Another World. hs

By aryablackfyre

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Rentrez dans une confrontation entre deux mondes. j.d.b. h.e.s. l.w.t. More

Prologue
Chapitre un
Chapitre deux
Chapitre trois
Chapitre quatre
Chapitre cinq
Chapitre sept

Chapitre six

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By aryablackfyre

-Sortez, dit une infirmière. Laissez le personnel médical s'en charger, nous avons besoin de places.

L'infirmière claqua la porte. L'écho sourd du claquement plana dans le couloir silencieux. Puis l'angoisse éclata. Maisie se mit à pleurer et Louis à crier, voulant savoir ce qu'il se passait. Mon père semblait au bord de la crise de panique, il ne faisait que passer sa main dans ses cheveux. Ma tante, elle, serrait Maisie dans ses bras mais semblait au bord des larmes. Harry essayait de calmer Louis mais je n'arrivais pas à bouger. J'étais pétrifiée, le regard fixé sur la porte. Le cri résonnait dans ma tête. Ma mère n'avait pas crié. Mais la personne avait bien crié pour une raison. Et ça me faisait peur. J'étais même pétrifiée l'idée de savoir ce qu'il s'était passé dans cette chambre et les conséquences que cela allait engendrer. Ma mère était entre la vie et la mort, et toutes les situations inimaginables me venaient à l'esprit, toutes aussi tragiques les unes que les autres. Mes mains tremblaient et je sentais quelque chose monter dans ma poitrine, qui courrait dans mes veines et me démangeait les doigts. Cette énergie me montait dans la gorge et m'empêchait de respirer. Je suffoquais mais personne ne me voyait. Mes mains me brûlaient, des vagues de chaleur courraient dans mon sang. Ma tête était lourde, j'avais des sueurs froides qui coulaient dans mon dos. Je sentais des points chauds partout autour de moi. Je me sentais comme attirée par tous ces points, tiraillée par ces forces qui ne faisaient d'amplifier la boule dans ma poitrine. J'entendais de l'eau couler autour de moi, de manière décuplée, je le sentais même couler sur ma peau. Ou peut être était-ce la sueur. Le bruit tournait dans ma tête, me faisant tanguer. J'avais l'impression de brûler.

Puis le bruit se dissipa, replacé par une voix qui résonnait de plus en plus fort. Elle était douce, comme une mélodie sifflée pour s'endormir. Elle finit par se distinguer.

-Lottie, Lottie tu m'entends ?

La pression intracorporelle qui m'animait se dissipa presque instantanément. Je tournais ma tête et rencontrai les yeux émeraude d'Harry. Son regard profond me serra d'une étreinte rassurante sans aucun contact physique. La pression intraveineuse s'estompa petit à petit, jusqu'à totalement disparaître, me laissant pantoise. Ses mains se posèrent sur mes bras et je sursautais. Son contact chaud contrastant avec ma peau me fit frissonner et je relevais la tête vers son visage.

-Tu fais une crise de panique ?

-Non, je... Je sais pas ce qu'il s'est passé, dis-je en sentant une perle de sueur couler dans ma nuque.

-Tu as pâli d'un coup, j'ai eu peur, dit-il en me poussant hors du groupe, et en m'étreignant légèrement.

-Et maman ?, m'exclamais-je en tournant ma tête vers la porte.

-Ça fait cinq minutes qu'ils s'agitent derrière la porte, on n'a toujours pas de nouvelles, soupira le brun en désignant ma famille assise sur les sièges d'attente.

Mon père était assis, la tête dans les mains, ma tante berçait Maisie, les larmes coulant sur ses joues et...

-PUTAIN !

Le cri résonna dans les couloirs lugubres suivi d'un bruit sourd. Au bout du couloir, Louis avait le poing contre une machine à café. Sa tête tomba doucement contre celle-ci et il poussa un soupir à s'en fendre le coeur. Nash avança dans son fauteuil roulant et posa sa main sur la main de Louis qui reposait le long de son corps. Mon grand frère serra la main de notre petit frère et soupira, à mi-chemin entre le sanglot et l'étranglement. Il se plaça derrière Nash et le poussa vers nous. Je le pris dans mes bras et il m'enserra de ses bras puissants mais tremblotants. Je le poussais à s'asseoir près des autres alors qu'Harry amenait Nash près de nous et passai mes bras autour de sa taille. Il reposa sa tête contre la mienne. Il était tendu, comme tout le monde l'était. L'atmosphère se tendait et se détendait, comme un élastique claquant dans l'air, étirant le temps et l'attente. Quelques personnes étaient bien sorties mais impossible de leur soutirer des informations, et leur visage était impénétrable. Je sais pas combien de temps était passé, des minutes, ou peut être des heures. J'avais perdu la notion du temps mais quand un homme en blouse blanche sorti de la chambre, tout le monde sauta sur ses pieds, sortis de leur torpeur.

