•Chronique D'une Gitane : Il la bouleversé ma Viie•

•Chapitre 24•

Chapitre 24 :
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J'étais couché sur le canapé, à me repassé tous les événements qu'il y'avais eut plutôt dans la journée, et j'en revenais toujours pas.

Je me fais tirer de mes pensées part la sonnette de ma maison.

Je me lève avec difficulté du canapé, et me diriger vers la portes d'entrée, j'ouvrais la porte, et mon homme se trouvait debout en face de moi !❤

Je pouvais pas rêver mieux.

Antonio : je me suis échappé des que j'ai put pour venir te voir.

J'avais la gorgée serai, je savais très bien qu'il suffise juste que je prononce quelques mots avant de fondre en larmes devant lui.

Antonio : vien la ma vie. (Dit-il simplement en écartant ses bras pour que je puisse m'y réfugier dedans)

Je ne me le fais pas répéter ! 2 secondes après j'étais enfouie dans ses bras, je le serai tant que je le pouvais ! J'avais peur qu'il me laissait, qu'il doive partir. Je ne voulais plu le lâche.

Entre temps on n'était rentré dans la maison, il l'avait fermé la porte d'entrée avec son pied, sans relâche son entretint d'autour de mes hanches.

Antonio : je suis la, je ne vais pas te lâcher. (Me rassure tiller en me parsèment de baisers dans le coup)

Moi : je veux pas que tu partes. (Lui dis-je avec la gorgé noué)

Antonio : je ne vais pas partir, je ne te laisserai jamais tomber.

Moi : si... , si tu va devoir repartir, tu va devoir me laisser...

Antonio : regarde moi,

Je relève mon visage tout triste pour le regarder.

Antonio : je t'aime ma femme, et je ne veux pas faire de conneries avec toi. Mais on n'est pas encore marié... alors je ne peux pas resté infiniment avec toi. Mais jamais je t'abandonnerai, tu as ma parole sur sa. Je t'attendrai le temps qu'il faudra ! Tu sauras ma femme je te le promet mon Ange.

Comment ne pas tomber follement amoureuse de lui ?? Impossible.

Moi : tu me le promet.. ?

Antonio : sur mes neveux ! (Me répond tiller en me serrant dans ces bras)

Moi : je t'aime fort...❤

Antonio : je t'aime encore plus ma princesse.

On n'était assis au canapé, j'avais ma tête posé sur son épaule et lui il l'avait déposé son bras autour de mon coup. 

J'étais bien, malgré tous les événements, et bien sa présence me fessait le plus grand bien. J'avais besoin de lui, et il l'était la, avec moi, entrain de me rassurer, me serait dans ses bras. Je l'aime de plus en plus, et je m'en rendez compte chaque jour un peut plus.

Antonio : es que tu as mangé ?

Moi : non, je n'ai pas faim...

Antonio : il faut que tu mangé. Tu dois reste forte pour ta famille. Et mangé quelque chose te ferait le plus grand bien.

Moi : pas maintenant, je n'est pas la force de me faire à mangé.

Antonio : je ne t'ai pas dit de te faire a manger. On va aller au McDonald.

Moi : j'ai pas envie de sortir Antonio...

Antonio : pourtant tu va sortir. Allait levé toi.

Il se lève du canapé, et quand tille ce rend compte que je ne bouge pas du canapé ! Il me prend la main et me relève lui. J'avais pas la force de lui résister, alors je le laisse m'entraîner dans la voiture.

Il m'a même mis mes claquettes lui. Que je l'aime mdr.

Je vous passé le trajet jusqu'au McDonald. On n'avait pas plus parlé que sa, du moin je n'avais pas plus parlé que sa ! Lui il me fessait sa conversation, je ne lui répondes que part des : oui, des non, ou des hum. Voilà ! Il ne m'avait pas allumé la musique, et s'il l'aurait fait  je lui aurais fais éteindre de toute manière. Et je pense que s'est pour cela qu'il ne la pas fait. Il sais très bien que sa ne ce fais pas.

Antonio : je te prend quoi ? (Dit-il en se garant sur le parking du Macdo)

Moi : prend ce que tu veux. (Dis-je sans le regarder)

Antonio : Andréa. Mírame.

Je tourne ma tête dans sa direction.

Antonio : je le sais que tu est mal, je le voit. Et tu en n'a parfaitement le droit ! M'est je veux être la pour toi, et je veut que tu le sache. Alors ne me repoussé pas, ou ne m'ignorer pas.

Je le regarde un moment, avant de fondrait en larmes dans ses bras.

J'avais besoin de sa, j'avais besoin qu'il me prenait dans ses bras. Je n'avais plu la force de faire semblant que j'allais bien ! Je ne voulais plu caché mon mal l'être devant lui.

Antonio : calme toi ma vie... sava allait. (Me chuchote tiller a l'oreille)

Moi : il ne va pas me voir... il pourra pas nous voir nous marier. Il ne pourra pas voir ses arrière-petits-enfants. (Dis-je dans un murmure du à mes nombreuses larmes couler)

Antonio : mais de la haut oui.(Il me relève le visage de ses mains en caressant mes joues et en essuyant mes larmes qui coulait) Le père de ma mère n'a pas eut cette opportunité non plu, il n'a pas put voir sa première fille ce marié. Mais elle ne c'est pas pour autant arrêter de vivre. Sa a sûrement était dure de surmonter sa ! Mais elle la construit sa vie. Et pense à ton grand-père... est-ce que tu crois qu'il l'aurait aimé te voir dans un état comme celui-ci ?

Je lui fais non d'un mouvement de tête.

Antonio : alors reprend toi, tu n'es pas seule dans cette épreuve ! Tu as ta famille pour te soutenir, et tu ma as moi aussi. (Termine tiller part un bisou sur le front)

Il la raison... mon grand-père aurait détesté me voir dans un tel état.

Moi : merci... (Le remercie-je en lui fessant un petit sourire)

Antonio : pourquoi tu me remercie ?

Moi : psk tu est la pour moi. Psk tu me remonte le moral, et que tu m'ouvres les yeux.

Antonio : ne me remercie pas mon amour. Aller vient on va te prendre un menu. (Dit-il en allument la voiture pour pouvoir passer au Drive)

J'ai énormément de chance de l'avoir dans ma vie...💫

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🕊...💙
À suivre.
❣-Tonio_Dréa-❣

@BY.DRE.