Danse avec les Stars [Kiribak...

By Spacenitrate

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Eijirou s'attendait à beaucoup de choses, en se réveillant ce matin-là. Il s'attendait à tout, sauf au fait q... More

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By Spacenitrate

Denki couina une énième fois, se plaignant à qui voulait bien l'entendre combien ses courbatures le faisaient souffrir, provoquant l'hilarité de Sero – ce bourreau le faisait travailler dans des positions qu'il s'ignorait capable d'effectuer.


- Allez, lèves-moi un peu plus cette jambe ! Comme tu n'as aucun rythme, il va falloir qu'on mise ailleurs. Et ce qui marche bien, ce sont les portés, tenta-t-il d'expliquer en souriant.


Dire que le blond était une catastrophe en danse était un sacré euphémisme. Trois fois, il s'était pris les pieds dans le sol pourtant plat et était tombé lamentablement. Même avec la musique, il avait tendance à se décaler d'un pas et perdre complètement le rythme qu'il tenait si bien au départ. Denki s'était douté qu'il n'excellerait pas, ses problèmes de concentration étaient bien trop grands pour qu'il soit parfait, mais il n'aurait jamais pensé être un cas aussi désespéré. Ils y avaient pourtant passé la journée, et il ne semblait pas du tout s'être amélioré.


- Si je lève ma jambe un peu plus, je te jure que ça va craquer, tenta-t-il de se justifier.

- Crois-moi, ça ne va pas craquer, allez, tu peux le faire ! l'encouragea Sero.


Finalement, il souleva sa jambe d'un centimètre supplémentaire, et poussa un cri plaintif. Son pied était désormais perpendiculaire au sol, plus haut qu'il ne l'avait jamais été, et même s'il n'avait pas aussi mal qu'il ne l'annonçait, il soupira exagérément pour la forme.


- Super, tu vois que tu en es capable, rit Sero. C'est bon, tu peux faire une pause !


Denki laissa automatiquement retomber sa jambe avec un soupir de soulagement et s'allongea sur le sol, tendant la main vers sa bouteille d'eau. Il se tourna finalement vers Sero, tentant d'ignorer du mieux qu'il pouvait le caméraman qui faisait de son mieux pour ne pas exploser de rire.


- Tu me fais faire tout ça, mais je me demande si tu y arrives, toi, grommela-t-il, persuadé qu'il s'agissait là d'un bizutage.


Il avait déjà vu Eijirou danser un nombre incalculable de fois, et il savait combien il était souple, mais il n'aurait jamais imaginé que cela fût commun à tous les danseurs et que tous se devaient d'avoir un minimum d'élasticité.


- Je te montrerai dès que j'aurai l'autorisation de faire autre chose que de montrer des pas basiques ! Pour l'instant, tu vas devoir te contenter de mes ordres, désolé ! sourit Sero, qui, même s'il s'abstint de le dire à haute voix, trouvait très amusant de voir le musicien dans une telle situation.


Denki finit par se relever, éventant son visage à l'aide du bas de son tee-shirt, et se tourna vers la caméra pour lui faire un clin d'œil.


- Allez, cesse de jouer les Don Juan, on y retourne.

- Non, s'il te plaît, encore cinq petites minutes, j'ai même pas eu le temps d'aller aux toilettes !

- Tu ne m'as même pas dit avoir besoin d'aller aux toilettes... Bon, vas-y, mais fais vite, ce corps va avoir besoin de beaucoup de travail si tu veux espérer être un peu moins statique !


Denki hocha la tête et se précipita vers l'extérieur de la salle, se cognant presque contre Mina qui grommela une ou deux injures. Elle semblait hors d'elle, ce qui prit le blond par surprise.


- Mina, tout va bien ?

- Pousse-toi, je vais tuer ce crétin d'acteur qui se croit au-dessus du monde juste parce qu'il est un peu célèbre ! grogna-t-elle, tentant de reprendre sa route.