Son masque impénétrable était tellement parfait qu'il ne pouvait qu'être durement travaillé. Il frotta ses mains les unes contre les autres et s'approcha de nous. Pas un sourire, pas un fronçement de sourcils, pas un tic.

-Vous êtes la famille de Mme. Tomlinson?

Mon père se leva, raide, et tendit sa main au médecin.

-Son mari, Bartholémé Tomlinson.

Louis se leva lui aussi, et se posta à côté de mon père.

-Louis, le fils. Comment va ma mère ?

Mon père posa une main sur l'épaule de son fils et lui serra, lui offrant un sourire rassurant.

-Je vais être honnête avec vous, nous sommes sceptiques concernant l'état de votre femme. Je vis mon père pâlir. On ne sait pas ce qu'il se passe, ce qu'il lui arrive mais ce n'est pas un cas isolé. Elle est maintenant stabilisée, mais on ne sait pas si elle va rester comme cela et quand ça changera... Quand à son coma, elle y est toujours plongée profondément, et on ne sait pas quand et si elle se réveillera.

Encore une fois, les mots d'un intervenant médical flottaient dans l'atmosphère lourde. Peu importe leur grade, leurs mots pouvaient détruire des familles, des personnes. Je vis Louis serrer les poings alors que mon père semblait avoir pris dix ans tellement le poids de ces mots l'accablait.

-Comme je l'ai dit, son état est stable mais s'est considérablement aggravé, et nous n'avons aucun moyen de traitement. Jusque là, les patients admis dans le même état sont dans le même cas sans que l'on ne puisse rien faire. Je crains que...

-Non non non, je vous interdis de le dire, dit Louis en passant devant mon père pour se mettre devant le médecin. Vous n'avez pas fait autant d'études pour me dire que vous ne savez pas quoi faire ni ce que c'est. Et sans vouloir vous offenser, vous semblez avoir suffisamment de métier pour avoir déjà fait face à ce type de situation où tout semblait perdu. Maintenant, vous n'allez pas laisser cette épidémie ou cette chose décimer des familles entières sur Londres, donc vous et tous les médecins de cet hôpital, qui je l'espère sont assez qualifiés et plus enclin que vous à trouver une solution, fassent un petit effort.

Le médecin allait répliquer quand son biper sonna. Sans s'excuser, il fonça dans le dédale de couloirs que constituait l'hôpital. Louis soupira et ses épaules s'affaissèrent alors que mon père restait debout, le regard fixé sur le sol.

-Vous pensez qu'on peut rentrer ?, demanda Nash.

-Manquerait plus qu'on ait pas le droit, dit Louis en poussant la porte.

On s'avança tous dans la petite pièce. Mon père fonça au chevet de ma mère et lui prit la main. Elle avait toujours le même masque qui lui cachait le visage, mais dessous, elle avait considérablement pâli. J'avalais ma salive difficilement. La peur m'étreignait la gorge et je n'osais pas avancer comme tout le monde le faisait. Elle semblait si fragile...

-S'il te plaît Julia, ne nous laisse pas, dit mon père d'une petite voix.

Je crois que cette scène nous déchira tous le cœur en petits morceaux. Mon père semblait sur le point de s'effondrer mais gardait la face devant ses enfants. Comme un peu tout le monde ici.

Après plusieurs minutes de silence où tout le monde regardait ma mère, mon père se redressa brusquement, comme sorti de sa torpeur.

-On a des choses à faire. Il nous regarda puis se tourna vers notre tante. Si vous voulez rester, faîtes, nous devons passer à la maison voir pour récupérer deux trois trucs.

