Point de vue extérieur
Deux ans ce sont écoulés depuis l'admission de Fadila à l'université. Comment dire? Elle avait changé, elle était devenue une autre personne! Peut-être ne s'en rendait-elle pas compte mais Aujourd'hui elle ne se sentait plus mal alaise dans ses vêtements mondains qu'elle appelait autre fois le péché. Bien sûr son père n' en savait rien pendant les vacances elle retournait à la maison en s'assurait de laisser tout ses vêtements ici et de repartir juste avec ceux qui étaient acceptables par son père.
Était-ce l'influence d'Iris sur elle? Était-ce le jugement des autres sur elle? Elle n'en savait rien. Tout ce que elle savait c'est que elle se sentait bien. Elle avait de l'importance auprès des autres. Elle prenait de plus en plus soin d'elle, se maquillais , faisait du sport pour rendre son corps de plus en plus attirable et oui ça marchait... ils étaient quasiment tous à mes pieds mais contrairement à iris elle ne couchait pas avec eux tous ce qu'elle faisait c'était les embrassés et se rendre désirable. Est-ce que ça allait durer longtemps ? Elle ne ressentait rien pour tout ses garçons mais eux ils voulaient juste une chose et cette chose elle devait le garder précieusement; ça ne lui appartenait pas . Elles aimaient cette importance ;cette importance qu'on ne lui accordait pas auparavant,c'était inexplicable pour elle.
Elle fait partie de ses femmes qui embellissent avec l'âge car ce dernier adoucit ce que jadis paraissait dur et qui permettait à la personnalité de percer sous le masque implacable de son innocence passé
Cependant cette aspect toujours pieux que Fadila gardait en elle Iris en était jalouse. Elle en voulait à son amie d'être vierge. Grâce à ça elle était de plus en plus l'objet des désirs de tous les garçons du campus. Ils le savaient que elle était vierge, et ils voulaient tous être premier à appuyer sur le bouton play du début de sa vie sexuelle et pour cela tous cédaient à ses caprices. Elles avaient passées deux ans ensemble Iris c'était métamorphosé par son aide et les encouragements de sa tante Aïssatou. Mais ce que sa tante ne savait c'était cette vie mondaine que sa nièce menait dans cette ville où elle est livrée à elle même.
La jalousie, comme les maladies, s'aiguise avec le soir .