Brothers Losing Control. (Ter...

By Baysther

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Tome 1 : Brothers Without Limits. Tome 2 : Brothers Losing Control. Un boxer désormais planétaire, Taylor M... More

PROLOGUE :
UN AN AUPARAVANT.
UN AN AUPARAVANT II
C H A P I T R E 1 :
C H A P I T R E 2 :
EXTRAIT
C H A P I T R E 3 :
NDA :
C H A P I T R E 4 :
TRAILER :
C H A P I T R E 5 :
C H A P I T R E 6 :
C H A P I T R E 7 :
C H A P I T R E 8 :
FAQ Questions :
C H A P I T R E 9 :
C H A P I T R E 10 :
C H A P I T R E 11 :
C H A P I T R E 13 :
C H A P I T R E 14 :
C H A P I T R E 15 :
C H A P I T R E 16
C H A P I T R E 17 :
C H A P I T R E 18 :
C H A P I T R E 19 :
C H A P I T R E 20 :
C H A P I T R E 21 :
C H A P I T R E 22 :
C H A P I T R E 23 :
C H A P I T R E 24 :
C H A P I T R E 25:
C H A P I T R E 26 :
Récapitulatif personnages + FAQ.
C H A P I T R E 27 :
C H A P I T R E 28 :
C H A P I T R E 29 :
C H A P I T R E 30 :
C H A P I T R E 31 :
C H A P I T R E 32 :
C H A P I T R E 33 :
C H A P I T R E 34 :
C H A P I T R E 35 :
C H A P I T R E 36 :
C H A P I T R E 37 :
C H A P I T R E 38 :
C H A P I T R E 39 :
C H A P I T R E 40 :
C H A P I T R E 41 :
C H A P I T R E 42 :
C H A P I T R E 43 :
C H A P I T R E 44 : [The end ?]
FAQ :
INFOS TOME 3 :
BROTHERS AGAINST HELL

C H A P I T R E 12 :

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By Baysther

* Musique : Thousand Miles, Tove Lo. ☆ *

BOXER LOSING CONTROL :
C H A P I T R E 12.

| PDV Skylar : | ENFIN

Ma gorge me brûle lentement, et encore plus lorsque je tente d'avaler le peu de salive qu'elle contient.

Le tube que j'ai enlevée il y a quelques minutes étaient totalement insupportable, je n'en pouvais plus, il ne m'aidait pas à respirer, c'est comme s'il m'en empêchait.

Je pense être à l'hôpital, ou plutôt ca ne fait aucun doute, plusieurs machines flippantes m'entourent et des perfusions attaquent mes bras, j'ai mal un peu partout, et la sensation de ne plus pouvoir bouger me fait paniquer. Puis, il y a ses trois hommes, je n'en ai déjà vu qu'un seul parmi les trois, les deux autres, je ne les ai jamais croisée. Il y a le médecin, le garçon de la soirée et sur la place à ma gauche un autre qui ne me dit rien du tout, je n'ai même pas de pressentiment comme j'avais eu avec celui en face de moi.

Le médecin me regarde attentivement, tandis que les deux autres ont baissé les yeux quand j'ai réussi à poser ma question. Ai-je fait un truc de mal ?

Je sens un horrible mal de tête qui arrive, fronçant les sourcils violemment quand celui-ci m'attaque de plein fouet suivie d'une douleur au niveau de mon ventre, presque insoutenable. Ressemblant vaguement à des coups d'une violence extrême.

Si je suis ici, réveillé, c'est que je ne suis pas morte, un bon point pour débuter. Mon dieu ! Rien que d'y penser réellement cette pensée me faisait du bien, un baume au cœur me prit, mais il repartit rapidement quand le mal de crâne revint de plus belle. Putain, c'est tellement douloureux.

- Vous allez bien, mademoiselle ? Me questionne le médecin soudain sorti de son observation.

Ce n'est pas trop tôt ! Enfin, ils m'ont remarqué. Les deux autres relèvent les yeux sur moi. Dans ceux du brun à ma gauche, on y décèle de l'énervement, je ne comprends même pas pourquoi il est énervé autant qu'il a le cul posé ici, celui d'en facer à des yeux pleins de tristesse, et je reçois une petite pointe de compassion envers lui.

Qui sont-ils ?

- Mademoiselle ? Insiste le médecin peu sûr.