Elizabeth hocha la tête, et mon père sortit de la pièce. Harry, Louis et moi le suivirent en silence. Les mains dans les poches de mon sweat, je marchais tête baissée. Le même silence insupportable planait entre nous. On monta dans la voiture après 40 minutes de trajet, on fut devant la maison, ou du moins ce qu'il en restait. On descendit et les portes claquèrent. On s'arrêta tous en ligne pour observer l'ampleur des dégâts. Des gros morceaux de pierre étaient disséminer çà et là. On distinguait parfois un lit, une armoire, la télé ou des couverts. Louis s'avança le premier et se dirigea vers ce qu'il semblait être sa chambre. Il monta et faillit tomber sur les graviers instables.

-Fais attention mec, j'arrive, dit Harry en s'élançant à l'aide de son meilleur.

J'y allais avec lui car ma chambre n'était pas loin de celle de Louis. Faisant attention où je posais mes pieds, je me mis à chercher. Par miracle, je trouvais mon chargeur et ma commode n'était pas enfouie sous les décombres. Je cherchais un sac et trouvai mes cours, avec mon disque dur des sauvegardes des versions numériques. Avec ma chambre au premier étage, j'avais plus de chances de trouver mes affaires que les pièces au rez de chaussé. Je pris ma valise qui trainait parmi l'amas de briques, la dépoussiérai rapidement et mis un maximum d'habits et tout ce que j'avais trouvé dedans. Heureusement pour moi, j'avais réussi à reprendre le nécessaire : habits, chaussures et cours. On était dimanche et je ne sais pas si j'aurais le courage d'y aller demain, mais au moins c'était ça de ne pas perdu.

J'appelais Harry pour qu'il m'aide à ramener ma valise à la voiture et on retourna aider Louis. Il prenait un maximum de ses affaires et de celles de Nash dans ses valises qu'il avait lui aussi trouver. Ils soulevèrent un gros morceau de toit et manquèrent de tomber, ébranlant l'équilibre chétif des tas de cailloux que composait notre maison.

-Ça va ?, demanda Harry en tendant sa main à Louis.

-Oui c'est bon, dit-il en la prenant pour se relever. Continuons.

Ils descendirent les valises vers la voiture mais mon père n'avait toujours pas bougé. Il fixait la maison sans vraiment la regarder.

-Bart ?, demanda doucement Harry en passant devant son champ de vision pour se mettre en face de lui.

-Oui ?, dit-il en se réveillant soudainement, désorienté.

-Vous allez bien ? Vous n'avez pas bougé depuis les vingt minutes que nous sommes arrivés.

-Ah bon ? Excusez-moi les enfants, dit-il en reprenant son masque non affligé. Je vais faire un tour voir si je ne pourrais pas récupérer quelques choses, même si j'ai peur que ce soit en vain.

Il s'avança comme si de rien était vers les débris et commença à soulever des morceaux pas trop lourds. Les deux meilleurs amis se regardèrent d'un œil étonné avant d'aller aider mon père.

Pendant encore vingt minutes, ils soulevèrent des morceaux de pierre, réussissant difficilement à trouver des habits. Ils ramenèrent tout ce qu'ils avaient trouvé et on chargea la voiture. Derrière le volant, mon père prit la parole.

-On va voir à une agence pour trouver un appartement en location ?

-Je ne sais pas si sur Londres il y aura quelque chose, dit Harry. J'ai entendu aux infos que tout dans un rayon de dix kilomètres a été détruit. L'épicentre est à seulement un kilomètre de votre maison et tout le monde aura déjà loué le peu d'appartements libres. Si vous voulez, on peut vous héberger.

Heureusement pour lui, Harry habitait dans un quartier totalement à l'opposé du notre, à la périphérie du centre de Londres où seulement une ligne de métro passait.

-On va pas squatter chez toi..., commença Louis mais Harry le coupa.

-Attends, tu rigoles Tommo, vu le nombre de semaines voire de mois que j'ai passé chez vous, je vous dois au moins ça.

Face à cet argument, personne ne trouva rien à redire. Devant ce silence, Harry continua.

-Je vous indique la route, on va déposer les bagages et on retournera au chevet de Julia.

Harry dicta le chemin à mon père jusqu'à chez lui et en arrivant, sa mère sortit, le visage un peu affolé.

-Mon dieu, dit-elle en serrant son fils dans ses bras avant de se tourner vers nous. Harry m'a raconté et sachez que vous n'êtes pas du tout de trop et que l'on vous accueille avec plaisir.

-Merci beaucoup Mme. Twist, dit mon père en lui tendant la main.

