n'êtes pas des jouets et que je ne peux pas vous retenir. Vous allez avoir le choix. Ou vous restez et on fait comme si rien ne s'était passé, ou alors vous partez et dans ce cas j'appelle la police pour qu'ils viennent vous embarquer.

Karol : Le choix est clair pour moi.

Ruggero : Moi aussi, on part ensemble. Je te laisserais pas tombé Karol.

(Karol s'est tournée vers lui en lui souriant. Elle lui murmura "merci")

Felipeh : Bon. Et bien c'est ici que nos chemins se séparent. Restez ici, je vais chercher mon téléphone pour appeler la police.

(C'est alors qu'il s'est absenté de la pièce et les a laissé seuls. Quand Felipeh est revenu dans le salon, Karol et Ruggero avaient disparus et la porte était ouverte.)

Felipeh : Bande fils de p*te, ils se sont échappés..

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(Agus et sa bande policiers étaient en train de surveiller les rues, c'est alors qu'ils ont vus Karol et Ruggero en train de courir main dans la main.)

Agus : (À nous deux.. enfin.) C'est eux ! ILS SONT LA, ATTRAPEZ-LES !

(Ils se sont alors tous mis à courir derrière Karol et Ruggero.)

Ruggero : P*tain ! Ils nous ont retrouvés !

Karol : POURQUOI TU VEUX PAS TE RENDRE, BORDEL DE MERDE !?

Ruggero : PARCE QUE JE SUIS UN LACHE. JE SUIS UN TROUILLARD.

(Plus ils courraient, plus il ralentissaient.)

Agus : ON Y EST PRESQUE LES GARS, ILS COMMENCENT A RALENTIR !

(Ruggero et Karol décidèrent alors de tourner dans une rue pour les semer.)

Ruggero : Karol, on va devoir sauter dans les égouts. Ils ne pourront pas nous voir.

Karol : JE VEUX ME RENDRE.

Ruggero : NON

(Enervé, Ruggero tira Karol par le bras et la poussa dans les égouts. Il sauta aussi à l'intérieur. Quelques secondes plus tard, Agus et sa troupe passèrent par la même rue.)

Agus : Ils sont passés par ici, cherchez. Ils sont peut-être cachés.

(La troupe de police se sont exécutés et ont surveillés chaque recoins. Dans les égouts, la main de Ruggero était plaquée sur la bouche de Karol pour ne pas qu'elle fasse de bruits. Après 30 minutes de recherche, les policiers ont abandonnés. Furieux, Agus frappa dans une poubelle.)

Agus : FAIT CHIER.

(Eduardo le serra dans ses bras pour le consoler, et ils sont ensuite parti.

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4h

(Une fois que les policiers étaient tous parti, Ruggero et Karol sont sortis des égouts. Ne supportant pas cette situation, Karol s'est mise à lui hurler dessus et à le pousser.)

Karol : T'es policier, hein ? MAIS POURQUOI IL FALLAIT QUE TU SOIS AUSSI CON !

Ruggero : Je suis désolé..

Karol : FERME-LA ! JE T'AVAIS DIT QUE JE VOULAIS ME FAIRE ARRÊTER, MAIS TU AS PENSÉS QU'À TOI ! T'AS ÉTÉ EGOISTE ! ET TU NOUS AS RAMENÉS PLUS DE PROBLEMES !

Ruggero : Je sais, j'ai été lâche.. Je veux pas aller en prison.. Je sais que toi non plus..

Karol : NON, JE VEUX PAS. MAIS JE N'AI PAS LE CHOIX !! Tu sais quoi ? J'en ai marre, MARRE de toi. Je veux plus que tu m'approches. Et comme l'a dit Felipeh, c'est ici que nos chemises se séparent.

Ruggero : Quoi ? Non attends, tu peux pas faire ça. Pas après ce que j'ai fais pour toi..

Karol : Si je peux. Regarde.

(C'est avec la rage dans les yeux qu'elle est parti du sens opposé.)

Ruggero : (J'ai échoué. J'ai dit que j'allais toujours la protéger, mais la seule chose que j'ai fait c'est de l'éloigner de moi. Elle ne veut plus me revoir..)

(FIN DU CHAPITRE.)

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