Na lingaka yo.

Od Gvenchygold

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« C'est toi que j'aime. » en français. L'amour est le sentiment le plus pure que l'être humain puisse ressen... Viac

Synopsis.
I.
II.
III.
IV.
V.
VI.
VII.
VIII.
IX.
X.
XI.
XII.
XIII.
XIV.
XV.
XVI.
XVII.
XVIII.
XIX.
XX.
XXI.
XXII.
XXIII.
XXIV.
XXV.
XXVI.
XXVII.
XXVIII.
XXIX.
XXX.
XXXI.
XXXII.
XXXIV.
XXXV.
XXXVI.
XXXVII.
XXXVIII.
XXXIX.
XL.
XLI.
XLII.
XLIII.
XLIV.
XLV.
XLVI.
XLVII.
XLVIII.
XLIX.
L.
LI.
LII.
LIII.
LIV.
LV.
LVI.
LVII.
YTB
LVIII.
LIX.
LX.
LXI.
LXII.
LXIII.
To our child. ✨
Nouvelle histoire !

XXXIII.

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Od Gvenchygold

Céline Edwards en média.
19 ans, congolaise 🇨🇬 et anglaise.

Deux semaines plus tard.
Déborah.
📍Kingston, Jamaïque.

Je viens de finir de signer le bail pour mon nouvel appartement en Jamaïque. J'ai décidé de quitter la France, tant bien que mal. Malgré que je sois enceinte maintenant de six mois maintenant, je prend le risque de devoir élever la fille de Stephen seule. J'attend une jolie petite demoiselle et même si j'ai prévenu le père avant de m'en aller, il ne l'a rencontrera jamais. Et je m'occuperai personnellement à ne l'a faire apparaître seulement le jour qui me sera favorable.

Le notaire sort de l'appartement et je respire doucement l'air de mon nouvel environnement. Je caresse mon ventre et m'adressant à ma petite princesse.

– Et oui ma jolie. C'est notre nouveau chez soi.

Une personne sonne à la porte. Je vais ouvrir, c'est Manuella. Elle a décidé de me rejoindre pour passer quelques vacances dans le pays. Je lui ai proposé de venir m'aider chez moi. Et entant que bonne amie elle a accepté. On s'installe sur le sofa tranquillement.

Manuella – Comment vas la plus belle des mamans ?

– Je pète la forme et toi ?

Manuella – Ahah, de même. Les affaires sont entre de bonnes mains à Paris.

– Ah oui ? Donc à ce que je vois, l'entreprise fait de bons chiffres !

Manuella – Oui. Avec l'entrée bourse qui monte chaque semaine. Je suis pleine au as.

– Je suis ravie pour toi. Comment vas Joachim ? Depuis que sa soeur n'est plus.

Manuella – Je l'ai laissé avec sa copine. Mais Tristan s'en occupe. Me dit-elle un sourire en coin.

– Ça veut dire quoi ce sourire malicieux ?

Manuella – Une petite disparition soudaine transformer en voyage rapide.

– Expliques mieux.

Manuella – Il a kidnappé Céline.

– Mais Manuella !

Manuella – Quoi ? J'ai l'impression que la mort de sa soeur ne l'a pas assez affecter.

– Mais comment peux-tu dire ça ? Je n'imagine même pas l'état de sa mère en ce moment.

Je soupire.

Manuella – La maternité commence à avoir raison de toi.

– Je suis juste humaine ! Ce que tu fais c'est très mauvais tu sais. Déjà une morte innocente ! Maintenant Céline qui paie pour ta haine envers Joachim. Alors que tu avais brisé leur couple à l'époque.

Manuella – Hép, hép, hép ! Je ne suis pas venue ici pour que tu me réprimande madame je tombe enceinte du petit copain de ma cousine.

– Elle m'a piqué mon fiancé.

Manuella – Que tu n'aimais pas !

– Ne change pas la situation en ta faveur ! Laisse Céline.

Manuella – Trop tard, à cette heure elle a déjà du se faire battre à mort ou même... violer.

– Comment peut-on être si mauvais...

Manuella – Venant de toi.

Bailey.

Maëlys – Saches que nous sommes que deux.

– Oui, deux à vouloir le bien de Rose.

Maëlys – Comme ça c'est clair. Les autres là, ne l'a font que rêver en lui disant qu'elle pourrai avoir une histoire stable avec Stephen. Ce qui est complètement absurde.