Je réponds enfin au médecin en secouant la tête de gauche à droite, ma bouche est bien trop sèche pour que je parle encore. Mes paroles ne ressembleraient à rien, juste à du bidouillage.

Il hausse un sourcil sans comprendre, et je me vois dans l'obligation de bafouiller quelques mots. Un seul en sort correctement.

- Eau. Baragouiné-je sèchement.

Un éclair de compréhension passe dans ses yeux et il me fait signe qu'il revient tout de suite.

Je déglutis un peu quand il part, l'ambiance dans la pièce est froide, et vraiment mortelle. Je me pose beaucoup de questions, encore non élucidé pour le moment.

J'entends quelque fois le brun de gauche baragouiné des choses totalement incompréhensible à mes oreilles, et je ne souhaite pas les savoir, ça n'a pas l'air franchement aimable.

Les deux se regardent légèrement et on peut bien voir la différence de l'un plus aimable que l'autre. En vue du regard de réprobation que lançe l'un, je sens que l'autre va ouvrir sa bouche d'ici peu, et je ne me trompe pas, car il le fait justement à l'instant même.

- Alors, comme ça, rien, pas de souvenir ? On est de simple inconnu pour toi ?

Je hochais la tête en réponse, ca me paraissait logique, ou juste pour moi alors.

Le regard inconfortable que me lancent les deux, me fait bouger un peu gêné devant leur intensité. Qu'ont-ils ? Je ne fais que leur dire la vérité.

J'ai vaguement compris les paroles du médecin sur la fameuse " perte de mémoire " mais cela ne rime à rien, comment se fait-il que j'ai tout oublié, seulement par des coups ? J'en ai pris des coups avant le maître, mais jamais qui m'est fait perdre la mémoire, c'est peu probable. Certes, je ne me rappelle pas franchement de l'année précédente le moment ou je suis tombée à la rue, mais ca n'a aucun rapport propre.

- Est-ce que tu te fous de notre gueule ? Me questionne toujours le même garçon.

J'ouvre les yeux un peu plus que la normale, comprenant de quoi il m'accuse. Il pense vraiment que je mens ?

Je soupire, ne cherchant pas vraiment à répondre par oui ou par non. Je ne compte pas leur dire oui, car ce serait mentir.

Je tente de sortir une phrase, mais un seul couinement pitoyable parvint à franchir ma bouche, fantastique. Je suis encore plus inutile que je ne l'étais avant si je n'arrive même pas à m'exprimer correctement. Je les imagine déjà se foutrent de ma gueule pour dire à quel point je suis stupide, bien que je doute que celui de la soirée soit capable de le faire.

Je voudrais pouvoir lire dans leur pensée, mais je n'ai pas ce pouvoir malheureusement.

- Ne t'embêtes pas, c'est sûre, tu te fous de notre gueule, t'as pas changée.

Il s'enfonce dans le siège et je ne trouve rien à faire. Le laisser parler, je ne vois pas ce que je peux répliquer pour l'instant. " T'as pas changée " que cela veut-il dire ? Je comprends très bien le sens de la phrase, mais que veut-elle dire pour lui ?

L'autre soupire d'agacement. On voit bien que la tirade de celui-ci ne lui plaît pas plus que ça.

Je suis soulagée quand je vois le médecin arrivait un verre d'eau à la main et une aspirine dans l'autre. Ironique, on dirait que j'ai une vieille gueule de bois. D'ailleurs rien que le fait de penser à de l'alcool me donne légèrement envie, le goût qui vient vous brûler la gorge me manque atrocement.

J'attrape le verre, et l'eau vient automatiquement rafraîchir agréablement ma gorge, je n'ai pas pris de médicament depuis une durée très longue alors lorsque je tente d'avaler celui qu'il me donne, je risque à m'étouffer. Je crois qu'on va éviter les médicaments pour un moment, seulement en cas de mal nécessaire.

- Bon, maintenant, tu peux l'ouvrir ta bouche, et évitait de couiner ? M'interroge méchamment le mec de gauche.

- Ca suffit, Taylor ! Gronde celui d'en face.

L'effort qu'il a fait pour ouvrir ca bouche me fait sursauter de peu, il est essoufflé, on dirait qu'il va tomber à tous moment. Ses veines ressortent de part et d'autre de ses bras, et il a un aspect menaçant placardé sur son visage.

