Fuck me sideway

By LapinouChan

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Antoine Daniel et Mathieu Sommet sont deux lycéens. L'un est populaire et aimé, l'autre est instable et pas f... More

Chapitre 1 ou Une soirée d'enfer
Chapitre 2 ou Lendemain difficle
Chapitre 3 ou Une journée d'école insupportable
Chapitre 4 ou La découverte
Chapitre 5 ou Une nuit passée ensemble
Chapitre 6 ou Un matin différent des autres
Chapitre 7 ou Discussion
Chapitre Bonus : La vieille et le Patron
Chapitre 8 ou L'arrangement
Chapitre 9 ou Les explications claires et précises
Chapitre 10 ou La cantine
Chapitre 12 ou T'es un panda ! Reprends-toi !
Chapitre 13 ou Le réveil de la Force
Chapitre 14 ou La vodka et Mathieu, pas un bon mélange

Chapitre 11 ou T'en as trop pris, gros

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By LapinouChan

     Mathieu se mordit la lèvre. Ses joues étaient chaudes, son cœur battait à la chamade tandis qu'il observait Antoine de loin. Il en était persuadé maintenant.

    Il était malade.

     Et il ne savait pas ce qu'il avait ! Ce qui l'inquiétait au plus haut point. Et si c'était grave ? C'était probablement un problème cardiaque, son cœur ne semblait plus se contrôler auprès du brun... Son corps ne se contrôlait plus près d'Antoine, même ! Il se sentait étrange près de lui et il rougissait parfois tellement qu'on aurait dit qu'il avait avalé un champ entier de coquelicots.

    C'était le dernier cours de la journée, anglais, avec Madame Johns. Après ça, le schizophrène irait chez Antoine... Il fronça les sourcils. Ses symptômes n'apparaissaient que près de lui... C'était peut-être pas une si bonne idée d'aller chez lui ? Il pencha la tête sur le côté.

« Tu crois que c'est possible d'être allergique à quelqu'un ? demanda Mathieu à Alexis en murmurant. »

     Le cours de Madame Johns était à tel point soporifique que même Alexis avait l'air d'être sur le point de s'endormir. Se tenant la tête avec sa main pour s'empêcher de se glisser dans les bras de Morphée, il regarda le schizophrène bizarrement avant de répondre avec le même ton de voix.

« Euh... Non. Pourquoi ? »

      Mathieu gigota un instant avant de hausser les épaules. Il lança un regard à Antoine et se mit à rougir quand il se rendit compte que celui-ci le fixait déjà. Il détourna ses yeux pour observer intensément son plumier. Il grimaça alors.. Son rythme cardiaque s'accélérait encore.

« J...Je crois que je suis allergique à Antoine. »

      Alexis ferma les yeux cinq secondes, pour se calmer. Il soupira, se demandant si son ami n'était pas juste chauve des neurones.

« Pourquoi ?

-Bah ! Je sais pas. Ou alors je suis malade et c'est inquiétant. Je... Mon cœur, il se met à battre plus fort quand il est là. J'ai l'impression d'agir comme quelqu'un de stupide... Pire que toi avec Vanessa ! »

     Alexis ne réagit même pas à l'insulte, toisant plutôt son meilleur ami comme si il était stupide (ce qu'il était probablement, faut pas le nier). Mathieu poursuivit rapidement :

« Tu crois que je devrais en parler avec ma mère ? Elle est infirmière, elle pourra peut-être m'aider ?

-Je ne suis pas sûr que tu veuilles avoir cette discussion avec elle, souffla Alexis en plissant des yeux.

-Et pourquoi ? J'aimerais savoir ce qu'il m'arrive ! Sauf si tu peux éclairer ma lanterne ?

-... le garçon réfléchit quelques secondes et soupira. Je pense que tu cherches trop loin alors que c'est juste devant ta face. Tu sais, d'après ce que j'ai compris, Fille, Prof, Panda et possiblement Geek ont le béguin pour Antoine... Tu devrais peut-être te poser la question pour toi aussi. »

     Mathieu fronça les sourcils.

« Est-ce que tu es en train de me demander si je suis amoureux d'Antoine ?

-C'est une possibilité ? dit Alexis, doucement, hésitant.

-Arrête ! C'est ridicule ! Je te l'ai dit, c'est un ami pour moi !

-Donc tu préfères penser que tu es allergique à lui ? »

     La réponse était oui mais Mathieu n'en dit rien, croisant les bras et observant par la fenêtre qui était placée justement à côté de lui comme si il trouvait ça plus intéressant que la conversation. Il n'était pas amoureux d'Antoine, c'était impossible... Et ridicule. Complètement ! Alexis se faisait des idées. Celui-ci roula des yeux.

