Unique

By uneenviedecrire

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Elena Parks, une jeune fille intelligente, intègre grâce à ses excellents résultats, une prestigieuse école... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
28 décembre
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Info
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
Chapitre 60
Chapitre 61
Chapitre 62
Chapitre 63
Chapitre 64
Chapitre 65
Chapitre 66
Chapitre 67
Chapitre 68
Chapitre 69
Chapitre 70
Chapitre 71
Chapitre 72
Chapitre 73
Chapitre 74
Bonus 1
Bonus 2
Bonus 3
Bonus 4
Bonus 5
Bonus 6

Chapitre 49

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By uneenviedecrire

Hey!

J'ai remarqué qu'il y avait énormément de lecteurs fantôme! S'il vous plaît, manifestez-vous si vous lisez réellement mon histoire! 

une petite étoile vous prends 1 seconde pour 8h de travail! ;) alors s'il vous plaît votez! pas forcément commenter mais juste voter!

je voudrais savoir combien de personnes lisent réellement pour un éventuel concours etc...

merci d'avance!

(en média, comment je vois Ayana aka Jessica Alba) ;)

_________________________________________________________

Quelques jours plus tard.

Une semaine. Une putain de semaine qu'il est là, et déjà j'atteins la sursaturation.

Il y a une semaine, une journée après notre entrevue, il m'avait appelé dans son bureau.

-Melle Parks, je veux un café. Noir. avait-il dit sèchement.

J'avais lâché un petit rire avant de me rendre compte, face à son expression, qu'il était ô combien sérieux.

-Ce n'est pas dans mes attributions, avais-je répliqué.

-Eh bien maintenant si. Avez-vous oublié que c'était à moi d'en décider? Dorénavant vous incomberez de cette tâche.

-C'est une plaisanterie j'espère? Dis-je éberluée.

Jamais. Jamais Carl Morris m'avait demandé ce genre de choses.

-Ai-je l'air de rire? Maintenant faites ce que je dis ou je ne me gênerais pas pour engager une personne qui ne rechignera pas mes ordres.

Je bouillonnais en comprenant l'odieuse insinuation.
Il osait me menacer de me renvoyer?

Je fulminais mais je ne pus m'empêcher d'apercevoir ce putain de sourire en coin que j'avais envie de lui faire avaler.

Et Une chose me frappa soudainement : c'était exactement ce qu'il voulait.

Que je perde mes moyens et m'énerve.

Et il réussissait avec brio à me mettre en rogne.

Aussi, dissimulant tant bien que mal ma rage, je détendis mes poings et je me mis à sourire avec exagération:

-Bien.

Je tournais les talons en ne manquant pas d'apercevoir son expression surprise à ma réaction.

Je m'étais ensuite dirigé vers l'ascenseur et attendit patiemment que celui-ci descende les vingt étages de l'immeuble.

Enfin, j'arrivais au niveau de la cafétéria, au rez de chaussée et allai vers le bar, derrière lequel, une femme de la trentaine, Natasha, se tenait:

-Bonjour ma belle, s'exclama Natasha, en me voyant. Tu t'es enfin décidé à te détendre un peu et à venir ici!

-Malheureusement non, Monsieur Harding me demande son café, dis-je en soupirant. Un café noir s'il te plaît.

-Eh bien bon courage ma belle, attends deux minutes.

Elle se retourna et s'empressa de préparer la boisson demandée. Puis elle me la tendit avec un sourire d'encouragement, et je lui rendis avec peine mon sourire.

Je tenais précautionneusement le gobelet en faisant attention à ne pas le faire tomber et remontais dans l'ascenseur.

Quelques minutes plus tard, je toquai à la porte de mon si merveilleux supérieur!

-Cela fait déjà 10 minutes Melle Parks, dit-il en me toisant.

Je ne répondis pas, et me contentai de poser simplement son gobelet devant lui.

Je lui souris hypocritement et me retournai pour m'occuper enfin de vrais choses:

-Melle Parks, ce n'est pas ce que j'ai demandé, dit-il la voix plaintive et dédaigneuse.

Je me mis face à lui:

-Vous aviez demandé un café noir, dis-je en fronçant les sourcils.

-Non, ce n'est pas le cas. Un Expresso j'ai dit. Allez m'en chercher un autre.

Je clignai des yeux en me demandant si je perdais la tête.
C'était bien un café noir qu'il avait demandé? Je n'avais pas rêvé?

Je le regardais avec incompréhension mais je saisis alors l'ombre de son sourire carnassier.