Taylor, étant donc le prénom de celui qui aime m'importuner, n'a en aucun cas peur, on dirait même que cela l'amuse.

Je ne suis pas en mesure de dire la relation qui les lie, mais ils n'ont pas l'air en bon terme. Pas l'air du tout.

- Oh, le sauveur Cole à la rescousse. Elle nous doit des réponses, et tu le sais très bien.

Cole est donc le prénom de l'autre, Cole le garçon de la soirée. Cole et Taylor, rien ne se dégage dans ma tête, il y a toujours le brouillard autour d'eux qui m'agace maintenant.

- Arrêtez de vous disputer maintenant, vous avez quel âge, 3 ans ? Vous réagissez comme deux gamins pourris qui veulent tout, tout de suite. Se manifeste le médecin près de moi.

Il est clairement énervé par leur prise de tête, sans queue ni tête. N'aboutissant à rien.

- Je suis là, pas là peine de parler devant moi comme ça. Hm Taylor ? Je ne sais pas quel est ton problème avec moi, mais c'est clair, je ne te connais pas.

J'ai enfin réussir à composer une phrase avec un sens, et j'en suis fière, car j'ai pu enfin m'exprimer correctement.

Il a l'air de vriller quelques nanosecondes seulement avant de re voiler ses yeux avec une méchanceté pure.

- T'es totalement à l'Ouest ma pauvre ! Tu fais quoi ? Tu t'amuses ? C'est amusant hein de te foutre de notre gueule. S'énerve-t-il en montant la voix.

Tout le monde le fusille du regard, et j'en fait de même. Ce garçon ressemble à un concentré de connerie et d'arrogance, ce qui n'est a mon avis pas du tout le bon mélange. Pas besoin de vous dire que j'ai horreur de ça.

Sans que je m'y attende, l'aspirine ne faisant pas effet, un coup vient marteler mon crâne, lâchant un cri de douleur, je plisse les yeux.

" Tu te fous de ma gueule, ça t'amuse ? "

J'entends la voix du maître qui résonne dans mes oreilles.

" Réponds-moi, sale petite peste ! "

Elle augmente de plus en plus, me tiraillant.

Je regarde autour de moi, mais rien, je me retrouve dans une pièce sombre, ou sont-ils ?!

" Tu vas me répondre ! "

Un nouveau cri fait écho dans ma tête et je bouche mes oreilles.

D'un coup, l'image du maître se matérialise devant moi. Il a la main levée dans ma direction, et mon premier réflexe et de me cacher le visage pour me protéger.

" Tu n'es qu'une pauvre idiote ! "

Les larmes sont prètent à dévaler sur mes yeux, et c'est ce qu'elles font sans même que je le veuille.

Un sursaut violent me prend quand on me secoue durement, la pièce redevient alors blanche et l'image de l'homme se transforme en celle de Cole devant moi, affolé hurlant mon prénom.

- Skylar ! Skylar !

Je regarde à nouveau autour de moi, tout à disparue, il a juste les trois garçons autour de moi qui m'observent ne sachant quoi faire.

Je ne me rends pas compte que mes larmes continuent de couler, et je les chasse vivement à l'aide ma manche, reniflant plusieurs fois.

Je pousse Cole du peu de force que j'ai en fuyant leur regard. Je dois faire quoi ? Les prendre dans mes bras parce qu'ils viennent de voir mon moment de folie precosse ?

- C'était une hallucination, Skylar, une simple hallucination. Rien n'était vrai. Me dit d'une voix douce le docteur en posant sa main pour prendre ma température.

Taylor n'a pas l'air enchanté de la scène qu'il vient de voir et bouge dans la chambre comme un fauve en cage.

- Parce qu'en plus d'avoir perdu la mémoire, elle a des hallucinations ? Demande-t-il sarcastiquement.

- C'est ça, ce n'est pas de sa faute. Tu n'as aucun droit de t'en prendre à elle. Déclare le médecin conscient qu'il énerve encore plus Taylor.

- Je m'en prends à qui je veux, c'est de sa faute après tout. Tout est parti de cette stupide décision, et si elle est dans cet état maintenant, c'est à cause de ses choix de merde. Si elle n'avait pas pris des décisions sans nous consulter, elle ne serait pas là ! Hurle-t-il de rage en shootant dans la table prés de lui.

