Pour la premiere fois depuis longtemps tu viens de sortir d'une fête completement arrosé, tu ne savais pas où tu allais mais tu marchais toujours tout droit, les rues étaient vides une lanterne sur deux était cassé, tu ne savais pas il était quel heure mais il faisait très sombre et comme tu n'étais pas totalement sobre, la faculté de ta vue était faible aussi. Tu fouilla dans tes poches pour trouver ton telephone et éclairer ton passage mais tu l'as malheureusement oublier à la maison de ton amie. Tu soupira et continua à marcher, deux petites lumières avançaient vers toi, des phares de voiture pour être précis, c'est à ce moment que tu te rendis compte que tu étais sur la route et courus vers le trottoir, la voiture n'avait pas du tout ralentis, elle avait carrement accelerer lorsqu'elle t'a vu mais tu était saine et sauve sur le trottoir, tu as quand meme reçu de l'eau avec l'eclaboussure que cette voiture a provoquer. Ce petit moment qui est passé très rapidement, t'as un peu secouer et tu te rendis compte que tu étais dans un quartier qui t'était peu familier et qui te donner la chair de poule. En plus de ça, tes vêtements étaient assez lèger, tu pris panique et te colla contre le mur, tu entendis du bruit vers une ruelle, tu t'approcha discrétement et tu vis deux personnes avec leurs capuches sur ma tête entrain de s'engueuler. Puis l'un d'eux, sorti une arme, ton corps se figea et la personne tira sans aucun remort, tu étais completement retourné par cette scène puis la personne se tourna vers toi, tu te cacha derrière le mur. Tu tentas de t'echapper le plus silencieusement possible et quelqu'un t'attrapa le bras et pointa son arme dans ton dos, ton sang se glaça:
« ???: Qu'est ce que tu fais ici?!
Toi: ...
???: Reponds!
Toi: ... Je.. Je me ... Je me suis p...perdu..
???: Tu n'as rien vu ici, d'accord? Tu n'ai jamais venue, c'est clair?
Toi: O... Oui...
???: C'est où chez toi? »
Tu hésitais à lui repondre, si tu ne reponds pas il pourrais te tuer et si tu reponds, il connaitra ton adresse et viendra surement te tuer, tu priais de rester, tu regrettais cette soirée, tu voulais juste pleurer toute les larmes de ton corps. L'arme dans ton dos s'enfonça et l'homme derrière s'approcha de ton oreille:
« ???: (chuchotant) Reponds moi ou je tire.
Toi: 3837 ******** Street »
Il baissa son arme sans te lacher le bras et t'emmena vers sa moto. Tu n'avais toujours pas vu son visage, il avait la tete baissé avec la capuche sur la tete. Il te posa sur la moto, monta sur celle ci et demarra brusquement, tu t'attacha à lui car tu n'avais pas le choix, c'était soit ça soit tu tombais contre le sol. Vous arrivez devant ta maison, il descendit en premier et t'aida à descendre. Il enleva sa capuche laissant apparaitre des yeux verts perçant et une chevelure bouclé, il pris tes poignets et tu regarda droit dans les yeux:
« ???: Ce que tu as vu là-bas, tu le gardes pour toi, ne crois surtout pas que je ne t'ai pas à l'oeil! (Tu hochas la tete) Putain mais reponds quand je te parles et regarde moi dans les yeux!
Toi: (regardant ses yeux) O... Oui...
???: Bien, je repasserais demain pour être sur que tu n'en a pas parlé à qui que ce soit! »
Il te lacha brusquement et parti sur sa moto aussi rapidement qu'il est venue, tu tremblais de partout, ton coeur battait beaucoup trop rapidement tout ce que tu voulais c'était rentrer à la maison, ce que tu fis d'ailleurs, tout le monde dormait, tu pris une tasse de thé chaud, les images du tire revenus, tu sursauta lorsque tu entendis un bruit mais c'était juste ta cuillère qui était tomber, tu allas dans ton lit essayant tant de bien que de mal de dormir mais... Il te surveille. Le lendemain, tu te reveilles lentement, te dirigea à la cuisine pour déjeuner, il était environ 10h et tes parente étaient déjà au boulot. Tu n'étais pas rassurer de rester seule à la maison avec ce qui t'ai arrivé donc tu appella une amie, elle n'a pas pu venir car elle faisait du babysitting mais tu passa la journée en facetime avec elle. J'alla déposer mon ordinateur dans ma chambre, des mains se posèrent sur ma taille, j'allais hurlais mais une des mains atterit sur ma bouche et me reprocha de sa bouche:
« Toi: Humm... Humm.. Mhhh
???: Calme toi ce n'est que moi... Harry.
Toi: (il retira sa main) Harry? (Te retournant) Toi!
Harry: Oui.
Toi: Comment tu veux que je me calme? Tu as tué quelqu'un? Tu m'as menacé et-
Harry: Chuut, ne cries pas!
Toi: (criant) Sors de chez moi!
Harry: Non.
Toi: Si tu ne sors pas, je vais-
Harry: (s'approchant) Tu vas faire quoi?
