Le Hobbit : Magie Ardente

Chapitre 2

- Oh quel bête, demande innocemment Bilbon.

- Oh c'est sans doute une allusion à Smaug le terrible, lui répond sans soucis Bofur. Première et principal calamité de notre âge. Un cracheur de feu ailées, des dents comme des rasoirs, des griffes comme des crocs de boucher. Grand amateur de métal précieux.

- Oui je sais ce qu'est un dragon, lui apprend Bilbon.

- J'ai pas peur de lui je me sent près, ce lève soudainement Ori. Il va savoir ce que c'est le fer des nains quand il l'aura dans l'troufinions.

Les autres acclame légèrement son commentaire, jusqu'à ce que Dori le fasse ce rassoir et que Balin reprennent.

- La tâche serais déjà assez difficile avec une armée derrière nous. Hors nous ne sommes que treize, et pas les treize meilleurs. Ni les plus intelligents. 

Cette dernière réplique déclenche des protestation de l'assemblé, notamment de Fili.

- Nous ne sommes peut-être pas nombreux, mais nous sommes des guerriers. Chacun d'entre nous. Tous autant que nous sommes!

- Et vous oubliez que nous avons un magicien dans cette compagnie, continue enjoué Kili. Gandalf a due tuer, des centaines de dragons dans sa vie.

 Je me met à sourire en coin alors que le magicien est mit dans l'embarras. Il a déjà du mal avec un Balrog, alors un Dragon...

- Oh ben non je ne dirais pas cela, j'ai...

- Combien alors, l'interrompt Dori.

- Comment?

- Combien de dragons avez-vous tué?

Gandalf ce met à tousser sa fumer, n'ayant pas de réponse plaisante à donner. Les esprit s'échauffe et un dispute éclate, créant un vrais capharnaüm. Bilbon tente de les calmer mais il n'y a rien à faire. C'est Thorin qui les arrêtes en criant dans la langue des nains, les fesant immédiatement s'assoir dans le silence. 

- Si nous avons vue ces signes ne croyez-vous pas que d'autres les auront vue aussi, leur demande Thorin. Des rumeurs ont commencé à ce répandre. Le dragon Smaug n'a pas était vue depuis soixante ans. Certains tournent leurs regard vers la montagne, évaluant, s'interrogeant, mesurant les risques. Les immense richesses de notre peuples sont peut-être sans protections désormais. Restons nous en retrait, pendant que d'autres s'empare de ce qui nous appartient? Ou saisissons-nous cette chance de rependre Erebor!?

Les nains acclame son discours, bien d'accord avec lui. Mais Balin les ramènes bien vite à la réalité avec un petit détail.

- Vous oubliez que la grande porte est celé, on ne peux pénétrer dans la montagne.

- Euh cela mon chère Balin n'est pas tout à fait vraie, le contredis Gandalf montrant une grosse clé.

- Comment avez-vous eu ça, demande Thorin en regardant fixement la clé.

- Elle m'a était confié par votre père, par Thraïn, pour que je la garde en lieu sûr. Elle est à vous maintenant.

Gandalf lui tend la clé, sous le regard attentif de tous.

- Si il y a une clé il doit y avoir une porte, s'exprime Fili.

- C'est rhune parlent d'un  passage dérobé vers les salles inférieurs, leur indique Gandalf en pointant un petit texte au coin de la carte.

- Il y a une autre entrée, est excité Kili.

- Encore faut-il la trouver, le calme Gandalf. Les portes des nains sont invisibles quand elles sont closent. La réponse est caché quelque pars sur cette carte. Je ne suis pas en mesure de la trouver mais dans la Terre du Milieu d'autres le peuvent. La tâche à laquelle je pense exige une grande discrétion et non moins de courage.