Lorsque je regarde en arrière, je me pose sans cesse la même question : aurais-je refusé de cédé à ce destin terrible qui planais autour de moi comme un vautour cruel ? Si je l'avais refusé, j'aurai sûrement toujours ce sourire doux qu'on me prêtais. Maintenant, dans les miroirs, plus rien ne s'exprime à part mes yeux tristes. Mais d'autre sont heureux.