LE LIVREUR [TOME 2/BTS, V, LE...

By TullisMoname

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Taehyung est un livreur... mais pas de pizzas. Tu le sais car tu es son prochain colis, et que tu es enfermée... More

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#RE-PUBLICATION DU DÉBUT !
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SURPRISE
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SURPRISE 2.0
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By TullisMoname

Bon.

Alors il est actuellement 03:35 du matin, et je finis d'écrire ce chapitre à l'instant...

Alors autant vous dire que je suis CREVÉE ! 😔😴

Et je pense que vous aussi, à cette heure-ci 😂

À mon avis je suis seule, là.

Y'a plus aucune Sucrette sur le pont..
😂😂

Du coup, on a qu'à dire que ce chapitre sera votre cadeau du réveil ❤️😘

ENJOY !!

(Attention, très long (et chaud) chapitre)

***

DU POINT DE VUE DE TAEHYUNG

Elle s'est salement écorchée.

De ses putains d'ongles, elle a déchiré la peau et gratté la chair de son épaule et de son omoplate.

J'ai quitté ce foutu salon à peine cinq minutes pour aller lui chercher des fringues, et voilà l'état dans lequel je la retrouve.

Assise en boule sur mon sofa.

Une main passée dans le dos, à se mutiler sans en avoir l'air...

Le tout, en observant calmement son sang souiller le sol, penchée en avant.

Je serre les dents à en faire péter les pointes de mes canines.

Heureusement les saignements sont pas importants et cessent vite, mais elle s'est quand même bien amochée...

La douleur devrait quand même être évidente, non ?

Pourquoi elle a l'air de s'être rendue compte de rien ?

- L'autre épaule, imbécile, je lance agressivement, mettant toute ma fureur dans ma voix pour cacher l'inquiétude qui commence à grimper sournoisement.

La voir maltraiter elle-même son beau petit corps, me met hors de moi.

Pas autant que quand Jimin-l'enculé-de-service s'en charge, mais pas loin.

- T'es en train de me dire que tu sens rien, là ?

La petite flic pousse un petit cri de surprise quand elle tourne la tête, et pose les yeux sur le carnage dans son dos.

- Mais... q-quoi... agh !

Bordel, elle s'est vraiment rendue compte de rien.

Et maintenant que ça y est, la douleur qui accompagne cette foutue blessure apparaît comme par magie.

- N'y touche pas ! j'ordonne sèchement, alors qu'elle dirige ses doigts tremblants et couverts de sang vers les plaies. Idiote...

Un frisson me parcours l'échine, et je sens les poils de mes bras se dresser.

Je suis pas psychologue, d'ailleurs je sais pas comment les psychologues appellent ça...

De "l'auto-mutilation inconsciente" ?

...aucune foutue idée, mais je me doute bien que ce genre de comportement traduit une bonne grosse défaillance... d'ordre mental.

Les mots de la secrétaire-pute s'invitent à nouveau dans mon esprit.

"Si l'Officier Jeon cherche sa fiancée de partout dès qu'il rentre de mission, s'il la surprotège, qu'il n'a d'yeux que pour elle puis qu'ils sont gosses... c'est parce qu'il l'a déjà empêchée de se suicider. Et il a peur qu'un jour où elle se sentira de nouveau seule, faible ou prise au piège, elle recommence."

J'étais déjà au courant depuis un bout de temps déjà, qu'au fond d'elle, la petite flic était toujours une enfant traumatisée.

Mais comme un con j'ai pris les paroles de sa secrétaire trop au pied de la lettre : pour que ma prisonnière se sente pas trop "prise au piège", je l'ai fait sortir de sa chambre confinée pour lui donner accès à toute la baraque.

Mais ça a pas été suffisant.

J'ai pas pensé qu'à défaut d'être pris au piège physiquement, on pouvait aussi l'être mentalement.

Ce qui est son cas, à elle, en ce moment-même.

Clairement, ce qui lui passe par la tête est pas tout rose.

Elle s'en veut pour quelque chose qu'elle a fait, et se punit pour ça... pas compliqué de deviner de quoi il s'agit :

- Tu m'as laissé te faire l'amour, je lâche tout haut.

C'est évidemment pour ça que tu t'en veux.

La petite flic quitte des yeux l'épaule déchiquetée qui avait jusqu'alors toute son attention, et me jette un regard rempli de larmes.

- Et t'as peut-être trahi ton enfoiré de fiancé en le faisant...