Toi: Je..
Harry: (caressant ta joue) Je t'écoute. »
Tu avais soudainement peur, tu ne savais pas de quoi il était capable, tu lui suppliais du regard ce qui l'amuser encore plus. Il posa ses fines lèvres au coin des tiennes et il te chuchota à l'oreille:
Harry: Tu ne feras rien, tout simplement parce que dehormais tu es à moi, je te controle parce que tu as peur de moi.
Toi: Je n'ai pas peur de toi espèce de-
Harry: Fais attention, personne n'oserait m'insulter par peur de s'en prendre une et je pense pas que tu veuilles que je te frappe ou... Que simplement je te tue.
Après cette parole, il t'embrassa la tempe et s'en alla. Maintenant, il venait souvent te voir lorsque tu étais seule chez toi, tu ne te posais même plus la question comment savait-il quand tu étais seule, tu faisais tout pour l'éviter, tu lui parlais peu ou essayer de fermer ta maison à clé mais il trouvait toujours quelque chose. Dans ta vie quotidienne d'étudiante, tes amis voyaient bien que tu n'étais plus aussi souriante qu'avant et Harry en était la cause, il te faisait peur, te menacait même si tu ne disais, tu te demandais parfois si c'était une maladie. Un jour, ton meilleur ami, Zayn, t'a raccompagner jusqu'à chez toi, une grave erreur de sa part, Harry s'approchait de vous à une vitesse folle et n'avais pas l'air heureux:
Harry: Je te laisse deux secondes pour enlever ton bras de son epaule!
Zayn: Sinon quoi? Et puis t'es qui?
Harry: Peu importe qui je suis! *YN* est à moi!
Zayn: Tais toi, tu me fais pitier sérieux!
Moi: Zayn s'il te plait, c'est bon tu peux partir...
Zayn: C'est qui lui? Tu le connais?
Toi: Oui c'est bon, tu peux y aller.
Harry: T'as entendu, fils de pute, dégage!
Ce crétin venait de parler de la mère de Zayn alors qu'elle est morte et venait tout juste de se prendre un coup dans la machoire. Tu ne pouvais rien faire face à leur grandes carrures donc la seule solution peut être un peu bête mais c'est la seule qui t'ai passer par la tete, tu as crié de tous tes poumons, ils se sont arrêtés et t'ont regardés en arquant un sourcil:
Toi: Arretez je vous en supplie... Je supporte pas la violence et vous le savez.. Je...
Tu ne finis pas ta phrase et courru chez toi, les larmes coulaient sur tes joues. Tu ne pouvais rien dire à Zayn ton meilleur ami et tu ne pouvais pas arrêter Harry qui pouvais te tuer sans aucun remorts. Tu t'enfermas dans ta chambre et pleura. Tu entendis Harry rentrais, tu mis ta couverture sur ta tete:
Harry: *YN* s'il te plait...
Toi: ...
Harry: Je m'excuse, je savais pas que c'était ton meilleur ami... *YN*, comment tu voulais que je reagisse, tu es à moi...
Toi: ... Je suis pas à toi...
Harry: Bien sûr que si.
Toi: (Te redressant) Non!
Harry: *YN* on en a déjà parler, arrete s'il te plait!
Toi: Enfaite tu es juste un putain de connard en chaleur qui n'as pas de coeur, tu tues comme tu changes de slips, je te deteste Harry, tu n'es qu'un connard!!!
Tu te leva du lit, Harry te regarda et fis de même, vous ne vous quittiez même plus du regard, tu avais les yeux plantés dans les siens, son souffle se plaquait contre ton nez, tu peux sentir l'odeur mentholé de son haleine avec une vague touche de cigarette. Étant plus petite que lui, tu as la tête lévée et le cou tendu, tu essayais à tout pris de rester un peu crédible et de garder ton expression de visage dure et ferme et lui te regarde amusé alors que tu viens tout juste de l'insulté, lui dit toujours "Personne n'oserait m'insulter par peur de s'en prendre une" tu l'as insulté et tu attendais toujours qu'il mette sa menace à execution. Tu jurais que s'il sortait la vieille disquette de "Je ne frappe pas les femmes" tu lui en collerais une, il t'insupporte du plus au point et tu es à deux doigts d'exploser mais il s'approche encore, tu gardes les yeux dans les siens et vos nez sont maintenant en contact. Un sourire apparait sur son visage lorsqu'il remarque que ta respiration est coupée, tu sens ses mains qui glissent lentement sur tes bras, te rendant de plus en plus vulnérable. Lorsque ses mains étaient entre ton ventre et ta poitrine, il s'arrete, ton expression colérique se transforme en expression d'inquiétude. Tu ne te sens pas à l'aise sachant que ses mains sont propres de ta poitrine, il commence à avancer, ce qui te fait évidemment reculer jusqu'au mur derrière nous puis il murmure:
Harry: Que viens tu juste de dire?
Toi: Tu... N'es... Qu'un c...connard.
Harry: Princesse, pourquoi me traites tu ainsi?
Toi: Et toi, pourquoi tu ne me frappes pas? Comme tu le fais à tous ceux qui t'insulte!
