Chapitre 70- Déni ?

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Je fronce aussitôt les sourcils

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Je fronce aussitôt les sourcils.

Que cherche-t-il à me dire ? Je ne comprends pas.

Silencieuse, je l'observe se diriger vers le foyer de cheminée, imitant la position similaire à celle qui l'avait dans le salon quand je me suis réveillée.

— Je n'ai pas été à la hauteur, Caroline ! me dit-il enfin prêt à se livrer.

— Klaus, tu as fait ce que tu as pu ! Silas a plus de deux mille ans...

— Tu ne comprends pas ! il soupire.

— Bien sûr que si je comprends mais...

— Je suis l'hybride immortel, il hurle, la rage au ventre. On ne me brise pas la nuque comme si je n'étais rien ! Et c'est précisément ce qu'il a fait !

Ayant sombré dans l'inconscience en un temps record, j'ignorais tout de ce qui s'était passé. Lorsque je me suis réveillée, Silas n'était déjà plus là. Désormais, je comprends.

À mes yeux, cela ne change absolument rien ! Il reste celui qu'on ne peut pas vaincre !

Peinée, je viens me lover contre lui. Au début même si dans mes bras, il est tendu, il finit par rendre les armes.Petit à petit, il me serre comme s'il craignait que je disparaisse.

— T'a-t-il fait du mal, mon ange ? me demande-t-il dans un murmure

Le menton posé sur son épaule, je souris. Le voilà, l'homme sous la carapace. L'homme que j'aime.

— Je ne lui en ai pas laissé l'occasion ! je le rassure. J'ai su presque immédiatement que ce n'était pas toi !

Surpris, il s'écarte de moi et m'interroge du regard me poussant à lui révéler comment tout a commencé.

— Quand tu as quitté Mystic Falls pour la Nouvelle Orléans, Silas en a lui profité pour prendre ton apparence.

— Tu ne m'en avais jamais parlé ! me fait-il remarquer.

— Non, c'est vrai ! j'admets. J'imagine que c'est parce que je n'étais pas spécialement fière de ne pas avoir fait la différence entre lui et toi. À l'époque, il avait plutôt bien joué ton rôle ! Il disait être revenu car malgré toutes ses tentatives pour arrêter de penser à moi, il n'avait pas réussi. Ce jour-là, Silas, m'a poussé dans mes retranchements.

Devant moi, mon originel fronce les sourcils.

— Pour la première fois, j'ai admis à voix haute que j'avais seulement peur de me perdre en cédant à cette attirance.

— Chercherais-tu à me dire que je devrais le remercier ? s'amuse-t-il.

À sa remarque, je peine à me retenir de rire puis reprends mon sérieux.

D'un geste doux, je lui caresse la joue puis l'embrasse tendrement.

D'un geste doux, je lui caresse la joue puis l'embrasse tendrement

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