Exercices de style sadiques (Quatrième édition en automne)

Date indéterminée pour une possible réédition

Merci de vous êtes prêtés à ces exercices, vos commentaires, votre intérêt ainsi que votre curiosité !

Au départ, j'ignorais si j'allais effectuer d'autres éditions, j'avais d'autres exercices de style sadiques d'écrit mais pour les montrer, il faut des auteurs à torturer puisque je me sais peu lu, c'était pas gagné ! Publier mes exercices de style sadiques seulement en travaillant mon masochisme latent, non celui d'autrui, cela avait à mes yeux peu d'intérêt, je jouais l'altruisme dans le partage de la persécution littéraire. Cherchant des adeptes de la flagellation intellectuelle, de la contrainte, l'absence de demeurer avec ses idoles invoquées rassurantes, les mêmes sentiers battus, en agissant tel un gourou désaxé d'une organisation bizarre se prenant des portes en pleine figure en se désolant de représenter pour certaines personnes la vieillesse has-been bien sénile, un autre totem élitiste.. En observant le manque d'intérêt, les réactions de rejet, les moqueries à peine dissimulées ou l'adhésion sans bornes au personnage qu'est Lycomede, j'ai voulu immoler ce compte immonde d'une plate-forme auquel je n'attendais rien qui pourtant m'a déçu et trahi; m'arracher de ce nouveau monde.

Amer, j'ai pensé dans la nuit sans un bruit, la moindre annonce tout effacer puis la nausée me prit car j'avais déduis que même avec la suppression du compte, les commentaires peuvent rester, puis surtout ma présence dans l'esprit de quelques personnes qui pourrait vouloir me retrouver ou qui discuteraient de moi et dans l'hypothèse ou personne ne se souviendra de moi, là aussi la nausée me saisit car cela signifiai tque Lycomede, comédien, comédon numérique par ses récits, son personnage a si peu marqué le monde l'ayant côtoyé, ses rares lecteurs et lectrices ; en bref il n'a même pas pu obtenir le succès de l'outsider, la gloire du paria paranormal car annihilant la normalité par sa seule existence. Son ego ou plutôt son immense vanité, bien touché, il se déclara qu'avant de partir autant passer ses derniers mois ou dernières années de ce compte à assurer ses arrières, s'amuser, prévoir de parasiter une autre plate-forme ou tenter de se créer un site internet voire toquer à des maisons d'éditions !

Grâce à mon manque d'humilité, vous aurez d'autres exercices de style sadiques, aussi à mon esprit tortueux aimant se torturer à perdre du temps numériquement alors qu'il pourrait dispenser mieux de son temps !

La reprise aura lieu en automne car commencer au printemps, saison du renouvellement de la vie pour reprendre à celle où justement celle-ci s'échappe feuilles après feuilles, je juge cela beau, puis qui se connecte en août ou en fin juillet ? Quant au mois de septembre, c'est un mois si triste, semblable aux lundis nous infligeant tous.. Il me restait donc octobre ou novembre, je n'ai pas encore tranché. En attendant vous aurez pour combler mon manque de régularité, de nombreuses et hebdomadaires éditions ; d'autres exercices de style sadiques !

Quelle est cette diablerie: des exercices de style sadiques sans éditions, peut-être participation de l'organisateur ? Cela ne se peut !

Bien si, ils ne possèdent point d'échéance comme ceux des précédentes éditions, vous pouvez les réaliser durant la période estivale ou hivernale de congés, vacances vous étant accordés. En revanche, ils se montrent d'un sadisme rarement égalé, fastidieux, sur certains aspects rédhibitoires, ils vous apparaîtront même impossibles à réaliser ou inutiles voire néfastes pour votre santé mentale, trouver d'autres participants pouvant vous juger, contraints à effectuer un exercice proposé s'avérera ardu. Les modalités ainsi que les exercices seront accessibles dans l'entrée lui étant consacrée, chères personnes en mal de sadisme et masochisme littéraire !

En attendant, n'oubliez pas :« Quand on est tout blasé, quand on a tout usé, le vin, les cartes. Quand on a perdu le vice des bisques d'écrevisses, des rillettes de la sorte. Quand la vue d'un strip-tease, vous fait vous écrier : quelle bêtise, vont-il trouver autre chose ! Il reste encore un truc qui n'est jamais caduque pour voir la vie en rose ! Une bonne paire de claques dans la gueule ! Un gros coup de savates dans les fesses, un marron sur les mandibules, ça vous fait une deuxième jeunesse !»

Boris Vian a vraiment une passion envers le masochisme en un sens, il a tout de même écrit deux chansons sur le sujet...pour mon plus grand plaisir !

J'espère celui-ci partagé, nous nous reverrons sûrement pour de prochaines tortures littéraires collectives !