Chapitre 1.

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- Acacia magne toi je dois y aller j'ai entraînement !
- Vas y tout seul ! Je prendrais le bus !
- À ce soir.

J'entendis la porte claquer et je descendis prendre mon petit déjeuner, fin prête.

- Vous n'en avez pas marre d'hurler tout le temps comme ça ?

Ma mère souffla.

- Et merde !
- Quoi ?
- Samuel a oublié son sweater.
- Oh pas grave, je vais lui donner. Bon j'y vais m'man, à ce soir !

Je lui embrassa la joue et partie à l'arrêt de bus qui était à dix petites minute de la maison, la musique dans les oreilles. Là-bas, je retrouvais mon petit ami, Liam, qui m'attendais tout sourire. Il m'embrassa la tempe et je me glissa dans ses bras, attendant le bus arriver. On rigola quelques petites minutes et on pût monter nous asseoir. Arrivée au lycée, je lui fis un délicat bisou sur la joue et me dirigea vers le bâtiment de sport. Le vestiaire des hommes. Ça a beau être un cliché, les vestiaires des hommes puent vraiment la transpiration !
J'ouvris la porte et entendis l'eau couler, mais je décida de m'avancer quand même. Quelques uns me dévisageaient et je ne pouvait m'empêcher de rougir. En même temps, une dizaine de jeunes adolescents torse nus, qui vous regardent, c'est vraiment gênant. Je fus stoppé par une carrure imposante qui me fit face. Il était plus grand que moi d'une bonne tête, était brun et torse nus, les bras croisés sur la poitrine.

- Je peux t'aider ? me cracha-t-il au nez.
- Je cherche le casier de Wilkinson.
- Encore une folle prépubaire qui vient lui glisser une lettre d'amour en disant qu'elle lui fait des bisous sur la joue !

Ils rigolèrent tous à la blague de monsieur je-me-la-pète, et je bouillonnais.

- Je suis sa petite sœur et je suis venue lui ramener son sweater abruti. Vu que t'as l'air super intelligent, tu me feras le plaisir de lui remettre en main propre. Merci. Et sur ce bonne journée.

Je me retournais et partis vers la sortie et plus aucun garçons ne parlaient, ils étaient tous choqués de ma réplique. Si je suis fière de moi ? Et comment...
En sortant, je me fis attraper le bras et on me balança contre un mur.

- Eh mais ça va pas ? T'es complètement malade !
- Ne me reparle jamais comme ça, c'est clair ?
- Oh. Monsieur n'apprécie pas qu'on lui réponde. Et sinon quoi ?
- Je sais qui tu es maintenant, et on ne me parle pas comme ça ok ? Personne ne me parle comme ça.
- Pourquoi ? Tu as un nom peut-être ?
- Jack Gilinsky.
- Et ton stupide nom à la noix, ça te donne le droit de me balancer contre un mur comme bon te semble ? Tu m'as niqué la tête merde !
- Bonne journée poupée !
- Connard !

Il reparti le sourire aux lèvres. Je ne le connaissais pas, mais je ne pouvais déjà pas le voir en peinture. Bonne première impression pas vrai ?

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Premier chapitre ! Voilà, n'hésitez pas à voter, commenter, dites ce que vous en pensez ;) xoxo

You scared me, Jack.Where stories live. Discover now