Désolé pour cette attente non justifié ! L'avant dernière partie de l'histoire fantaisie ! J'espère ne pas avoir perdus tout mes lecteur •_•'
Bref allons y !❤️
ROMÉO
Louis m'a amené au bord d'une rivière, sur un chemin bordé d'arbres et sur la place du marché au petit matin. J'ai pus sentir, goûter et vivre des choses qui m'était auparavant inconnues.
J'ai commencé à faire partie de son monde et il était devenu le mien. Je m'attachais à lui comme à une bouée et il serrait toujours ma main avec un grand sourire pour me réconforter lorsque je doutais. Et je me sentais si bien, que même sans son touché protecteur, les "méduses" sous ma peau étaient devenu bien moins douloureuses.
Ses nouvelles mèches noirs ne semblaient plus le dérangé bien qu'elles lui tombaient souvent devant les yeux. J'ai doucement tendu la main quand il lisait son livre et je me suis penché. Mon cœur manquait de transpercer ma poitrine, ma main dégagea les mèches devant son visage et lorsque mon visage s'approchait du sien, il prit ma main et plongea son regard vert dans le mien. Le bout de son nez touchait le mien et je me suis écarté en le voyant me brandir les pages de son livre.
«- On pourrait partir faire un tour en voiture, il posa son doigt sur le papier jauni. J'allais souvent pique-niquer en regardant la cascade avant, c'est loin mais papi pourrait nous prêter sa voiture ? Il pourrait même venir avec nous ?»
J'ai doucement rie en voyant à quel point il se donnait du mal pour trouvée de fabuleux endroit à me montrer.
«- Tu veux aller voir la cascade ?
- Tant que je peux te voir toi, dis je en le contemplant comme si je le découvrais pour la première fois. Je pourrais te suivre jusqu'au bout du monde sans que tu ne me le demandes.»
Il me regarda les yeux écarquillés et la bouche entre ouverte.
«- Laisse moi réfléchir à ce que je viens de dire s'il te plaît.»
J'ai souris en replaçant les mots que j'ai dis dans l'ordre. Louis enlaça ma main et me jeta un regard compatissant et chaleureux. Je pouvais déjà sentir son "pouvoir" me calmer. J'ai doucement soupirer et j'ai fermé les yeux.
«- Je t'aime.»
Je fixais le bout de mes chaussures la bouche encore ouverte. Je me suis soudainement levé en me rendant compte de ma déclaration, et tout en souriant, je me suis rediriger vers la maison. J'ai couru aussi vite que la honte me le permettait.
Je me suis enfermée dans ma salle de bain. J'étais assis sur mes talons en serrant mes genoux entre mes mains. Je faisais des mouvement de balancier qui m'aidaient à me calmer. J'avais chaud et mon cœur battait à toute allure, mais je ne voyais et ne sentais aucunes méduses sous ma peau. Je me suis levé pour me mouiller le visage quand je vis les lettres écrites avec la buée.
J'ai défoncé la porte en me ruant jusqu'à la chambre du vieux. Je suis passé à toute vitesse devant Louis qui me dévisagea la main tendu vers moi.
Je m'excuserais plus tard, car si mes peurs sont fondées, je ne suis pas sur de pouvoir le lui dire un jour.
Louis
Je voulais rattraper Roméo, mais je fus comme cloué au sol. J'étais à genou Le Bras tendu vers lui incapable de dire un mot. J'ai senti une douleur inexpliqué monter de ma main jusqu'à ma poitrine. Ça n'a duré que quelques secondes mais je devais en parler à Roméo. Peut être que ça avait un rapport avec notre "lien" ? Une sorte d'effet secondaire.
Lorsque j'ai monté les escaliers, mon corps était devenu lourd. Le blond passa à toute allure devant moi et referma la porte de papi avant que je ne puisse lui dire un mot. Je me suis traîné dans la salle de bain en colère et terrifié par ce qui m'arrivait. Je suis restée longtemps assis contre la baignoire incapable de me lever ou d'appeler à l'aide. J'étais en nage et j'avais les yeux qui brûlaient.