« Pas la peine de bouder, Matt'. Je te dis juste que tu dois... ouvrir les portes sur plusieurs possibilités. Et vu comme tu réagis avec Antoine...

-J'ai déjà été amoureux ! J'ai été en couple, j'ai eu plusieurs copains et copines... Et Antoine c'est pas... C'est pas ça, ok ? Je le saurai quand même, non ? »

     Alexis le regarda comme si il était abruti mais haussa les épaules. Bien sûr que non, son ami ne le saurait pas. Il ne le dirait jamais assez mais le châtain était émotionnellement constipé.

***

     Le cours terminé, sans qu'ils ne reparlent du chevelu, Mathieu attendit celui-ci devant l'école, une clope entre les lèvres appuyé contre un mur. Il avait pris cette mauvaise habitude et à chaque fin de journée il s'en grillait une avant de rentrer chez lui. Sauf qu'aujourd'hui, la seule différence c'était qu'il dormirait chez Antoine.

     Il tapa frénétiquement son pied contre le sol indiquant une certaine nervosité. Il était inquiet... Il se posait tout un tas de question, faisant réveiller de vieilles peurs. Et si le père trouvait un moyen de retenir Mathieu chez lui ? Il allait probablement se venger qu'il ait essayé, à nouveau, de l'éviter... Ou pire ! Et si Stéphane racontait pour sa schizophrénie ? Il ne pourra plus jamais traîner avec Antoine de sa vie... Il avait la boule au ventre tout à coup, il espérait qu'une chose : que ça se passe bien. Il ferma les yeux, posant sa tête sur le mur en prenant une taffe. Subitement, le corps du châtain se détendit, ses épaules s'affaissant et il eut un demi-sourire terminant sa clope. Hippie avait pris la place. D'habitude, il lui en fallait plus pour venir mais Mathieu était très stressé. Et puis, ça ne dérangeait pas le camé de discuter avec Antoine. Il l'avait toujours bien aimé.

     Celui-ci arriva enfin. Il avait été occupé par des amis à lui (c'est ça la popularité!) et avait pris plus de temps que prévu.

« Désolé, je serais venu plus tôt mais on m'a retenu et j- Wow ! T'as fumé de la beuh ? »

     Subtilité n'était pas son point fort. Mais en voyant Mathieu aussi détendu, il y avait de quoi se poser des questions, quand on n'était pas trop habitué. Enfin... Il l'avait déjà vu comme ça, à la soirée et pendant qu'ils avaient travaillé mais... Ce n'était pas comparable. Hippie pencha la tête sur le côté et sourit.

« Juste une clope, gros. T'en veux une ? répondit le camé. »

     Antoine s'empêcha de lui dire que ce qu'il y avait dans sa clope n'était probablement pas tout à fait du simple tabac et déclina gentiment. Bah. Après tout, Mathieu prenait toujours plein de voix, il devait vraiment aimer se mettre dans plusieurs rôles. Il ne dirait rien. C'était peut-être une façon de montrer qu'il était détendu ? Hippie haussa les épaules, jeta sa clope et l'écrasa avec sa semelle. Antoine sourit.

« Je vais d'abord prévenir mon père pour qu'il vienne nous rejoindre, d'accord ? J'habite par là et sinon on va faire des aller-retours inutiles. »

     Il montra le chemin. Celui-ci était justement à l'opposé de celui que prenait habituellement Mathieu pour rentrer chez lui. Antoine avait raison, autant faire dans la facilité. Hippie en profita pour se reprendre une clope ; une envie de fumer. Il l'alluma doucement. Il attendit qu'Antoine finisse d'appeler son père et il lui sourit, reconnaissant.

« Merci encore, gros... T'es pas obligé de faire ça pour nous. »

      Antoine pencha la tête sur le côté, légèrement étonné par l'utilisation du "nous" mais pensa simplement qu'il parlait de lui et de son frère. Il sourit et s'appuya sur le mur à son tour, pour se mettre à côté de lui.

« Je t'en prie. Je peux vous aidez et tu peux compter sur moi... souffla le chevelu. »

     Le camé s'appuya un peu contre lui, les paupières semi-closes, apaisé. Il avait besoin de réconfort et d'affection. Il n'aimait pas être chez lui avec cette mauvaise ambiance pleine de violence. Il ne supportait pas ça. Hippie était pacifiste et il avait besoin de douceur. Antoine l'avait bien compris et se laissa faire, rougissant légèrement. De toute façon, il ne savait pas trop comment réagir d'autre.