Rejetant la soie de mon peignoir en arrière, je m'accroupis devant elle sur le carrelage souillé.

- ...mais tu t'es écoutée, toi.

Elle esquisse un mouvement de recul, mais je pose une main sur sa cuisse nue et elle s'immobilise aussitôt.

- Tu m'as laissé de faire l'amour..., je répète.

Je presse légèrement sa cuisse de mes doigts, avant d'achever :

- ...et merde, poupée, c'était la bonne chose à faire ! Il faut aussi voir le bon côté des choses, t'as pris ton pied comme une petite folle...

La gifle que je me prends dans la seconde qui suit, résonne dans toute la foutue pièce.

Celle-là tu l'as méritée, connard...

- LA FERME ! elle hurle en me saisissant par le col du peignoir, ignorant les entailles qui saignent toujours à son épaule, tâchant mon peignoir. Comment est-ce que tu peux dire que c'était la bonne chose à faire !?

La teigne me crache ses paroles à la face.

Son visage est rouge de colère, sa moue mauvaise, ses yeux furibonds.

Elle me ferait presque flipper, si elle était pas aussi désirable.

Même dans cet état.

- Tu n'as absolument AUCUNE idée de ce que Jungkook a fait pour moi, au cours de ces dix dernières années ! AUCUNE ! Et à cause de toi, de ce... truc que tu me fais quand tu me touches ou m'approche de trop près, je l'ai trahi ! JE L'AI TRAHI !

Elle me relâche brutalement, et je bande tous les muscles de mon corps pour ne pas me renverser sur le cul.

- J'ai été é-égoïste..., elle hoquète, sa colère retombant d'un coup et que les sanglots reprenant le dessus. J'ai cédé à la tentation sexuelle dans tes bras, sans même penser à ce que Jungkook ressentira, ou à l'horreur qu'il doit être en train de vivre en ce moment-même avec Jimin.

Sa voix se brise.

- Je t'ai donné ma virginité..., elle murmure dans un souffle ; alors que je lui devais bien ça.

Je la regarde pleurer en silence pendant quelques secondes, puis lâche un long soupir :

- Tu vois, poupée, c'est exactement ça ton problème.

Il est carrément temps de lui ouvrir les yeux, à celle-là. Si j'ai pu voir ce qu'il se passe dans son maudit couple sans même être un des deux partis, elle le pourra aussi.

- Ton problème, c'est que tu penses que tu lui "dois" quelque chose, à ton putain de fiancé, que tu lui es redevable.

J'hausse les épaules.

- Et ouais, sans doute que tu l'étais, après qu'il t'ai empêché de sauter du toit et de repeindre la cours de récré avec ta cervelle.

Les yeux de ma petite flic, maintenant rouges et bien bouffis, s'écarquillent pour me fixer avec stupéfaction.

Et ouais, je suis au courant, ma belle.

- Mais de là d'où je le vois, poupée, t'as déjà rendu à cet enfoiré, bien plus que ce que tu lui devais. Et tu sais ce qui me fait dire ça ?

Elle secoue vivement la tête, mais je tends le bras et lui attrape le menton pour l'immobiliser, avant de continuer quand même :

- Tu lui a donné toute ta putain de vie. Dis-moi si je me trompe, mais tous les choix importants que t'as eu à faire ces dix dernières années, tu les as fait pour lui, pas pour toi.

- Arrête, Taehyung, elle me coupe sèchement. Tu crois me connaître parce que tu m'as eu avec toi pendant deux semaines, mais tu ne sais rien de moi.

Je cherche même pas à retenir le ricanement sarcastique qui passe mes lèvres.

- Je sais que t'aimes pas te battre, que la violence ne t'attire pas mais que, même malgré ça, t'es flic. Flic de bureau comme de terrain, apparemment.

Un rictus étire mes lèvres.

- C'est lui qui t'a convaincue d'entrer à l'école de police après le lycée, hein ? Un bon moyen pour te garder à ses côtés toute la journée, à la maison comme au boulot. Un bon moyen de toujours savoir ce que tu fais pendant les heure de travail, d'où tu es, de qui tu fréquentes...

Mes doigts quittent son menton, pour aller saisir sa main gauche, qui paraît foutrement petite comparée à la mienne.

- Quand je dis que tu lui a donné toute ta putain de vie, je parle pas que de ta carrière, je parle aussi de ta main. Celle que tu lui as promise, alors que tu ne l'aimes pas.