C'est clair, il me reprochait quelque chose dont je ne savais même pas la cause ni la conséquence. Une décision ? Je n'ai jamais rien fait qui pouvait nuire aux gens. Et pourquoi les aurais-je consultées si je ne les connaissais pas ?

Mon esprit est en chute libre, c'est bien la première fois depuis longtemps qu'il m'arrive de ne rien comprendre à ma vie. Font-ils partis des fameux 1 an de ma vie que j'ai oubliée ? Pas impossible. Ça m'a tout l'air d'être la chose la plus probable que j'ai pu mettre sur pied dans ma tête en vrac.

- Ne la brusque pas, elle est fragile. Tu veux vraiment savoir ? Alors attend qu'elle aille mieux. Grogne Cole faiblement à l'intention de Taylor.

Je pense qu'il est bien de l'un des deux, celui qui cherche au mieux à me comprendre, et j'en suis émue.

Je ne pense pas qu'il soit comme Taylor, à première vue, il est le plus compréhensible. Je le remercie d'un regard qu'il me rend par un petit sourirae Vraiment minuscule, mais c'est déjà ça. Je ne sais pas si je pouvais sourire désormais, je n'en ai pas envie ? Mais là n'est pas là question.

Je ne sais pas quoi faire. Un nouveau mal me prend cette fois-ci au niveau du ventre, merde. Je me tords sous la couverture blanche crispant mes mains sous la douleur.

Le médecin se précipite alors vers moi.

- Tu as mal où ? Me demande le médecin en enlevant la couverture de sûre moi.

Je ne lui dis rien, la mâchoire restant crispée, serrant les dents.

Il me regarde avant d'attraper une seringue et de me l'enfoncer dans le bras. Il fait quoi, merde ?

Je tremble, c'est comme si mon corps se mettait à convulser. Une sueur froide me prend et je tremble de plus en plus.

- Calme-toi, ça va aller ! Me rassure le médecin.

Rien ne me rassure, à partir du moment où on vient de m'injecter, je ne sais quoi, je n'ai aucune confiance. Ça pourrait être de la drogue, ou je ne sais quel produit. Et s'il était de mèche avec le maître ? La simple pensée redirigée sur ça, me fait encore plus paniquée qu'au début.

Je tousse fortement, m'étouffant avec ma propre salive, ne contrôlant plus rien du tout.

- Aidez-moi à la stabiliser ! Crie-t-il aux deux garçons.

Je vois deux ombres se plaçait au-dessus de moi, ma vue est recouverte d'un voile blanchâtre et je respire avec difficulté. C'est comme si on m'étranglait.

Une nouvelle fois, la pièce s'assombrit et le maître se re matérialise au-dessus de moi. Ses grandes mains encerclent mon cou, m'empêchant toute respiration.

" Tu vas devoir m'obéir, tu es à mes ordres ! "

Je bouge dans tous les sens, et je tente de me défaire de sa prise.

- Non ! Retorqué-je en battant des bras.

" Tu n'es rien, juste une misérable fille, tu dois souffrir pour obéir ! "

Il a un sourire placardé sur le visage et je ferme mes yeux tentant de faire disparaître son visage.

Je lance de petites inspirations, et semblable à la fois de tout à l'heure la pièce redevient blanche, montrant cette fois Taylor une main sur mon visage, les yeux peureux. Je le fixe en essayant de contrôler ma respiration

- Ce n'est qu'une illusion. Laisse-t-il entendre doucement.

Une illusion.

Je presse mes paupières les unes contre les autres.

Respire, Skylar, illusion.

Mes convulsions se calment peu à peu, et je parviens à respirer mieux qu'avant. " Une misérable fille " j'en ai tout l'air, ici dans cette chambre d'hôpital.

La main de Taylor, incroyablement douce s'enlève brusquement de mon visage et rapidement, il part attrapant sa veste et ses clés de voiture au passage sur la petite table.

Une sensation de manque me touche imperceptiblement au cœur, je regrette la douceur de sa main.

***

| PDV Taylor : |

Je dévale rapidement les couloirs poussant des gens au passage qui se plaignent m'agaçant.

La succession des émotions en moi est tellement rapide que je ne les gère même plus, Colère, Agacement, Peur. Il y en a pour tous les goûts. Pourquoi ça m'atteint tant ?