Le musicien la bloqua à l'aide de son bras, ne comprenant pas un traitre mot de ce qu'elle venait de dire.


- De quoi tu parles ? Quel acteur ?


Au lieu de lui répondre, elle se déroba à l'obstacle et courut vers la salle de repos. Très inquiet pour son amie, Denki se lança à sa poursuite et la retint une nouvelle fois, juste avant qu'elle n'atteigne le canapé où étaient installés Todoroki, Uraraka et Bakugou – ce dernier semblait d'ailleurs être dans une humeur massacrante.


- Denki, lâche-moi !

- Mina, je refuse de te lâcher tant que tu ne m'auras pas dit ce qu'il se passe ! s'écria-t-il. Je ne veux pas que tu t'entraînes dans un scandale qui pourrait valoir ta carrière, ajouta-t-il à voix basse.

- Tout va bien, Mina ? s'inquiéta Uraraka en s'approchant doucement, attirant l'attention de Todoroki et de Bakugou, qui réactiva ses prothèses auditives face à l'agitation ambiante.

- Non, tout ne va pas bien ! Ca fait plus de neuf heures qu'Eijirou s'est enfermé dans sa salle d'entraînement ! Et ce crétin, là, ajouta-t-elle en pointant rageusement Bakugou du doigt, trouve malin de le laisser poireauter ! Il pourrait au moins aller le voir pour lui dire que ça ne sert à rien, mais non, c'est tellement plus marrant de laisser Eijirou attendre, hein ?

- Quoi ? s'écria Denki, fronçant les sourcils.

- De quoi tu parles ? soupira sèchement Bakugou, ne comprenant pas grand-chose à la situation, mais n'appréciant pas particulièrement se faire insulter.


Elle eut un rire cynique.


- Parce que tu oses jouer les innocents, en plus ? Ecoute-moi bien, dit-elle en s'avançant. Ce n'est pas parce que tu es connu que tu es au-dessus de nous !

- Mina, tenta Ochaco, je pense sincèrement que Katsuki ne comprend pas ce qu'il se passe, et je t'avoue que nous non plus.

- Ce qu'il se passe ? s'écria Mina, toujours aussi en colère. Eijirou a eu le malheur d'arriver en retard hier – et je suis sûre que c'est parce que cet idiot a encore passé sa nuit à s'entraîner – et je veux bien que cela puisse être énervant, mais de là à refuser ses excuses au point de le laisser attendre seul dans la salle d'entraînement, alors même qu'il a dit être prêt à attendre jusqu'à ce que tu viennes ? Tu crois que les danseurs sont quoi ? Des esclaves, peut-être ?


Katsuki fronça les sourcils. De quoi parlait-elle ? Kirishima ne lui avait jamais dit qu'il l'attendrait jusqu'à ce qu'... Oh. L'acteur se frotta l'arête du nez. Ce stupide danseur.

Sans attendre plus d'explications, il se rua à l'extérieur, laissant derrière lui le reste du groupe complètement confus, ainsi qu'une Mina encore plus en colère. Cette dernière se tourna vers Denki et l'observa serrer les poings.


- C'est la vérité, Mina ? énonça-t-il froidement.

- Attendez, attendez, je pense sincèrement que... commença Ochaco.

- J'ai compris, interrompit Todoroki. Je pense que lors de cet échange dont tu parles, Ashidou, Katsuki n'a rien entendu de ce que lui a dit ton ami.

- Ben voyons ! ricana-t-elle.


Shouto poussa un long soupir ; calmer la danseuse – et désormais le musicien – allait être long et il en avait par avance mal à la tête.



~



Eijirou tenta une énième fois de joindre sa meilleure amie, inquiet de la réaction qu'elle avait eue lorsqu'il lui avait expliqué ce qu'il s'était passé. Elle était venue pour lui rappeler qu'il devait penser à faire des pauses, et l'avait trouvé seul, en tailleur, ce qui avait automatiquement éveillé sa curiosité. Il avait bien tenté de nier, de ne pas aggraver sa réputation auprès de l'acteur, mais la jeune fille avait trouvé ça d'autant plus suspicieux et avait interrogé le pauvre danseur jusqu'à ce qu'il décide de lui en parler.

Elle était ensuite partie d'un pas déterminé, apparemment prête à en découdre. Et maintenant, le danseur était terriblement inquiet pour Mina. Quoi qu'elle dise, quoi qu'elle fasse, cela risquerait de se retrouver sur internet et cela lui serait forcément nocif. Il se mordilla l'ongle du pouce, écoutant la boîte vocale de son amie, et finit par raccrocher. Deux options s'offraient à lui : soit il partait chercher Mina, mais cela ne serait pas très viril de sa part puisqu'il n'aurait pas tenu sa promesse auprès de Bakugou, soit il restait ici mais il ne pourrait plus se regarder en face puisque cela ferait de lui un terrible ami.

Il n'eut pas le temps de faire un choix : la porte s'ouvrit à la volée, le faisant sursauter. Il se tourna et écarquilla les yeux lorsqu'il se trouva face à Bakugou – il l'avait tellement attendu qu'il ne s'attendait pas à le voir débarquer.


- Crétin.

- Pardon ? demanda Eijirou d'un ton vexé.

- Espèce d'abruti. La prochaine fois, vérifie que je t'entende, avant de sortir ce genre d'énormité ! s'énerva l'acteur.

- Comment ça ?


Bakugou pointa du doigt l'une de ses prothèses, le fusillant du regard.


- Quel idiot irait s'enfermer pendant toute une journée sans être sûr qu'il ait été entendu ? Et puis, quel idiot irait s'enfermer pendant si longtemps ?

- Tu, je... Oh, fut tout ce que put répondre Eijirou, rougissant d'embarras.

- Tu remercieras ton amie, parce que sans elle, tu serais encore là à attendre.


Le danseur hocha vivement la tête, posant son téléphone sur le banc avant de dissimuler nonchalamment ses mains dans ses poches afin d'éviter de s'entortiller les doigts d'angoisse.


- Hum... Tu veux bien rester, alors ?


Bakugou fit un pas à l'intérieur et grommela une nouvelle fois face au sourire grandissant du danseur.


- N'en fais pas toute une histoire. Si tu arrives encore en retard, tu feras tes entraînements tout seul jusqu'à la fin de l'émission.


Eijirou lui offrit un nouveau petit sourire et se dirigea, sautillant presque, vers la sono. Il lança une musique assez entraînante, plutôt rythmée mais pas trop rapide non plus, et envoya un message à Shoji qui rappliqua dans la seconde, prêt à filmer.


- Je te propose de danser sur la musique, sans aucune indication.


Face au regard méfiant de l'acteur, il ajouta :


- Comme je te l'ai déjà dit, j'ai besoin de voir ton niveau avant de te donner des conseils.

- Fais chier, jura Bakugou, s'avança néanmoins dans un coin de la pièce.


Il ferma les yeux et tenta de se concentrer sur la musique. Il avait beau essayer de bouger, son corps demeurait immobile, ce qui le fit pester ; il n'aimait pas paraître mauvais à quelque chose. Le danseur s'approcha doucement, tapotant le sol devant lui afin de lui faire ouvrir les yeux – il nota une nouvelle fois la distance respectable que Kirishima avait installé entre eux.


- Essaie de te détendre, oublie que Shoji est là. Oublie que je suis là. Imagine que tu es seul, visualise quelque chose qui te met de bonne humeur.


Fermant une nouvelle fois les yeux, Katsuki tenta de suivre les conseils du danseur, et pensa à son serpent, à la prochaine randonnée qu'il avait prévue, au dernier livre qu'il avait lu. Ses épaules se relâchèrent doucement, et il se détendit peu à peu, se concentrant enfin sur la musique. Il tenta de suivre le rythme, bougea maladroitement son corps en se laissant contrôler par la mélodie. Il n'était pas particulièrement fan des musiques trop énergiques, préférant écouter des morceaux de harpe ou de kalimba. A une époque, il avait plus qu'adoré les mélodies entraînantes, ultra rythmées et avec des voix enragées. Désormais, cela avait juste tendance à lui faire mal aux oreilles. Il se prêta cependant au jeu et se laissa entraîner par la musique.


Pour Eijirou, cela était très enrichissant et lui donnait un bon aperçu. L'acteur ne bougeait pas de son emplacement, n'occupant qu'un tout petit bout de la pièce – ce qui en disait long sur sa vraie personnalité. Il était très en rythme, et ne mettait pas vraiment son corps en mouvement, sans doute trop gêné pour le faire. Ses bras semblaient cloués à ses hanches, et ces dernières ondulaient très légèrement, indiquant qu'il apprendrait sans doute facilement les danses latines. Sa tête se penchait doucement, en rythme avec la musique, tandis que ses jambes semblaient assister à la fête de leur vie. C'était la seule partie du corps qu'il semblait bouger à la perfection – sans doute grâce à ses nombreux entraînements pour perfectionner le personnage qu'il interprétait.

L'acteur avait de bonnes bases ; il aurait sans doute plus de facilités que les autres à apprendre les pas de danse les plus complexes.


- Super, c'est parfait ! sourit Eijirou, mettant fin à l'état de transe de l'acteur qui revint automatiquement à lui.


Katsuki observa le danseur couper la musique.


- Tu as de bonnes bases : le rythme, et les mouvements de jambes. En revanche, tu es trop tendu. Et je pense que je vais surtout t'apprendre à bouger les bras, dans un premier temps.

- Qu'est-ce qu'ils ont, mes bras ? grommela Katsuki.

- Eh bien... Tu ne les as pas du tout bougés, sourit Kirishima.


Katsuki fronça les sourcils. Il pensait avoir bougé tout son corps ; il se tourna vers le caméraman qui lui confirma en hochant négativement la tête.


- On va recevoir le thème d'ouverture dans deux jours, on aura alors une semaine pour préparer la première chorégraphie. Le premier direct n'est pas éliminatoire, mais il faut qu'on fasse bonne impression directement, alors j'espère que tu es prêt !

- Bien sûr que je le suis. Pas question que je perde ! s'enflamma Katsuki, tout à coup très motivé par les propos du danseur.


C'était la première fois qu'il parvenait à être motivé par les propos d'un autre – si l'on oubliait son idole. Il n'y était pas habitué et fut donc très étonné. Malgré la mauvaise impression qu'il avait de Kirishima, ce dernier semblait dépourvu de tout jugement et avoir assez de recul pour trouver les mots permettant à l'acteur d'obtempérer. Et c'était une chose très rare ; Katsuki avait un tel esprit de contradiction qu'il ne lui arrivait jamais d'être d'accord avec qui que ce soit.

Il secoua la tête, revenant à la réalité, tandis que Kirishima lança une autre musique, se tournant vers le blond avec un sourire déterminé.


- Je vais te montrer quelques pas pour te donner les bases.


A peine la musique commença que l'acteur put voir le regard de Kirishima changer. Moins bienveillant, simplet et innocent. Plus concentré, sensuel et mystérieux. Il le vit secouer la tête, comme pour se forcer à rester les pieds sur terre, et se tourna gracieusement vers Katsuki, se mettant à taper le rythme dans ses mains en comptant jusqu'à huit. Il recommença, avançant cette fois-ci son pied, puis l'autre, avant de reculer.

Katsuki n'eut d'autre choix que de tenter de suivre et, si cela ne semblait pas si compliqué, il se trompa à plusieurs reprises, avançant le mauvais pied.


- Chaque fois que je t'apprendrai une danse, je t'enseignerai les pas masculins et féminins, on se fiche des genres mais ça nous permettra de pouvoir suivre selon celui qui guide !

