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Antibes, 16h17

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Antibes, 16h17

— Ok Alexis dis moi maintenant combien de domaine vous possédez histoire que je me fasse à ta vie de milliardaire et que j'arrête d'être surprise tous les deux mois.

Il rigole.

— Un chalet aux Alpes que tu connais, des appart un peu partout, une maison ici et une dernière à Frejus.

— Je suis surprise c'est tout ?

— En France oui, pour la suite je reste humble tout de même.

— Mais bien sûr mon petit bobo.

— Tu vas jamais me lâcher avec ?

— Jamais. Je ris. Tu es un cliché à toi tout seul sans même te rendre compte.

Il sourit tout en s'approchant de moi après avoir déposé son sac dans la salle principale. Il me surplombe largement de son mètre quatre vingt douze, je lève la tête vers lui et il passe sans crier garde ses mains autour de mon bassin, ce qui me rapproche d'autant plus de lui.

— Alors autant rester dans le cliché. Me dit-il en frottant nos nez ce qui me fait frissonner.

Il sourit sûrement fier de l'emprise qu'il a sur moi et je passe mes mains autour de sa nuque en me mettant sur la pointe des pieds. Son parfum ainsi que son odeur me berce les narines et je ferme les yeux face à ce contact. Le blond m'embrasse finalement et je lui offre l'accès à mon palais. Je finis par m'éloigner de lui en manque de respiration, je le regarde avec un sourire béat j'imagine, et il essuie sensuellement sa salive qui se trouve sur mon arc de cupidon.

— T'es vraiment un putain de fuckboy Wilhelm. Je finis par dire en l'embrassant à nouveau.

[...]

Vous vous souvenez lorsqu'il m'a dit qu'il me kidnapperait un week-end ? Eh bien il a tenu sa promesse et me voila dans son incroyable maison de vacances dans le sud. Après m'avoir fait visiter les lieux qui comporte un milliard de pièce. Il m'a sommé de me préparer pour visiter la ville. Je suis donc dans une des nombreuses chambres d'amis qu'il m'a proposé entrain de me pomponner. Alexis entre d'un coup sans aucune gêne et s'allonge sur le lit, les coudes sur le matelas et sa tête posé sur ses mains.

— Arrête de me regarder comme ça, ça me stresse.

— Je veux voir si tu vas enfin réussir ton trait d'eye liner. Me lance t-il taquin en sachant que je le rate toujours.

— Je suis sure que tu me portes la poisse toi, c'est pas possible !

Il rit pendant que j'efface pour la troisième fois mon trait noir. Je finis par laisser tomber et maquille simplement mes yeux de mascara, mes pommettes de blush sans oublier mes lèvres.

Aloïs.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant