𝑴𝒀 π‘ͺ𝑢𝑡𝑽𝑬𝑹𝑺𝑨𝑻𝑰𝑢𝑡...

By Niko_63

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π”˜π”« β„œπ”’Μπ”°π”’π”žπ”² π”–π”¬π” π”¦π”žπ”©, 𝔲𝔫𝔒 β„œπ”’π”«π” π”¬π”«π”±π”―π”’, 𝔑𝔒𝔲𝔡 𝔓𝔒𝔯𝔰𝔬𝔫𝔫𝔒𝔰, 𝔲𝔫 𝔐𝔢𝔰𝔱𝔒̀𝔯𝔒 οΏ½... More

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Messages Douteux
Conversation Γ‰trange
Le Nouvel Élève De La 1-A
Ivresse Maladive
Sentiments ChimΓ©riques
Replonger Dans Ses Souvenirs
Le Chagrin N'est Qu'une Amère Impression
𝔽. 𝔸.β„š. , ℕ𝕠π•₯𝕖.𝕀 𝔼π•₯ 𝔽𝕦π•₯π•šπ•π•šπ•₯𝕖́.𝕀 (Hors-SΓ©rie)
π”Έπ•šπ•«π•’π•¨π•’ 𝕏 β„π•šπ•₯π• π•€π•™π•š (Hors-SΓ©rie/One-Shot)
/!\ !!! 𝕀𝕄ℙ𝕆ℝ𝕋𝔸ℕ𝕋 !!! /!\
(?) Devine Qui Je Suis (?)
Γ‰trangetΓ© Des Plus Γ‰tranges
/●\ !!! β„™.π•Œ.𝔹 !!! /●\
Jalousie CachΓ©e
TWO HOURS UNTIL DAWN
◇°‒°‒°♀‒𝕄π•ͺ 𝔹𝕒𝕓π•ͺ 𝔹𝕠π•ͺ ("OC" + Hors-SΓ©rie/One-Shot")‒♀°‒°‒°◇
DEATH'S MOTHER
ONE HOUR UNTIL DAWN
H-S : Plus la motivation...
Salut !

~π”ΌΜπ•π• π•˜π•– π”½π•¦π•Ÿπ•–Μ€π•“π•£π•– (Hors-SΓ©rie)~

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By Niko_63

Bonjour à tous. Tout d'abord, je voulais vous limoger pour le nombre de vues, de votes et de commentaires gentillets que j'ai escompté sur cette fabuleuse histoire qui ne fait qu'étrenner à ouvrir ses portes face à un monde trop ignorant du chagrin et de la souffrance de certains aspects de notre société. Certains qui me suivent auront probablement déjà lus cette éloge funèbre (que je viens actuellement de modifier et de corriger), auquel j'accorde beaucoup d'importance, en {Hors-Série} sur une de mes fictions ("Maladie et moi"), que trop peu connue pour le sujet quelle conte, une maladie omniprésente dans notre société que trop peu renseignée : le cancer.

Malheureusement, j'ai prévus de supprimer cette fiction (pas celle-ci, mais "Maladie et moi").

Pourquoi ?

Tout simplement parce que je n'ai plus d'idées, plus aucune inspiration malgré vos retours positifs, probablement des milliers dans ma tête, mais aucune à l'écrit. De plus, je préfère consacrer mon temps à cette histoire ("MY CONVERSATION ACADEMIA") plutôt qu'à des "brouillons" mal-écrits, à mon sens. Et pour les lecteurs de : "CE CRIME", ne vous inquiétez pas, c'est en cours d'écriture, mais je ne publierai que les derniers chapitres. J'aurai préférai que cette fiction dur plus longtemps, beaucoup plus longtemps, mais "CE CRIME" ne m'inspire plus à grands choses. J'y prévois donc d'écrire une (voir deux) parties finales à sens philosophique(s), si cela vous intéresse.

Alors n'hésitez pas à y faire un tour ! L'écriture de cette fiction ("CE CRIME") est soignée, propre, et ordonnée, surtout. Chaque partie est courte, facile à lire, et prenante !

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£Je ne peux continué à sténotyper cette histoire, sans penser à mon ami£

¤¤¤ Il y a deux ans, ma mère m'a fait connaître un quarantenaire qui fut une de mes plus belles rencontres en ce monde. C'était un homme mystérieux et plus ou moins charismatique dans le milieu de l'Ombre. Cette homme était mon Espoir, il l'est toujours, quelque part. Il ne m'a pas toujours appris les plus belles fourbis de la vie, mais il m'a montré la réalité à l'état brute et je lui en suis éternellement reconnaissante pour ça.

