Chapitre 80- Tous... humains

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 — Ton amie te l'a dit, nous ne sommes pas responsables de ce qui vous est arrivé. Rendre Silas mortel afin de pouvoir le tuer, c'est bien ce que toi et ta famille vous vouliez non ? Alors, jubile, il l'est maintenant.

— Je me demande ce qui me retient d'arracher la tête de ta colonne vertébrale ! je poursuis d'un air mauvais.

La sœur de Sophie se met à émettre un petit rire avant d'ajouter avec mépris :

— Peut-être parce que désormais tu n'en es plus vraiment capable !

Le sourire mesquin qui était le mien lorsque je l'ai menacé s'est considérablement effacé. Elle vient de pointer du doigt ce que j'ai tant de mal à supporter. Tout ce que Klaus Mikaelson représentait s'en est allé au moment même où je suis redevenu un simple mortel.

— Je crois bien que sa liberté retrouvée l'a rendue un poil trop... arrogante ! siffle mon petit frère qui n'a rien loupé de notre altercation.

En sentant la présence de Kol s'approcher, je vois la jeune sorcière déglutir. Visiblement, face à mon cadet elle perd toute son assurance.

— Tu devrais faire attention, Baby Witch, poursuit-il tout en la contournant tel un prédateur autour de sa proie.

— Tu devrais faire attention, Baby Witch, poursuit-il tout en la contournant tel un prédateur autour de sa proie

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— À trop jouer avec le feu, on finit incontestablement par se brûler ! il termine dans un chuchotement.

— À trop jouer avec le feu, on finit incontestablement par se brûler ! il termine dans un chuchotement

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Rebekah

« Je l'ai longtemps observé et crois-moi, je l'ai vu, à de nombreuses reprises, te chercher des yeux. Certes, ses regards sont brefs... mais ils sont là ! »

La révélation de Caroline m'a fait du bien. Je m'emballe peut-être un peu trop vite mais je crois que j'avais besoin de cette petite lueur d'espoir.

La fraicheur de la nuit refroidit rapidement ma peau, une sensation nouvelle que le vampirisme m'avait fait oublier. Pourtant, je ne bouge pas restant fixé sur cette demi-lune abandonnée dans cette longue étendue noire jusqu'à ce que, petit à petit, mon regard dévie dans la rue. Une silhouette masculine est accoudée contre l'un des murs en brique.

Entre rêves et réalitéWhere stories live. Discover now