-Vous vous fichez de moi? Dis-je en fronçant les sourcils.

Il avait toujours ce sourire méprisant et hautain plaqué sur son beau visage.

Oh oui. Il se fichait de moi.

Je sentis ma patience s'effriter de seconde en seconde.

-Allez m'en chercher un autre Melle Parks.

-Non.

-Non? Dit-il en haussant un sourcil. Vous avez oublié qui j'étais Melle Parks? Cingla-t-il en insistant sur mon nom. Si vous tenez à votre place ici, faites ce que je dis. Maintenant.

Un puissant et violent sentiment de colère m'envahit. Je le regardai maintenant avec une haine non dissimulée et je crachai:

-C'est bon!

Je refis de nouveau le chemin inverse, et quelques minutes plus tard, j'arrivai au café où Natasha m'accueillit avec surprise:

-Il veut un Expresso, soupirais-je en contrôlant mes tremblements nerveux, tu peux m'en préparer un s'il te plaît?

Elle acquiesça puis en me donnant le gobelet fumant, elle chuchota:

-Bon courage ma belle, ça m'a l'air d'être un coriace lui.

-Je ne te le fais pas dire, je te laisse, je retourne en enfer, grognais-je.

Elle rit puis je retournai de nouveau vers l'ascenseur.

Arrivée à son bureau, je toquai puis entrai après avoir eu sa réponse:

-C'est pas trop tôt, j'ai failli attendre, dit-il avec un grand sourire.

-Que c'est regrettable! Dis-je avec une ironie feinte. Tenez votre Expresso, dis-je plus violemment que je ne l'avais voulu.

-Merci Melle Parks, dit-il avec un grand sourire

-De rien M.Harding, dis-je en souriant exagérément avec une voix niaise. Autre chose?

Ses yeux s'écarquillèrent quelques instants mais aussitôt il m'adressa de nouveau ce putain de sourire magnifique

-Non Melle Parks, plus maintenant. Retournez travailler.

Je lui décochai une nouvelle fois un sourire hypocrite puis me retournai, dos à lui tandis que mon sourire s'évanouit.

Si le meurtre n'était pas passible de prison, je serais déjà passée à l'acte.

***

Une semaine plus tard.

-Melle Parks? Cria mon supérieur pour la -quoi?- dixième fois de la matinée?

Je relevai la tête en serrant la mâchoire et enserrant mon stylo.

Qu'est-ce qu'il veut encore lui?

Ça faisait déjà deux semaines que je comprenais avec exactitude le sens du mot enfer.
Si la première semaine, il m'avait fait tourner en bourrique pour que je puisse lui apporter son stupide café, la semaine d'après, il s'amusait à me demander des corvées inimaginables

"Mademoiselle Parks, je veux que vous m'écriviez la traduction de la conférence en espagnol!"

"Mademoiselle Parks, je veux que mes stylos soient perpendiculaires à la vitre!"

"Mademoiselle Parks, je veux que vous dégrafiez toutes les agrafes de cette pile!"

"Mademoiselle Parks, je veux un verre d'eau à moitié plein et non pas un verre d'eau à moitié vide!

"Mademoiselle Parks, je veux que vous me donniez les données du mois en chiffres chinois"

Mademoiselle Parks par-ci! Mademoiselle Parks par là!

Qu'il aille se faire voir.

Je n'en pouvais tout simplement plus.

Et Dieu seul sait que j'aurais voulu l'envoyer paître mais la perspective d'un renvoi pur et expéditif sans lettre de recommandation me terrifiait.

Et j'étais prête à subir toutes les demandes les plus loufoques pour ne pas entraver l'obtention de ma licence.

-Oui? Dis-je en me levant.

-Réimprimez moi tout ça, dit-il en me tendant une pile de plus de 600 pages.

-Quoi? Mais pourquoi? dis-je en clignant des yeux.

-Je n'aime pas la taille de la police. Je suis plus taille 14 que 12, vous voyez?

Je ne pipai mot, alors que ces paroles s'insinuaient en moi

-Vous voulez que je réimprime tout ça pour une histoire de police?

-Oui, un problème avec ça?

Je manquais me décrocher la mâchoire.
Était-il possible que je meurs d'un arrêt cardiaque à l'âge de 22 ans?

-Non, aucun, dis-je en prenant la liasse de ses mains.

J'allais ainsi dans le couloir où se trouvait la photocopieuse, et en insérant la feuille dans le compartiment, je ne manquais pas d'apercevoir Emily assise à son bureau, un Thermos à la main, avec Miranda

-Que fais-tu? S'enquit Miranda.