Lorsque mes jambes se sont enfin réveillées, j'ai posé ma main sur le miroir qui se brisa à mon simple touché. Je pris un débris, me coupant la paume pour voir le rouge sangs pareil à celui de mes prunelles. J'ai lâché le fragment en passant ma main sous l'eau. Des gouttes pourpres sont tombé dans l'eau tendis que je la fixais s'en aller dans les tuyaux. J'ai doucement porté la main à ma bouche d'où il semblait coulé un liquide épais et rouge. Les quelques fragments rester sur le miroir me renvoyaient l'image d'un monstre aux mèches noirs et aux yeux sombres.
Ma tête commençait à me faire mal quand ma vision se troubla. J'ai serré fort les paupières, mais c'était comme si on m'avait soudainement laissé tombée dans l'eau et que j'étais détaché du monde. J'étais déjà entièrement immergé quand mon corps commença à bouger sans que je le veille. Et puis je me suis comme assoupi.
Roméo
J'ai ouvert tout les livres en rapport avec ma malédiction, relu tout les parchemins et parcouru toutes les notes jusqu'à trouvé le passage que je recherchais. Une page, une seule, en haut de la qu'elle était écrit la même chose que sur le miroir : "Maledictus furor Cretaeam belua" qui peut être traduit par "Une malédiction sur le monstre".
La page parlait d'un démon maudît au pouvoir destructeur vivant dans la souffrance et d'une fée capable d'apaiser craintes et tourments. La fée voulant trop aider fini par absorber entièrement le pouvoir du démon qui fut libéré de son mal, mais la fée prit l'apparence d'un monstre de cauchemar sous l'effet de la malédiction.
Ne voulant combattre le démon comme la malédiction lui ordonnait, elle se laissa mourir dans le néant tendit que le démon la chercha éternellement dans les trois monde, le ciel, la terre et les enfers. Les condamnants tout les deux à la solitude éternel.
La malédiction n'était ni la douleur, ni la solitude mais le fait de perdre la personne qui nous était le plus chère. Nous obligeant à la voir disparaître sous nos yeux à cause de son amour pour nous.
À peine les derniers mots on raisonné dans ma tête que j'ai couru hors de la chambre. La salle de bain d'en face était saccagé, le miroir explosé sur le sol et la traînée de sangs menant à la salle à manger. Les genoux tremblants j'ai avancé prêt à toutes les possibilités, toute sauf celle qui s'illustrait devant mes yeux.
Louis se tenait la tête recroquevillé dans un coin de la cuisine s'éloignant le plus possible du corps de son grand père au bras malmené. Je me suis penché vers le vieux qui lâcha son couteau à pain pour me tenir le bras.
«- Que c'est il passé ?! Il m'a lacéré Le Bras, les yeux de l'homme étaient terrifiés. Je l'ai planté mais il a soudainement commencé à se griffer !»
J'ai rapidement raconter l'histoire à l'homme qui me regarda perplexe. Rien de tel ne lui était arrivé après avoir été maudît. Je me suis doucement avancé vers Louis et il se contenta de se mettre en position fœtal dans le coin du mur.
Ses yeux étaient noir et des méduses traversaient sa peau de par et d'autres. «La fée voulant trop aider fini par absorber entièrement le pouvoir du démon qui fut libéré de son mal» répétais je dans ma tête.
J'ai essayé de poser ma main sur la sienne, mais le bouta de mes doigts semblaient s'effriter et j'ai poussé un cri de surprise face à la douleur. Il me regarda d'abord confus en souriant. Il souri comme je ne l'avais jamais vu sourire avant, comme un démon.
Louis eut une expression horrifié et se leva. Chacun de ses mouvements semblaient le faire souffrir. Il ferma les yeux et les ouvrir comme si il se réveillait après un cauchemar. Il se traina à l'extérieur tel un animal apeurer en ne laissant que des taches de sangs rouges presque noirs sur son chemin.