- C'est pas toi qui est censé tout le temps guider ? questionna Katsuki, car c'était une des choses qui l'avaient énervé avec cette fichue émission et ce stupide contrat.

- Pourquoi ce ne serait qu'à moi de le faire ? Avec un peu d'entraînement, tu ne devrais pas avoir de problèmes à guider, et, selon les thèmes qu'on nous impose, je risque de vouloir faire des pas plus... sensuels ou acrobatiques.


Acrobatiques ? Qu'entendait-il par là ? Comptait-il se jeter sur l'acteur – pénétrant son espace vital auquel il tenait tant – afin d'effectuer des figures impossibles ne serait-ce qu'à imaginer tant cela semblait compliqué pour le blond ?

Kirishima le sortit de ses pensées en ajoutant un nouveau geste aux pas qu'il lui apprenait ; il bougeait simultanément les bras et les hanches.

Le blond s'entraîna durant plus de deux heures sans se plaindre, mais il fut obligé de faire une pause lorsqu'une migraine commença à se déclencher. Il éteignit ses prothèses et s'assit dans un coin de la pièce, pestant contre la luminosité bien trop forte.


Comme l'acteur n'entendait pas sa voix, il ne se doutait pas qu'Eijirou pouvait l'entendre – il avait tendance à l'oublier – et continua longtemps à se plaindre du manque d'obscurité alors que sa migraine ne faisait qu'empirer. Lorsqu'il repartit vers sa chambre afin de se reposer, Eijirou se dit qu'il allait falloir qu'il remédie à ce problème, surtout qu'ils allaient passer la majeure partie de leur temps dans cette pièce et qu'il fallait que Bakugou s'y sente bien.

Il alla récupérer des couvertures, ainsi que deux penderies à vêtements qu'il emprunta à Hatsume Mei, une des costumières de l'émission. Il embarqua également quelques coussins et retourna dans la salle d'entraînement les bras chargés. Il installa les deux penderies côtes à côtes mais assez éloignées pour accueillir au moins trois personnes et installa sur les deux la plus grande couverture qu'il trouva, de sorte à créer comme une cabane. Il ajouta une autre couverture en guise de porte (qui vint également cacher l'autre côté) et plaça tous les coussins à l'intérieur, ainsi qu'un drap au cas où l'un ou l'autre avait besoin d'une petite sieste. Fière de son aménagement, le danseur sourit devant son œuvre avant de partir vers la salle de repos.


- Ei ! s'écria Denki dès qu'il fut entré à l'intérieur. Tout va bien ? Tout s'est bien passé ?


Le musicien prit les joues de son meilleur ami entre ses mains et planta ses yeux dans les siens – parce qu'une chose était de notoriété commune ; si le danseur était capable de sourire dans les moments les plus stressants, ses yeux ne mentaient jamais.


- Je vais bien, ne t'en fais pas ! Tout s'est arrangé, c'était un gros malentendu et je suis complètement idiot ! dit-il en riant avant de se tourner vers Mina, qui était tranquillement installée entre Yaoyorozu et Kyouka. Merci beaucoup, d'ailleurs, Mina !

- La prochaine fois ne prend pas des décisions aussi stupides et viens juste nous en parler directement, répondit-elle en faisant la moue.

- C'est promis !

- Il dit ça, s'exclama Kyouka, mais dès qu'il a un problème il ne vient jamais nous voir sauf en dernier recours !

- Oh, c'est étonnant ! sourit Yaoyorozu. Enfin, je suis ravie que tout se soit arrangé !


Mina opina et se replongea dans la bande dessinée qu'elle venait de commencer. Elle avait dansé toute la journée et c'était enfin son petit moment de pause – qu'elle avait en grande partie passé à s'inquiéter pour le danseur aux cheveux rouges. Elle soupira ; elle finirait par avoir des cheveux blancs, à force de se soucier de ce petit. 

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