« On sait. On te fait confiance, gros. Merci, soupira le châtain. »

     Le chevelu réfléchit deux secondes. C'était quand même bizarre que le garçon incluse son frère dedans. Surtout dans une phrase pareille... Comment son grand frère pourrait lui faire confiance ? Il ne l'avait jamais vu après tout. Il se mordit la lèvre mais secoua la tête. Peut-être que Mathieu avait parlé de lui ? ...Ça faisait beaucoup de supposition sur Mathieu, non ?

     Ils restèrent sans parler dans un silence reposant, Hippie contre lui avait l'air tranquille. Le père du chevelu arriva enfin, marchant rapidement. Il était grand, plus qu'Antoine, atteignant peut-être les un mètre nonante (quatre-vingt-dix chez nos amis les français) et ses cheveux semblaient tout aussi fous et indomptables que ceux de son fils. Il s'arrêta à la hauteur des deux adolescents et tenta un sourire décontracté.

« Salut, les jeunes.

-Bonjour papa ! il sourit. Ah ! 'Pa, je te présente Mathieu, celui chez qui je suis allé dormir hier... Et Mathieu, je te présente mon père.

-Tu peux m'appeler Robert, indiqua-t-il.

-Bonjour Robert ! répondit Hippie, détendu. »

     L'homme s'étonna un peu mais sourit, sans poser de questions. Antoine, lui, haussa les sourcils. Il s'était imaginé qu'il reprendrait sa voix normale mais... Soit. Il aimait pensé que c'était pour détendre l'atmosphère.

« On va chez toi, Matt ? J'ai déjà expliqué la situation à mon père... »

     Hippie hocha la tête et se décolla enfin d'Antoine. Pourtant, il se mit à marcher vers le sens opposé de chez lui, roulant des hanches sans pour autant le faire exprès ; ses membres étant juste extrêmement détendus. Antoine le rattrapa en remarquant qu'il se trompait de chemin, rigolant. Il lui prit alors la main pour s'assurer qu'il reste près de lui. Le châtain (du moins, dans ce rôle) avait l'air d'avoir une faculté à se concentrer extrêmement faible.

« C'est par là, bébé... »

     Il s'étonna lui-même du surnom qu'il donna mais n'en fit rien. Le camé pencha la tête sur le côté et avec un demi-sourire, se laissa mener par Antoine pour qu'ils se dirigent pour aller chez lui, Robert les suivant tranquillement. Il laissera son fils parler mais resterait derrière au cas où les choses iraient mal. Le chemin se fit silencieux, Antoine réfléchissant à ce qu'il pourrait dire.

     Plus ils approchèrent de la bâtisse, plus le chevelu pouvait sentir sa main se faire serrer et pouvait voir les yeux tristes de Hippie.

    Parce que oui, il était triste.

     Lui qui voyait toujours du bon dans tout, comment une personne pouvait être méchante à ce point ? Il ne pouvait pas croire que quelqu'un était aussi horrible, c'était comme ça. C'était dans sa nature d'être trop optimiste.

     Devant la porte, il inséra la clé de chez lui dans la porte avec des mouvements lents. Il ferma les yeux et doucement il poussa la porte. Il avait été très silencieux mais le père était déjà devant l'entrée. « Flippant pensa Antoine ». Stéphane savait quand son fils rentrait après tout. Il allait se mettre à crier mais se stoppa net en voyant la petite famille du chevelu. Il vit l'adulte et c'était comme si ses traits s'adoucissaient, il sourit même. Hippie baissa la tête.

« Oh je... Bonjour ? Je me nomme Stéphane, enchanté. Vous êtes... ?

-Robert, sourit l'adulte aux cheveux fous. »

      Antoine se mit aussi à sourire, un faux-sourire hypocrite, une fine ligne tandis qu'il tenait encore la main du camé, la caressant avec son pouce pour ne pas qu'il s'inquiète.

« On est juste venu chercher des affaires à Mathieu. On a encore du travail à faire alors on a convenu qu'il venait chez moi. »

      Stéphane lança un regard noir à son fils que seul lui remarqua. Il regarda intensément ses pieds, presque honteux et ne disait rien. Muet comme une tombe. Et il ne dirait rien. Jamais. Pas à cet homme.

« Et tu n'as pas pensé à me prévenir ?

-En fait ! reprit encore une fois Antoine. On a décidé aujourd'hui, c'est pour ça. Mais il faut vraiment qu'on finisse ce travail. »

      Stéphane fronça les sourcils, n'aimant définitivement pas qu'on gère la conversation à sa place. Parce que c'était lui qui décidait.