Je devais l'aider, je n'allais pas laisser "ma fée" se laisser mourir ! J'ai d'abord désinfecter les plaies du vieux avant de sortir déterminé. J'ai relu la malédiction des dizaines de fois, élaborée des centaines d'hypothèses et suis arrivé à deux solutions.
J'ai présenté les faits au papi qui m'aida à tout préparer. Je pouvais obliger Louis à me tuer, mais le convaincre prendrait trop de temps sans oublier qu'il doit avoir "envie" de tuer celui qui lui a transmis la malédiction pour que ça fonctionne. Il ne me restait qu'une chose à faire. Exorciser le mal, éliminer la malédiction coulant dans son sang et rampant sous sa peau avant qu'il ne succombe à la douleur.
LOUIS
J'ai marché aussi vite et loin que mes jambes pouvaient me le permettre. Ma peau me brûlaient, se soulevait à chaque méduse. J'étais devenu toxique, plante et homme se déchirait sous mon simple touché. Grand père avait le bras lacérée alors que je voulais juste poser ma main sur son épaule.
J'ai fermé les yeux... À moins que je ne lui ai sautée dessus ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Je perdais la tête...
J'ai passé ma main sur ma joue aux marques de griffures creuser et sanguinolentes, j'ai alors pensé à Roméo. Il avait ressenti ça depuis tant d'années avant mon arrivé... J'ai serré les poings enfonçant mes angles dans ma peau. J'ai fermé les yeux, je me suis laissé portée par ma fatigue avec de nouveau l'impression de plonger dans l'eau.
Quand j'ai émergé, une envie de rire me rongeait. J'ai levé les yeux sur le corps inerte de Katy baignant dans son propre sangs. Une voix qui semblait être la mienne résonna.
«- Ça t'apprendra à essayer de te faire MON mec.»
Je me suis enlacée moi même en riant de frustration et de nervosité. Les voix dans ma tête faisaient un dialogue de sourds en moi, se criant dessus et s'insultant. J'ai levé regarder mes mains tachées de rouges avec intensité avant de sentir quelqu'un poser ses mains sur mes épaules. J'ai regardé en arrière mais rien.
Je me suis levé en lançant des regards autour de moi. La fatigue me faisait halluciné, mais si je me laissais encore avoir qui sait où j'allais me réveillé ensuite ? Je suis sortie de la maison, enjambant les corps d'une famille entière poser calmement sur le tapis de façon presque organisé. J'ai plissée les paupières et j'ai senti les rayons du soleil sur ma peau. Chaleureuse et tellement... tellement enivrante.
Et puis, je crois avoir plonger de moi même dans mon océan intérieur. Être dans cette eau faisait taire ma douleurs.
La lumière me faisait mal aux yeux. La malédiction avait mit longtemps à faire son effet, mais j'avais enfin trouvé un corps dans le quel je me sentais libre. Son propriétaire dormait gentillment à l'intérieur me laissant le champs libre. J'ai refermé la porte derrière moi en souriant.
«Ne voulant combattre le démon comme la malédiction lui ordonnait, elle se laissa mourir dans le néant tendit que le démon la chercha éternellement dans les trois monde, le ciel, la terre et les enfers. Les condamnants tout les deux à la solitude éternel.» disaient ils !
Je dirais plus : «Refusant les penchants meurtriers de la fée, le démon l'emprisonna au l'aide d'une malédiction mal faite. La condamnant à vivre dans le néant en attendant qu'un des amants maudits aspire tout les pouvoirs de l'autre» ! Mais peut importe, le démon de cette réalité ne peux rien contre moi !
Une femme me salua avant de regarder le sangs qui me couvrait et je lui ai juste souri.
«- Veux tu toi aussi entendre mon histoire ?»
J'allais la prendre par Le Bras mais je sentis une douleur dans le creux de mon estomac. Je suis tombé à genoux et j'ai porté ma main à mes lèvres. Ce con se réveillait toujours aussi soudainement ! Alors que je me sentais basculer dans l'eau glacé, je pus voir mon... notre reflet dans une voiture. Pour la première fois, lui et moi, nous sommes vu.
À suivre dans la partie final...