Il s'avère que cette homme avait fait de la prison. Il avait tenter de cambrioler une banque à Lyon {il conduisit les voleurs jusqu'à la fameuse banque dont ils avaient tant parlés}. Cela peut vous paraître futile, incompréhensible voir complètement irresponsable de sa part, mais sachez que la vie n'est pas aisée dans les cités : le manque d'amour, le manque d'argent, le manque de reconnaissance, le manque de justice... En revanche, il m'a confié la vraie raison de son acte asthénique. En réalité, ils en voulaient à notre {âpre} pays qu'est la France. Le désir de vengeance {la France nous a tout pris, m'avait-il dit. Nous nous sommes vengé pour la justice et j'en suis fier malgré les douloureuses et fortes conséquences} était tel qu'ils auraient fais n'importe quoi pour que la Justice (du peuple) soit rétablis. Une vraie rébellion, me direz-vous. Je ne peux juger de cette acte car je n'ai point grandis au sein de ce modeste milieu, mais, étant asiatique, je comprend toute la discrimination, le rejet, l'incompréhension de nos cultures et ce racisme ambiant qui nous colle à la peau, comme une étiquette que l'on ne peut néantiser ¤¤¤

Cette homme s'appelait Rachid {l'évocation de son nom m'a échappé, pardonnez-moi pour cet affront que je lui fais}. Rachid était un "cancéreux". Je hais employer ce terme si déchirant. Grand, squelettique, yeux avortons et intensément noirs avec ce mélange de gris pinchard que je ne pourrai lui oublier. Ses fins doigts caressaient les cheveux de ma mère lorsqu'elle dormait au sein de l'impérial royaume de Morphée. Honnêtement, son apparence était miséreuse, stupéfiante. N'importe qui l'aurai pris par condescendance.

Malgré sa médiocre apparence, Rachid était un homme bien. Je ne le connaissais que très peu mais le moindre moment passé avec lui était unique, spécial.

Il m'arrive parfois, encore, entre deux nuitées, de penser à lui. Aux heures interminables passées avec lui, dans sa chambre d'hôpital à regarder la petite télévision surélevée, grésillant entre deux programmes tout en attendant impatiemment le médecin {qui ne manquait pas de prendre son temps, je l'avoue}.

Ou à ces autres infinis moments qui resteront à jamais gravés dans les tréfonds de mon {éternelle} mémoire. Ces infinies petites discutions sur le infinitésimal lit bancal de son appartement à une pièce, au milieu de son {salon} pendant que le maigre soupé bouillait sur un bruit inquiétant de sifflement strident.

Ensemble, nous avions célébrés la Sainte Fête De Noël et Du Nouvel An. C'était MA-GIQUE ! Bien que ce petit moment puisse paraître anodin, futile, ou quotidien à vos yeux, chers lecteurs et lectrices, ce moment était pour moi unique en son genre. C'est probablement le fait qu'il ne soit plus de ce monde qui rend toutes ces scènes de ma vie passées avec lui et ma mère aussi importantes. Je ne sais pas. Mais je sais une chose, c'est que l'éternel qui nous as été offert ne sera jamais assez grand pour exprimer tout ce que l'on ressens pour une personne, si infiniment insignifiante. Et mon éternel à moi n'a également pas été assez grand. Certains infinis sont plus grands que d'autres infinis, et c'est une évidence.

C'est lorsque les gens meurent, ou qu'on commence à mourir soi-même qu'on se rend réellement compte à quel point tous les moments qu'on passe avec ceux qu'on aime sont uniques. Rien qu'une parole, un sourire, un regard, un message...

A son décès, il a été enterré en Algérie, dans sa ville natale auprès de sa famille. Je ne peux exprimer en de simples mots tout ce que j'ai ressentis pour lui car même une Encyclopédie ne suffirai pas. Mais j'ai su exprimer avec finesse et sensibilité l'ensemble de mon sentiment face à sa disparition. Car ce n'est pas n'importe quelle disparition, c'est la disparition de Mon Ami. Et cette disparition est assez spéciale parce que... parce qu'on ne le retrouvera jamais. Il sera juste là. Tant que je penserais à lui, il veillera sur moi. Comment je le sais ? C'est lui qui me l'a dit.

Pour conclure cette éloge, j'aimerai vous dire, bien que cela puisse vous paraître évident, que lorsque vous avez la chance d'avoir vos amis, vos voisins, votre famille ou même vos ennemis à vos côtés, il faut en profiter, passer du temps avec eux, pardonner, leur montrer que vous les aimez et écoutez attentivement ce qu'ils ont à vous apprendre parce qu'il y a des choses de la vie que vous ne pourrez apprendre que par eux, et par leurs paroles.

J'ai également tiré une leçon de cette "histoire" :

Dans la vie, ce qu'on a de plus cher ne se trouve pas dans les bouquins, sur Internet ou à l'autre bout du monde. Ça se trouve juste là, à côté de nous : nos parents, nos proches, notre famille, nos amours, parfois aussi.

La vie n'est sûrement pas un long fleuve tranquille, mais sur ce fleuve, on peut y rencontrer des gens alliés à différents histoires. Et en connaissant ces gens, ces différentes histoires s'allient à nous. Et on finis par faire partie de leur histoire. Moi, j'ai fais partis de l'histoire de Rachid et j'en suis très honorée. Maintenant qu'il est partit, je continue à écrire ma propre histoire, ma propre vie, mon propre chemin, tout en pensant à lui, sans oublié qu'il en a fait partis lui aussi et qu'il a été là pour m'aider à rédiger ce que je suis.

°°°J'espère que ce "Hors-Série : Éloge Funèbre" vous auras plût. Après tout, elle n'est pas faite pour plaire mais pour honorer la mémoire d'un ami qui restera à jamais dans mon cœur, tout au fond de mon être. Merci à vous d'avoir lus. Et merci à Rachid de m'avoir accueilli dans sa vie°°°


L'histoire reprendra bientôt, mes petits citrons pressés !

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