Harry: Parce que je n'aime pas abimer ce qui m'appartient.
Toi: Je..
Harry: Chut... Détends toi.
Il te fit un clin d'oeil avant de plonger sa tête dans ton cou et l'embrassait tendrement et lentement. Ta tête se penchait en arrière et tes yeux se fermèrent automatiquement, un lèger soupire glissa entre tes lèvres il venait d'embrasser ton point faible: juste sous l'oreille. Il sourit contre ta peau, descendit sur ta clavicule et commença à suçoter et mordiller ta peau, tu posa doucement tes mains sur son torse et le repoussa. Il arqua un sourcil te dévisageant, tu t'enlèva de son emprise et commença à t'en aller avant qu'il te prenne tendrement le bras et te retourna:
Harry: Reste ici...
Toi: Mais je ne t'aime pas.
Harry: C'est parce que tu as vu mon mauvais côté mais au fond tu dois avouer que tu ne detestes pas tant que ça.
Toi: Je deteste tout chez toi! Ton caractère, tes phrases bidons, ton sourire, ta voix, le fait que veuille que je t'appartienne... JE NE SUIS PAS TON JOUET, MERDE!
Harry: Babe, calme toi...
Toi: NON TU N'ES QU'UN SALE CONNARD!
Harry: Fais attention à tes mots!
Toi: POURQUOI TU COMPTES FAIRE QUOI HEIN? JE T'AI INSULTÉ PLUSIEURS FOIS DE CONNARD POURTANT RIEN, DONC JE LE REPETE TU N'ES QU'UN CO...
Harry: FERME-LÀ!
Sa voix était beaucoup forte que la tienne et resonna dans toute la pièce son emprise sur ton bras était plus forte sous la colère, tu te tut par peur de l'enerver encore, il avait les yeux fermés et la machoire contracté, tu vis son autre main qui forme un point et se serra fortement. Il lacha brusquement ton bras et recula avant d'enfoncer son poing dans le mur:
Harry: PUTAIN!
Toi: Harry, s'il te plait...
Harry: *voix tremblante* Je ne veux pas... Je ne veux pas que tu me vois comme un connard...
Toi: Comment tu veux que je pense à autre chose? Tu as vu comment tu me traites?
Harry: Je te demande juste de m'accepter... Je veux que tu sois mienne... Je veux que tu m'aime comme je t'aime... Je veux que tu me laisse prendre ton coeur comme tu as pris le mien... Je veux que... Je veux que tu acceptes que je pose mes lèvres sur les tiennes.
Toi: Tu... Tu...
Harry: Je t'aime. Je te le montre peut être pas comme tu le voudrais mais je t'aime, te voir avec un autre mec me met hors de moi, te savoir triste à cause me rend triste aussi, te voir sourire en me regardant illumirai ma journée mais ça n'arrive que très rarement parce que tu veux me detester mais tu ne peux pas nier les frissons que je te procure rien qu'en prononçant ton pronom, ni le fait que je dise une connerie te fait sourire, ni ce moment tendre que l'on eut qui te faisait plaisir mais tu le cache et tout ça pourquoi? Pour ce que les gens pensent de toi, je te pensais largement en dessus de ça.
Toi: Harry...
Harry: Je peux partir comme c'est que ce tu souhaites et tu me reverras plus jamais, hein?
Tu rougis de honte, au départ, tu étais censé lui en vouloir c'est d'ailleurs, la première fois que tu lui tenais tête aussi longtemps, tu devais être heureuse mais non... Tu regrettais, tu ignorais qu'il t'aimait, ça ne se voyait pas du tout, il te traitais comme toutes les femmes qui avait du rencontrer à dire que toutes celles ci sont à lui, ce qui le rendait si puissant que peu importe quelle fille, il pouvait l'avoir mais toi tu l'as bloquer et il était donc devenu pire avec toi... C'est que sa façon de montrer qu'il t'aime reste subtile. Tu le regardais, il avait toujours la tête baissé avec une respiration forte. Tu ne voulais pas qu'il parte, tu voulais le prendre dans tes bras et t'excuser mais tu n'y arrivais pas:
Harry: Qu'est ce que tu attends pour repondre?
Toi: Je ne sais pas...
Harry: Alors tu veux que je sors?!
Toi: Harry, je crois que j'y arrive pas.
Harry: De quoi tu parles encore?
Toi: Tu as raison, j'arrive pas à me l'admettre mais pourtant il y a un petit quelque chose qui fait que je ne passe pas de toi...
Harry: *souriant* Fermes les yeux...
Tu ferma les yeux, sentis des mains sur tes hanches, un souffle chaud contre tes lèvres puis comme une lègere caresse, Harry venait de t'embrasser, votre première baiser échangé avec concentement des deux côtés, tu souris contre ses lèvres et enfuis tes mains dans son cuir chevelu. Tu soupira, tu était tomber amoureux de lui, Harry, l'homme qui au départ te menacer... Mais comme il te l'avais dit, tu n'as pas encore vu son bon côté du moins pas lorsque tu pleures.
End !