-Je réimprime tout ça pour M.Harding, soupirais-je en commençant à voir qu'une feuille prenait plus de 3 minutes à être imprimé.

-Tout ça? Mais ça va te prendre des heures! S'exclama-t-elle. Je le trouve dur avec toi!

Oui merci je suis au courant.

Je ne répondis pas mais croisai le regard moqueur d'Emily.

-C'est son boulot Miranda, et Monsieur Harding lui fait seulement pour quoi elle est payée.

Conasse.

-Emily, je t'en prie pour l'amour de Dieu, tais-toi, soupirai -je.

Elle haussa ses fines épaules et chuchota

-Pauvre fille

Je l'ignorai et scrutai la photocopieuse.

Une heure et demi plus tard, alors que mes jambes s'engourdissaient, et que j'étais à la 280ème page, M. Harding sortit de son bureau, et ceci jeta un silence quasi-religieux sur la salle emplie jusqu'ici de bavardages.
Le silence était toutefois troublé par des chuchotements admiratifs de la part de mes collègues féminines et je ne pus m'empêcher de retenir une grimace.

Il affichait son éternel sourire arrogant et il passa négligemment sa main dans ses cheveux en passant entre les rangs.

Emily, ébouriffa sa chemise et agita ses cheveux au moment où il passait près d'elle. Elle lui décocha un sourire magnifique et à tomber, auquel répondit Alec avec un sourire en coin.

Bien sûr.

Il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir à quel point Emily était belle.
Elle n'avait pas manqué depuis deux semaines de lui lancer des oeillades et des coup d'oeil dont Alec était parfaitement conscient.

Je détournai les yeux de ce spectacle infâme.

Il n'était pas censé être en couple avec une mannequin lui?

Une vive douleur s'empara alors de mon doigt et je sursautai

.
Trop perdue dans mes pensées, je ne m'étais pas tout de suite rendue compte que je m'étais coupé avec une feuille.

Je suçotais le bout de mon doigt pour atténuer la douleur, et Emily lança:

-Tu t'es coupée Elena? Dit -elle faussement inquiète.

Non, non je suis en train de chasser un bison.

-À ton avis Emily? Grognais-je en suçant le bout de mon doigt.

M.Harding se contentait de me regarder avec une expression neutre sur le visage:

-Melle Parks? J'ai changé d'avis, finalement je préfère la police 12

Je le regardai complètement achevée par ce qu'il venait de dire. Je venais de passer une heure et demi debout pour que finalement mon travail ne serve à rien?

J'inspirai doucement.

Je me levai et je jetai tout le contenu de ce que je venais de réimprimer à la poubelle.

Je fixais mon ancien petit ami dans les yeux en y regroupant toute la rancoeur que j'éprouvais pour lui.

Ce qu'il faisait était purement lâche, il profitait de sa position pour se sentir puissant.
Mais bon, c'était Alec, après tout.

Cependant il ne me connaissait pas assez.

Il s'attendait à ce que je me jette à ses pieds en le suppliant?
Qu'il aille brûler en enfer.

-Monsieur? Vous allez bien? interrompit soudainement Emily alors que Alec et moi étions empêtrés dans une joute visuelle.

Il avait perdu son beau sourire arrogant.
Sa satisfaction en m'annonçant son changement de décision était maintenant révolue.
À la place, il affichait un air indescriptible.

-Tu...commença-t-il en fermant les yeux, retournez tous à votre travail, aboya-t-il à travers toute la salle, et en se précipitant avec fureur dans son bureau.

La porte claqua dans un bruit assourdissant, et tous mes collègues chuchotèrent sur son soudain accès de colère.

Emily me sonda du regard. Elle avait froncé ses sourcils et me regardait la bouche pincée.
Puis, elle m'ignora avant de retourner à son travail.

Je me dirigeai sans un mot vers mon bureau en pensant à au soudain pétage de plombs de celui qui me faisait vivre un enfer depuis plus de deux semaines.

Et peut-être pour la première fois depuis deux semaines, je souris.

Il pouvait me faire tout ce qu'il voulait, jamais il ne me verrait courber l'échine.

***

"Et donc tu as bien mangé ton déjeuner?" Demandais-je à mon frère

Celui-ci à travers l'écran hocha la tête vigoureusement avant de chantonner moqueur:

-Oui maman

Je souris et posais mon téléphone sur la table avant de me remettre à parler avec mon frère

-Quand est-ce que les parents reviennent déjà?