La petite flic retire vivement ses doigts des miens, et les sert contre sa poitrine.

- J'aime Jungkook, elle tremble en secouant de nouveau la tête; plus que n'importe qui.

- Bien sûr que tu l'aimes, idiote, sinon tu te serais pas mutilée à l'idée de lui avoir fait du mal... Mais tu l'aimes pas comme une femme aime un homme. Et tu sais quoi ? Je pense qu'au fond, tu le sais déjà. Tu l'as jamais laissé te baiser en dix ans de relation, mais tu m'as cédée, à moi, alors que tu me connais à peine. Ton enfoiré de fiancé est devenu bi pour toi, c'est clair qu'il éprouve du désir sexuel à ton égard... mais tu n'en as aucun pour lui.

La phrase suivante est carrément jouissive à dire, et glisse sur ma langue d'une manière délicieuse :

- Tu l'aimes comme un frère, bébé, un putain de frère.

Je quitte ma posture accroupie et me relève.

- Alors je vais me répéter, je déclare en secouant mes jambes engourdies sous le peignoir ; mais de là d'où je le vois, poupée, t'as déjà rendu à cet enfoiré bien plus que ce que tu lui devais. Tu lui as même donné bien plus que ce tu as en toi.

Je me prends place aux côtés de la petite flic sur le sofa.

- Il t'a peut-être sauvé la vie quand t'étais jeune, mais maintenant tu gâches la tienne parce que tu te crois encore redevable.

La prenant au dépourvu, je la renverse sur le siège.

Elle pousse un cri alors que je la pousse à s'allonger sur le ventre, histoire que le tissu du siège n'éraffle pas les entailles de son épaule et de son omoplate.

- Qu'est-ce que tu fais !? elle s'insurge lorsque j'envoie nos deux peignoirs à l'autre bout de la pièce, et que je me place sur elle à califourchon, au niveau de sa belle paire de fesses.

- Perds plus ton temps avec cet enfoiré, je donne pour toute réponse, faisant glisser mes doigts le long de sa colonne vertébrale, là où le sang qui s'est échappé de son épaule a coulé. Vis ta vie pour toi, pas pour lui.

Je me penche en avant, et pose ma queue entre ses globes de chair, lui montrant à quel point elle me rend dur, même dans son état le plus misérable.

Je sais que faire ça a l'air foutrement déplacé dans une situation pareille mais...

- Écoute tes propres désirs...

Laisse-toi charmer à nouveau, faire de toi une amante comblée, pas une individue redevable à un autre, piégée dans une relation sans évolution possible.

Me débrouillant pour que mon torse ne touche pas son dos, je me penche encore en avant et l'embrasse tendrement à l'arrière du crâne, avant de me mettre à frotter mon sexe tendu contre son cul.

Et à vrai dire, j'ai pas vraiment besoin d'en faire plus pour la faire succomber : ses muscles crispés se détendent peu à peu, et elle tend instinctivement les fesses en arrière, dévoilant ainsi l'entrée de sa petite chatte entre ses globes légèrement écartés.

J'arrête d'aller et venir contre elle, et place plutôt mon gland à l'entrée de son sexe.

- Alors, poupée, je gronde dans son dos, d'une voix rendue rauque par l'excitation; que te disent tes désirs ? Est-ce qu'ils me veulent à l'intérieur ?

Sa fente qui s'est humidifiée à une vitesse impressionnante, me donne une idée de la réponse, mais je préfère demander.

Un long silence suit ma question, puis enfin ma petite flic répond :

- Oui, elle lâche dans un souffle, presque imperceptiblement.

Je souris de toutes mes dents dans dos, et l'embrasse à nouveau dans les cheveux, avant de pousser les hanches en avant.

Elle gémit mi-plaisir mi-douleur, lorsque mon membre commence à étirer à nouveau les parois de son sexe.

Bordel, que c'est bon.

Humide. Palpitant. Brûlant...

Et mien.

Je me mords la lèvre en m'enfonçant lentement en elle, puis murmure à l'oreille de ma petite prisonnière, qui s'est mise à haleter :

- Je suis là pour toi maintenant, poupée. Oublie cet enfoiré. Avec moi, t'as trouvé un remplaçant pour te protéger...

Je m'arqueboute et grogne de plaisir en atteignant le fond de son sexe :

- ...et pour t'aimer.