« Ce travail est à rendre pour quand ? »

     Antoine blanchit, pas sûr de quoi dire et se mordit les lèvres, perdant de sa superbe. L'homme en face de lui sourit, comprenant qu'il avait gagné.

« Je... Dans un mois, mais-

-Donc vous pouvez faire ça une autre fois ? Désolé mais Mathieu est puni, je ne peux pas le laisser sortir pour l'instant après tout ce qu'il a fait. »

     Antoine fronça les sourcils. Il était hors de question qu'il laisse Mathieu à ce malade. Il grogna.

« Le problème c'est que je suis pas mal occupé le reste du mois. Je suis dans des clubs et ça m'arrange de le faire en avance. Mathieu a dit qu'il était libre, c'est pour ça qu'on le fait maintenant. »

      Stéphane ne sût quoi répondre. Avec le père de Chewbacca à ses côtés, il ne pouvait pas décliner. Il serra les dents et croisa les bras. Il finit par hocher doucement la tête, sans un mot mais on pouvait voir dans son visage que ça ne lui plaisait pas. Antoine sourit, victorieux.

« On va chercher ses affaires.

-J'aimerais discuter avec mon fils, si ça ne vous dérange pas, il lança un regard à Robert. Seul à seul. »

     Le grand regarda Mathieu avec un air inquiet et celui-ci ne fit que lâcher sa main, lui souriant, rassurant. Il n'allait pas très loin de toute façon et il savait que son géniteur ne ferait rien avec des personnes à côté. Pour l'instant. Antoine lui fit confiance et le camé lui sourit.

« Je reviens vite, gros... »

     Hippie se dirigea vers son paternel qui posa une main sur son épaule. Ce geste aurait pu être qualifié d'affectif mais en remarquant la grimace non-dissimulée de Mathieu, ceci changea la donne. Stéphane serrait, assez pour faire mal au garçon. Ils se dirigèrent vers la pièce à côté. Il n'eut pas de cri, mais c'était tout aussi effrayant que d'habitude. Étonnamment, Hippie resta complètement impassible au regard noir de l'homme en face de lui. Il avait toujours réagi comme ça. Il s'était toujours laissé faire, sans rien dire, à se rouler en boule si jamais il le frappait.

     Et il réagirait toujours comme ça.

« Tu peux être certain que la prochaine fois, je te laisserai pas y aller. Et tu n'as plus intérêt à ramener le père de cette raclure ! »

     Hippie ferma les yeux, calme.

« Peace and love, se répéta-t-il. »

     Il essaya de ne plus écouter les insultes, ignorer tout ça. Comme il le faisait toujours. Comme il le ferait toujours. Subitement, Stéphane attrapa Hippie par le col, en colère que celui-ci ne réagisse pas. Ça le frustrait. Il aimait lire la peur dans son visage. Ne s'y attendant pas, le camé rouvrit les yeux mais, mise à part de la surprise, son visage ne laissa rien paraître.

« Écoute-moi bien sale petit hippie de merde ! sa voix était un murmure lent et sec. La prochaine fois qu'on se verra, je ne te laisserai pas filer ! Si tu t'enfermes dans ta chambre, tu verras ce qu'il t'arrivera, c'est clair ?! »

      Aucune réaction. Le père grogna, frustré mais ne fit rien avec les gens à côtés et il le lâcha brusquement.

      Hippie retourna avec Antoine et sourit presque immédiatement, comme si il ne s'était rien passé et que tout allait bien.

« Gros ! Je dois aller prendre des vêtements pour moi et les autres... »

      Antoine cligna des yeux plusieurs fois. Les... autres ? Ces autres rôles, il veut dire ? Il les plissa. Ça devenait de plus en plus étrange mais décida de ne rien dire. Pour cette fois, en tout cas. Il lui poserait des questions plus tard. Il voulait juste partir de cette maison, l'ambiance qui y régnait l'oppressait. Il lança un regard à Robert qui lui souriait.

« Merci 'pa ! Je vais aller aider Mathieu à prendre des affaires, on revient tout de suite. »

      Mathieu et Antoine allèrent prendre un sac où ils fourrèrent des vêtements, un pyjama (le kigurumi panda ! - Chewbacca sourit en le voyant) et une trousse de toilettes puis, sans même dire au revoir au chef de la maison, ils s'en allèrent sans demander leur reste, soulagé aussi bien l'un que l'autre, que tout se soit bien passé.

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