-Dans deux jours normalement!

J'hochais la tête.
Mes parents étaient partis en week-end amoureux pour fêter leurs vingts ans de mariage, et ils avaient laissé mon frère de 14 ans maintenant à la maison, sous la responsabilité de la voisine.

-Et le collège, ça va?

-Eh bien, je me suis fait coller, grimaça-t-il

-Qu'est-ce que tu as fait, demandais-je en soupirant

-Disons que j'ai plus ou moins piraté le sytème informatique de l'école. Je voulais impressionner une fille, dit-il en rougissant.

-Et ça a marché? Demandais-je en riant

-Oui, elle m'a donné son numéro! dit-il en souriant largement.

-Et comment s'appelle l'heureuse élue?

-Louisa, elle s'appelle Louisa, dit-elle en rougissant davantage, son sourire s'accentuant.

Et je ne pus m'empêcher de sourire. Mon frère semblait amoureux et j'étais attendrie devant son état béat, lui d'ordinaire si introverti.

-Je suis contente pour toi petit frère. J'y vais Michael.

-Ok, au revoir Elena!

Je coupais l'appel et rangeai mon portable.

Je m'adossai à ma chaise en savourant le temps doux et presque printanier qui régnait. La terrasse du café était remplie de monde et j'attendais pour ma part Ayana.

Cassidy s'était envolé pour l'Amérique du Sud pour repérer d'éventuels models. Elle était partie le lendemain de sa rupture avec Harry, et j'avoue que m'inquiétais pour elle. Lors de nos appels, elle avait recouvré sa voix habituelle, fière et affirmée. Mais je savais qu'elle n'allait pas aussi bien qu'elle le prétendait.

Je levai la tête et j'aperçus alors Ayana venir vers moi, les cheveux attachés en une simple queue de cheval, et une robe bleu ciel, sûrement de sa création.
Ayana était remarquablement douée pour confectionner des vêtements.

Elle était aussi jolie que d'habitude mais il émanait d'elle une humeur radieuse et rayonnante que je fus aussitôt interpellé. Elle m'avait appelé pour m'annoncer quelque chose de très important selon elle, et son sourire énorme m'intriguait.

-Elena! S'écria-t-elle, je suis heureuse de te voir!

Je lui rendis son étreinte avec vigueur et elle s'assit en face de moi. Elle me prit par les mains et s'exclama:

-

Alors comment vas-tu? Tout va bien au boulot?

Non, il y a juste mon ancien petit ami qui me mène la vie pas possible depuis quelques temps mais sinon tout va bien.

-Oui tout va bien Ayana et toi?

Évidemment personne et aucun de mes amis surtout ne savait que Alec était mon nouveau supérieur. Cela les aurait trop interpellés et alarmés.

-Oh Elena, je suis tellement heureuse! S'écria-t-elle en riant. Je.. Enfin.. Par où commencer?

-Par le début peut-être? Dis-je en riant.

Elle inspira avant de dire:

-Cory m'a demandé en mariage!

Je me mis à sourire béatement et je pris mon amie dans mes bras:

-Raconte-moi!

Ayana rougit et se lança:

-Avant-hier soir, j'étais rentrée du travail et il y avait un bouquet de roses rouges me disant de prendre le taxi garé devant chez nous. Le taxi m'a ensuite emmené ensuite vers, tu sais la petite clairière de la forêt?

J'hochais la tête

-En arrivant, j'ai vu Cory qui avait installé une nappe avec à manger et du champagne! C'était tellement romantique Elena si tu savais! La nuit, les étoiles, le petit pique nique tout était parfait!
Puis il a commencé à me faire danser au bord du lac, alors qu'il y avait des dizaines de petites bougies autour de nous, puis il s'est mis à genoux et m'a demandé en mariage
C'était magique Elena, dit-elle les étoiles dans les yeux.

J'acquiesçais. La vie d'Ayana ressemblait à un conte de fée, et elle était superbement extatique
Elle avait tellement de chance et je me surpris soudainement à envier son bonheur.
Ayana était heureuse et j'étais contente pour elle.

-Ouah, c'est incroyable Ayana, je suis très contente pour toi! dis-je en lui prenant ses mains

-Et je ne t'ai pas dit le meilleur!

J'haussai un sourcil et elle sourit doucement, sereinement avant de glisser la main sur son ventre.
Je ne tardai pas à comprendre et son regard achever de chasser mes doutes

-Tu es enceinte? Mais enfin c'est génial Ayana! Dis-je en n'hésitant pas à me lever pour l'étreindre. Depuis quand?

