Il est 6:30 du matin.
Laura ainsi que sa famille dorment toujours.
Je vais donc préparer le petit déjeuner et les réveillez en douceur.
Pendant que je prépare l'omelette, je sens des mains autours de ma taille ainsi que des lèvres sur mon cou. C'est sûrement Laura.
Je me retourne et..
Laurent : Bonjour.
Moi : Mais qu'est-ce que tu fais ?!
Laurent : Et du calme.. Laisse toi faire.
Moi : Ne me touche pas! C'est quoi ton problème!?
Il tient mes mains d'une main avec une force!
Je crie à l'aide !
Laurent : Mais ta gueule t'es conne ou quoi ?!
Moi : Lauraaaaaaaa ! Au secours !
Laura ainsi que ces parents arrivent aussitôt!
Il me lâche automatiquement, je cours immédiatement dans les bras de Laura en pleure.
Elle : Il s'est passé quoi ?! Pourquoi tu la tenais comme ça !?
Moi : Il a voulu abusé de moi..
Laurent : Mais ta gueule, tu mens sale conne.
D'où tu sors, t'arrive et tu sors avec ma soeur ? Sale lesbienne, tu ne vaut rien. Vous ne valez rien.
Et là, le père de Laura le gifle avec une telle puissance qu'il se retrouve à terre.
Le père de Laura : Espèce d'imbécile ! Nous ne t'avons pas éduquer de la sorte ! Depuis quand on abuse des femmes ?! Tu pu l'alcool sal bon à rien! La vie de ta soeur ne te regarde en aucun cas !
Tu t'excuse auprès d'Amalia et tu te casse de chez moi.
Lui : Mais, t'es qu'une chienne.
Et là Laura, ne se retient pas et commence à le frapper jusqu'au sang! J'essaie de l'en empêcher mais rien y fait, elle me repousse. Son père y arrive, je la prend et je monte avec elle dans la chambre. Elle la ferme à double tours.
Je suis en pleure devant elle, je n'arrive plus à tenir debout tellement j'ai peur. Elle s'approche, et me demande ce que je faisais dans la cuisine à cette heure.
Moi : Je, je n'arrivais plus à dormir.. Je me suis donc mise en tête que j'allais vous préparer le petit déjeuner et vous réveillez en douceur. Quand... J'ai sentis des mains sur mes hanches puis... Des lèvres sur mon cou.. J'ai tout de suite penser que c'était toi. Et, là il a forcer.. Et..
Je vois son visage se décomposer, elle fond en larme.
Elle : Prend ton sac on s'en vas.
Moi : On va où ?
Elle : On s'en vas.
Je m'éxecute, et nous prenons la route jusqu'à ce qu'on arrive dans une résidence privée.