– C'est clair ! Vaut mieux encore qu'elle entretienne une relation avec Ismaël.

Maëlys – Il a l'air d'être un bon garçon.

– Oui. De bonnes familles à ce que j'ai entendu de plus.

Ma mère entre dans ma chambre et prend une chaise. Elle s'assoit et regarde Maëlys puis moi.

Maman – Ce que vous faites est juste injuste les filles.

– Je ne savais pas que tu écoutais aux portes.

Maman – Bailey !

– Pardon.

Je baisse les yeux.

Maman – Rose je l'a connais depuis des années. Elle est comme ma fille et je sais que Stephen est l'homme qui lui faut. Comme vous deux vous savez que sans Stephen, elle ne sera jamais bien !

Je soupire.

– Il l'a trompé ! C'est fini l'époque de la préhistoire où fallait supporter et garder secret l'irrespect de son homme. Elle peut s'en déliée et arrêtée d'espérer quoi que ce soit avec une homme comme lui !

Maëlys – Oui. Un homme qui trompe une fois, trompera une seconde fois. Puis une troisième et ainsi de suite. On veut pas ça pour elle. C'est comme notre petite soeur. On veut pas toujours devoir ramasser les peaux cassées !

Maman – En l'éloignant de l'homme qu'elle aime ? Non non les filles. Ça ne marche pas comme ça. Si vous l'aimez vraiment, dites lui votre point de vue sur l'histoire. Et écoutez le sien. Pesez le pour et le contre et parler à Stephen puis laissez les agir tous les deux. Vous ne faite pas parti de leur relation et en aucuns cas vous avez le droit de séparer ce que Dieu a unis.

– Elle l'a bien fait.

Maman – Héla ! Tu parles de Rose ou d'une pauvre nana du quartier ?!

– Non mais maman c'est vraiment énervant. C'est nous qui devons suporter lorsque Stephen fou la merde dans leur couple !

Maman – Vous êtes amis ou pas ?

Maëlys – On est comme des soeurs.

Maman – Alors comportez vous comme telle. Montrez lui votre soutient. N'est-elle pas là lorsque Thomas te fait du mal hein ? Et avec Keylson non plus ?

Je regarde Maëlys et roule des yeux. Ma mère a toujours raison.

Céline.

Il faisait noir et tout était égris. Il faisait froid, si froid que mes dents claquait. J'avais l'impression que mes orteils s'étaient décollés de mes pieds tellement le froid les paralysait. Nous sommes pourtant en printemps. Je ne comprend pas, je n'ai aucuns vêtements sur moi et je suis sur le sol, nue. J'essaie de me réchauffer à l'aide de mes mains mais ma chaleur corporel faibli chaque seconde un peu plus. Lorsque dans ce noir, une silhouette costaud apparait à travers une légère lumière. C'était un homme grand et fort de carrure. J'osais pensé qu'il venait pour me sauver. Mais c'était tout le contraire de ce que je pensais. Il s'avance près de moi et se met à me frapper. Ses coups étaient de plus en plus fort avec de plus en plus de puissance et de violence. Je commençais à voir flou. J'avais de moins en moins de force mais espérais doucement que quelqu'un vienne me sauver. Mais qui ? Il fini de me frapper avec entière satisfaction. Et laisse mon corps sans puissance. Il commence à s'en aller et s'arrête brusquement.

– Je n'en ai pas fini avec toi. Dit-il sur un ton rauque.

Il revient sur ses pas et me frappe au visage une nouvelle fois puis s'allonge sur moi dans tout son poids. Ce qui me fait laisser échapper un cri strident qui résonna dans toute la salle vide et sombre. Il commence à se déshabiller et malgré mon désarroi et mon impuissance j'essaie de ramper pour échapper à son emprise mais il attrape ma cheville. Il me tire à lui et me regarde dans les yeux. Il baisse son pantalon et ne perd pas son temps. Il prenait son pied à me faire du mal tandis que mes larmes coulaient dans le silence du à la douleur et à la honte. Il joue avec ma poitrine, me baise le corps et chuchote des insultes à mon oreille qui résonne dans mon esprit.

– Tu es une pauvre fille, personne ne voudra plus jamais de toi. Aucun homme ne voudra te faire l'amour et même pas te baiser comme une chienne que tu es, ahahah.