Elle n'a pas le droit de revenir et de s'inviter encore comme ça dans nos vies. Si elle ne se souvient plus, eh bien tant mieux. Qu'elle fasse ses crises, bien fait pour elle, elle n'avait qu'à pas se jeter dans la gueule du loup ce jour-là sur le pont. On serait sûrement ensemble, avec mon frère rageant, mais qui serait tout de même mieux que maintenant.

Puis, je ne devrais pas me préoccuper de lui non plus. Il n'y que moi qui dois m'intéresser, personne d'autre. C'est beaucoup trop simpliste de s'insinuait dans la vie de quelqu'un comme ça se produit avec elle.

Je fais tournoyer mes clés autour de mes doigts et m'adosse à la voiture en soufflant, je prends le paquet de clopes que j'ai toujours dans une de mes poches et j'en glisse une entre mes lèvres.

Le feu du briquet vient démarrer la longue ascension de la nicotine qui vient de déverser dans mes veines. Je tire une première latte, me faisant un bien fou. Je définis ça comme relaxant, mes muscles se relâchent et mon corps tout entier semble être libérer de la colère précédente.

Un temps, je ne remarque pas, mais un flash caché derrière une voiture vient s'abattre sur mes yeux et je plisse mes yeux pour mieux observer. Oly shit, encore des paparazzis, putain. Ils sont vraiment sérieux ?

Pour commencer, il ne fallait pas qu'il se doute d'un truc, sinon ça pouvait partir très loin, et ce n'est pas mon envie principale. Ce qui est bien, c'est qu'ils n'ont pas le droit de se pointer dans un hôpital, c'est décrit comme de " le harcèlement majeur " exceptionnellement, car il s'agit d'une enceinte pour " malade ", mais en dehors il n'y a rien qui les en empêche.

Je détaillais rapidement les connards face à moi, parce qu'il n'y en avait pas qu'un, ils venaient toujours en bande. Si un échouait, les autres prenaient la relève.

Ils sont insignifiants quand on y pense comme ça, mais ils peuvent quand même foutre la merde. Et lorsque j'aperçois un d'eux prendre un nouveau cliché, je leur fais un beau doigt bien sorti qu'ils ne manquent de prendre en souvenir. À quoi bon se cacher ? Ils seront toujours là, à vous épier dans vos faits et gestes.

Je devrais sûrement me prendre un garde du corps, j'en ai eu un, mais apparemment, il s'est barré, car mes crises étaient trop " existentielle " à son goût ou disons plutôt qu'il a une honte quand je l'ai foutu à terre pour lui montrer comment on se battait vraiment. Ce con restait juste dans le décor à bouger les bras dans les airs, génial.

Je ne prends pas la peine de leur offrir un sourire en rentrant de ma voiture, faut que je me tire d'ici, j'étouffe.

Mon téléphone sur le tableau de bord affiche un message de Sarah et je lève les yeux au ciel.

Regardant rapidement, elle me dit juste qu'elle est libre.

Je ne devrais pas, je devrais l'envoyer chier, mais maintenant, j'ai bien besoin de changer mes idées, alors j'accepte sans franc remord.

Je pense à moi, rien qu'à moi, personne d'autre.

" L'égoïsme n'est rien d'autre que le reflet de la peur. "

---

BONSOIRRR ! Je m'étonne moi-même ca va faire trois jours que je publie tout les jours. Profitez en bien, parce que ça ne risque pas d'arriver souvent, malheureusement. J'aimerais vous demandez un truc important, j'ai décidée de changer de pseudo, et j'aimerais que vous m'aidiez à choisir un nouveau pseudo, malgré que j'aime le mien il est un peu trop long, et pas vraiment facile à trouver ^^ Alors je vous laisse me donner des idées si vous en avez, ce ne sera pas mon pseudo, mais le nôtre. À la fin je pense que s'il y'en a plusieurs proposé je ferais un " sondage " pour savoir lequel sera choisit.

C'était vraiment difficile pour moi d'écrire ce chapitre en vrai, parce que j'était vraiment dans la peau de Skylar et j'avais les images de ses hallucination, à croire que moi aussi je vivais vraiment ça, c'etait émotionnelle. Ça là était pour vous ?

⌛ Le chapitre vous plaît ?

⏳ Les hallucinations de Skylar, vous les trouvez comment, sont-elles assez réaliste ?

⌛ Taylor, le comprenez-vous ?

⏳Cole en état de choc ?

⌛Eh bien sûre, des idées pour la suite ?

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