-Trois semaines, tu es la première à le savoir Elena. Cory va tellement être heureux quand je lui dirais!

-C'est fantastique Ayana, murmurais-je.

Et de nouveau, un noeud vint se former dans mon ventre.

Ayana avait tellement de chance.

Je l'enviais tellement d'être aussi épanouie et heureuse. Elle irradiait et rayonnait tant et si bien que sa beauté naturelle en était rehaussée.
Ayana avait la chance d'avoir en ses mains un amour véritable.

Je n'avais goûté qu'une seule fois à l'amour, et comme une pomme empoisonnée, je m'étais laissée piéger par son aspect lisse et sans défaut. Ce n'est que plus tard que le poison de la trahison s'était douloureusement niché en moi laissant place à une amertume coriace.

Pourquoi étais-je tombé amoureuse de quelqu'un comme Alec?

-Elena? Ça ne va pas? Demanda Ayana inquiète face à mon silence.

-Je suis désolée Ayana, c'est juste que tu as tellement de chance d'être aussi ... Aussi amoureuse et heureuse, je t'envie tu sais, dis-je la gorge nouée. Tu es tellement belle et radieuse, et je...

-Hé Elena, qu'est-ce que tu dis? Toi aussi tu es belle et tu pourrais être heureuse si tu le voulais.

Je la regardai tandis qu'elle me souriait doucement

-Elena, je sais que ce qui s'est passé il y a deux ans t'a marqué mais tu sais, il ne faut pas que tu renonces à aimer de nouveau. Il faut que tu laisse les gens t'aimer.

Je me tus et elle continua:

-Il faut que tu cesses de te faire du mal en repensant au passé Elena, il faut que tu te concentres sur le présent, il faut que tu penses à toi.

Difficile d'oublier le passé lorsqu'il vous nargue tous les jours dans votre lieu de travail...

Je repensais à tout mon passé, à tout mon bonheur d'antan. Puis vint s'ajouter toutes ces couvertures de magazines, les flirts avec Emily...

-Damon m'a dit que son ami, Benjamin non Bastian, était intéressé par toi. Pourquoi n'essaierais tu pas de faire connaissance avec lui hein?

Je regardais mes mains.

Après tout pourquoi pas? Cela ne pouvait pas me faire du mal. Et cette fois-ci je serais plus prudente dans mes sentiments.

Non, je ne laisserais pas mon histoire avec Alec gâcher mes chances d'aimer de nouveau.

-Tu sais Elena, tous les hommes ne sont pas comme lui, chuchota Ayana

-Tu as peut-être raison, chuchotais-je.

Un silence s'installa et je dis alors:

-Enfin, et ton bébé alors? Je pourrais être la marraine?

-Cela me semblait évident, rit-elle

-Je pencherais plus pour une petite fille non? Ou alors un petit garçon! Ou même des jumeaux, m'exclamais-je.

Elle rit et le déjeuner s'acheva alors sur nos spéculations quant au sexe du bébé.

Je quittai Ayana et je me remis en route pour aller à mon travail.

Mais sur le chemin, je m'arrêtai quelques instants et sortis mon téléphone.
Je composai un numéro et dès que la personne répondit, je dis alors:

-Allô Bastian? C'est Elena. Votre proposition pour dîner ensemble tient-t-elle toujours?

__________________________________

hey de nouveau!

Excusez moi pour le retard, les gens mais bon j'ai beaucoup de travail en ce moment!

Que pensez vous de ce chapitre?

-Elena?

-Alec?

-Ayana?

-La fin?

bref dites moi tout, vos commentaires m'aident beaucoup!

AU PUTINNN MFG, je vais vous raconter ma vie, c'est pas grave!

J'ai eu 13,75 à un contrôle de sciences alors que la moyenne était de 7! donc je suis genre trop fière de moi et je pleure des couscous en forme de lune. parce que j'ai genre 9 ou 10 d'habitude quoi... voilà instant racontage inutile de ma vie. 

Et j'ai été élue Ambassadrice de ma classe (ou déléguée si vous préférez) parce que je me suis présenter pour ne pas que la pouffe de la classe gagne, résultat j'ai eu 22 voix et elle en a eu 4! POUHAHAHAA (ok j'arrête)

bon je vais fermer ma gueule, parce que je fais chier genre  tout le monde...

Je vous aime bande de gorilles bleu vanille

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