J'ai publié cette histoire il y a plus d'un an, depuis je me suis d'une part amélioré en orthographe et j'ai recommencé à zéro mon roman. Je ne vais pas supprimer cette histoire mais je ne conseille pas de la lire, lisez plutôt ce que je vais publie...
Le Grohlim s'assit en tailleur à même les tapis couvrant le sol tandis que le vizir tirait sur un cordon faisant tinter une cloche dissimulée.Des serviteurs en pagnes de lin plissé vinrent apporter des plateaux de pâtisseries, de semoule et de miel accompagné de thé. -Soit, le nombre de soldats pâlira aux problèmes techniques, mais c'est sans compter sur la force des Barbares et du pouvoir qui les entourent. Le vizir enfourna deux gâteaux de miel et d'amande avant de répondre :-Quoi . Leurs druides, chamanes où que sais-je ? -Vous pouvez les prendre en compte même si les magiciens des deux Terres-Cardinales sont plus dangereux, de même que nos Grohlims... Non le danger vient d'une force obscure du chef Barbares.-Tribokh, non ?-Nullement, c'est Trenakh.-Bref, que lui arrive-t-il ?Le prêtre ou Grohlim se pencha en avant :-Son aura est négative sur cinq cercles, dont le premier et cinquième noir nébuleux.De plus le Chacras-Esprit et Ventre qui impacte indirectement ceux des pieds et du cœur.-Par Yallate et Xenate, comment l'as-tu analysé Ô. Ectabis, sans t'offenser.-Par mes dons, j'ai fusionné mon ombre avec le sable et j'ai pris position en hauteur près d'un palmier où j'y vis ce colosse et par ma divination et cerné son caractère.Le vizir se caressa son crâne rasé et tenta de voir si le prêtre grimacer sous son masque.-Cet homme est peut-être possédé .-Je le crains, même s'il semble avoir une volonté propre . Le pire est que cette horreur sans nom a dû me voir, j'ai dû me dépêcher de rejoindre mon corps avant qu'un froid glacé me touche.Le vizir voulut saisir la théière quand le prêtre prit les devants.Prenant une bourse à sa ceinture et il déversa le contenu de poudre et d'herbes dans le thé.-Qu'est-ce donc ?-Un mélange des plus spéciaux, dont la connaissance de la consistance ne vous est pas nécessaire, du moins avant consommation.Le vizir grimaça en regardant le prêtre remplir les gobelets ciselés d'un liquide étrange s'écoulant dans un long filet.Le Grohlim offrit l'un d'eux à son hôte qui voulut, hésitant, souffler.-Non! Buvez d'un trait ! recevant des yeux écarquillés comme réponse à cet ordre.-Cela reviendrait à me cramer le palet ! C'est de la folie !-Faite moi confiance, par les dieux du bas-Levant !-Que la soleil et le lune me protègent ! Et il s'exécuta...Tandis que l'amer breuvage lui donna un haut-le-cœur, ressentant une pression dans la main gauche puis dans la droite après avoir laissé le gobelet.Sa vision se déformer et au même moment il entendit une plasmodie à moitié inconnue ressemble à une langue étrangère :"Hastha wa yagapa abwa ya ! Hastha abdacdra ibbay ! Hastha !" répété de multiples fois au point d'être imperceptible, léger, euphorique .Il sentit soudain une nouvelle lourdeur, la vue recouverte il se croyait flotté.L'air était glacé, mais les alentours rouges offrent un aspect de spectre lumineux inconnu.Tout semblait déformé, absurde et quasi transparent.-Vizir.Le prêtre était à côté.Il lui fit suivre un chemin en contrebas avec au travers des formes rouge et jaune designer comme des personnes.Des lueurs plus imposantes étaient là.La plus grande et dégageant le plus d'énergie était celle de Trenakh.Pourtant elle semblait drainée vers le haut par une ombre massive occupant de manière surréaliste l'espace.Horreur sans nom, pareille à une ombre contenant l'univers dans sa beauté et son dégoût avec au sommet deux boules d'incandescence.Rouge écarlate, rouge sang...
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