***

AU MÊME INSTANT, CHEZ JIMIN

- Je te fais du café ? lance Jungkook d'une voix forte pour que l'autre l'entende.

Il contourne le plan de travail en marbre et, sans attendre de réponse, met la cafetière en marche en passant devant.

La machine s'active, se mettant à vibrer en filtrant le café, tandis que Jungkook ouvre le placard pour en sortir deux tasses en porcelaine.

Il en pose une sur le plan de travail... mais n'a pas le temps de poser l'autre : une douleur aigue lui transperce le bas-ventre et il se plie brutalement en deux, lâchant la tasse qui explose sur le sol.

- Ne m'en veux pas, Kookie, lanche Jimin en pénétrant dans la cuisine avec une petite télécommande à la main. Tu sais bien que ce truc ne fait mal que quand il s'active.

Le souffle coupé, Jungkook reste plié en deux pendant de longues secondes, la tête sous le plan de travail, les mains crispées sur le rebord en marbre.

Puis effectivement, au bout de ce qui doit être une minute, la douleur se dissipe et laisse place... au plaisir.

Un plaisir intense, provoqué par les contractions rapides d'un l'anneau électrique, passé autour du pénis de Jungkook.

- Merci..., halète le plus jeune en titubant jusqu'au mur le plus proche.

Il se penche en avant pour plaquer son front contre la surface lisse, et se met à asséner de petits coups de reins dans le vide, répondant à la simulation du sextoy.

- J'en avais tellement besoin...

Il pousse un râle érotique, accélérant le mouvement de ses hanches, et Jimin ricane en s'approchant dans son dos.

- Content de l'apprendre, Kookie.

Il pose une main sur les fesses musclées de son cadet, et accompagne ses mouvements de va-et-viens frénétiques en se mordant la lèvre.

- On dirait que ces deux semaines de simulation non-stop finissent enfin par payer... Je t'ai rendu avide.

Un sourire carnassier aux lèvres, Jimin pousse le sextoy à la vitesse de contraction maximale.

Jungkook se cambre violemment, quittant le mur, poussant un long gémissement.

- Déjà ? grince Jimin en observant son cadet jouir dans son propre pantalon. Il ne reste vraiment plus aucune trace du frigide en toi.

Il arrête le sextoy et rattrape son cadet, lorsque que ce dernier s'écroule sur le sol, vidé.

Le bip sonore de la cafetière retentit à ce moment-là, et Jimin envoie une claque à Jungkook, avant qu'il ne s'endorme.

- Sers-moi mon café et on recommence, il ordonne, glacial. T'éjacules trop vite maintenant, je veux travailler ton endurance.

Il abandonne le plus jeune sur le sol, et se remet sur pied en s'époussetant.

Un autre bip sonore retentit alors.

Celui d'une notification SMS, cette fois.

Jimin porte la main à sa poche arrière avec nonchalance, et en tire son smartphone.

- Tiens..., il lâche après avoir lu le contenu du message. Dis-moi, Kookie, je sais que ça fait longtemps qu'on a pas parlé d'elle mais... tu veux toujours savoir où est pupute ?

Jungkook se redresse vivement aux pieds de Jimin, se débarrassant instantanément de la fatigue engendrée par l'orgasme foudroyant qu'il vient d'avoir.

- Quoi ? Où elle est ? Tu sais où elle est ?

- Aish... Ne lui porte pas un intérêt aussi vif, le réprimande Jimin en lui envoyant un coup de botte dans les côtes. J'apprécierai si tu pouvais la jouer un peu plus "désintéressé".

Jungkook tousse un instant, mais l'ignore et répète, d'une voix plus forte :

- Tu sais où elle est ?

Jimin secoue la tête.

- Non, mon beau. Mais je sais où elle sera ce weekend.

Un sourire machiavélique étire les lèvres pleines et roses de l'aîné.

- Chez mon boss.

Il range son portable dans sa poche arrière, et laisse tomber la bombe :

- Le traffic reprend.

***

🎶 ÇA NE POUVAIT PAS TOMBER PLUS MAAAAAAL 🎶

Je n'ai rien à dire cette fois, mes Sucrettes.

Aucun spoil à faire.

À part peut-être : C'EST LA MERDE.

Le traffic, soit la source de TOUS les problèmes de cette fanfiction, reprend.

Et le lot de conséquences est GIGANTESQUE.

(La suite au prochain chapitre, je vous aime ! ❤️)

***

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