Il grogne en appuyant sur mon pauvre corps affaibli et sans défense. Puis à la fin de son acte monstrueux, il me relève par mes cheveux et me regarde dans les yeux.

– Tout ça est de la faute Joachim Damon Kiondele.

Joachim Damon Kiondele.
Joachim Damon Kiondele.
Joachim Damon Kiondele.

Ismaël.

Rose voulait me voir. D'après elle, ça faisait pas mal de temps que je n'avais donné aucun signe de vie alors elle voulait savoir comment j'allais. Je n'ai pas refusé, c'est une bonne pote. Je prend ma voiture et vais au centre commercial des galeries LaFayette. Elle veut que nous nous y retrouvons.

[...]

Je gare ma voiture et descend de celle-ci. J'avance hors du parking et croise Malika et une autre jeune femme. J'essaie d'avancer plus loin pour qu'elle ne me voit pas. Je n'ai pas encore assez digéré le fait d'avoir une famille. Mais je l'entends crier mon nom.

Malika – Ismaël !

Je me retourne et nous avançons vers l'autre. On se fait la bise et je la fais aussi à son amie.

Malika – Tu vas bien ?

– Oui et toi ?

Malika – Super. Je te présente Maïna, ma copine. Maïna, voici Ismaël. Mon- mon-

– Son pote.

Malika me regarde. Je reprend vite mes esprits.

– C'est pas tout les filles mais je dois voir quelqu'un. À toute Malika et ravie de te connaître Maïna.

Je m'en vais rapidement. Je sais même pas comment être qualifié auprès des proches de « ma famille ». Je soupire et vois enfin Rose. Je lui fais la bise.

Rose – Tu t'es fait tout beau tout propre comme ça, juste pour moi ?

– On sait jamais où y'a d'la femelle.

Rose – Congolais change s'il te plaît !

Nous riions. On entre dans le centre commercial et commençons à discuter sur des sujets divers et variées.

Kimberley.

Je m'assois doucement sur le sofa de chez Kaëron. Nous avions quelques affaires à régler. Monsieur avait décider de disparaître pendant un moment, sans raison valable. Et je ne suis pas une imbécile pour ne me douter de rien. Alors je le confronte. Au lieu de me morfondre dans mon coin comme une pauvre fille. Il revient avec un t-shirt car il m'avait ouvert la porte torse nu. Sûrement pour me faire fondre mais vous me connaissez, j'ai fais style qu'il ne m'avait pas fait d'effet. Alors que si.

Kaëron – Si tu es là c'est pour une raison.

– Jure le moi.

Je me laisse tombé sur le sofa.

Kaëron – Tu vois, tu fais encore et toujours la meuf.

– C'est ma nature.

Kaëron – Non non. C'est pas ta nature. Tu fais ça pour me tester, parce que tu as peur que je te fasse du mal alors tu gardes cette foutu carapace.

– Si tu m'aimes comme tu le dis, tu l'as surmonte.

Il me regarde et se met à rire.

Kaëron – Pourquoi c'est toi que j'ai voulu gérer ? J'aurai pu gérer ta copine là.

– Reine ? Elle est belle, charmante, bla-bla-bla. Mais ta reine c'est moi !

Il s'approche de moi et pose sa main sur ma nuque. Et me chuchote à l'oreille.

Kaëron – Tu m'rends fou Kimberley... ma Kimberley.

Il m'embrasse. Pour une fois, je ne lui ai pas résister. Même si ma fierté affichait alerte rouge. Il s'arrête et se rassoit à côté de moi.

Kaëron – Mais dis moi, j'ai entendu dire que Rose et Ismaël se côtoyaient.

– On dirait. Mais il a l'air d'être bien.

Kaëron – Pas autant que moi.

– Pourquoi j'aime un zaïrois ?

Kaëron – Ça veut dire que tu m'aimes ?

Je roule des yeux.

– Mais je préfère Stephen. Il est vraiment plus je sais pas... mais je préfère lui.

Kaëron – Tu n'as pas répondu mais je vais faire comme si je n'avais rien entendu ! Et Stephen et Ismaël sont frères.

Je me tourne vers lui.

– Oh, potin, potin, potin !

Rose.

Ismaël – J'ai quelque chose à t'annoncer.

– Je t'écoute.

Ismaël – Je suis le frère ainé de Stephen.

Pokračovať v čítaní

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