-Y a pas de soucis, montez vos affaires, on va trouver un arrangement pour que tout le monde ait un lit pour bien dormir ce soir.

Après discussion, il fut décider que Louis dormirait avec Harry dans sa chambre, que je dormirais avec sa sœur Gemma, et que mon père dormirait dans la chambre d'amis. Alors qu'Anne, elle avait insisté pour qu'on l'appelle par son nom, était partie faire les courses avec sa fille, on décida, la boule au ventre, de retourner voir maman et d'apporter quelques affaires à Nash.

Je commençais à connaître le chemin pour y aller par cœur, tellement y aller était devenu mon quotidien. L'hôpital était excentré de Londres et mon père avait du s'arrêter pour faire le plein avant de reprendre la route. En arrivant, on trouva une place difficilement et on dut marcher longtemps avant d'arriver dans les grands bâtiments. Dans la chambre de maman, ma tante et mes cousins étaient partis mais Nash était toujours à son chevet, tenant sa main. Il releva la tête en nous voyant entrer et nous sourit faiblement.

-Alors ?, dit mon père en se mettant en face de Nash et en prenant l'autre main de sa femme.

-Rien n'a bougé depuis que vous êtes partis. Et tata vous embrasse.

Mon père hocha la tête et son regard se posa sur le visage de sa femme. Je m'approchais de Nash et posa une main sur son épaule et tout le monde contempla la femme que nous aimions le plus au monde dans ce lit d'hôpital, le visage toujours aussi anormalement pâle.

On est resté longtemps dans le silence, pour prier ou se recueillir. Puis quand ce fut insoutenable pour moi, je sortis, suivie de Louis et Harry.

-Désolée, je peux pas rester, ça fait trop mal.

-Je comprends, dit Louis, je commençais à me sentir oppressé aussi.

-On peut aller voir Justin si vous voulez, proposa Harry après un court silence.

-Bonne idée, répondit Louis, en espérant qu'il aille mieux que maman.

On s'enfila dans les couloirs et on arriva devant la porte. Harry toqua et on entra. La mère de Justin et Allie était là. Allie courut dans nos jambes. On la serra dans nos bras, et Louis la garda contre sa hanche alors qu'on s'approchait du lit. Les cicatrices qui barraient le visage du jeune homme avaient considérablement diminuées, restant encore le fantôme de quelques unes.

-Comment va-t-il ?, demanda Louis en serrant Allie contre lui.

-Ça va, répondit Katie. Il guérit incroyablement vite. Je ne sais pas si c'est étonnant aux vues de tout ce qu'il se passe ces temps-ci.

Allie s'agita dans les bras de Louis et il la posa sur le lit. Elle s'allongea à côté de son frère et posa sa petite main sur le plâtre. Sa maman continua.

-Les médecins ont dit qu'il montrait des signes de réveil : son coeur s'est accéléré et il n'a plus besoin d'assistance respiratoire.

-C'est une bonne nouvelle, soupirais-je. Enfin quelqu'un qui allait s'en sortir ou du moins, qui était sur la voie de la guérison.

-Oui, sa maman sourit. S'il se réveille, il aura le droit de sortir.

Rassurés, je sentais que les garçons étaient plus détendus.

-Est-ce que vous savez si Castiel est sorti ?, demandais-je.

Je vis Katie se raidir puis elle haussa les épaules.

-Non.

On toqua à la porte et Nash poussa la porte, passant difficilement avec son fauteuil roulant. Louis lui vint en aide et il se posa devant le lit de son meilleur ami.

-Alors mon pote, comment tu vas ?

-Il va bien, dit Katie en souriant et en lui expliquant la même chose qu'à nous.

Mon esprit était vers le jeune aux cheveux rouge sang. S'il était sorti, ou allait-il aller ? Comment allait-il ? Je devrais peut être aller voir mais vu la réaction de Katie, cela me semblait un peu inopportun.

On passa une petite heure au chevet de Justin. Sa maman était très douce et de très bonne compagnie. Puis on retourna voir ma mère. Il restait seulement quinze petites minutes avant la fin des visites. Je commençais à avoir faim, on n'avait pas mangé ce midi. Même si maman n'allait pas mieux, l'état de Justin m'avait un peu rassurée et avait enlevé la boule d'angoisse qui me barrait la gorge.

Pendant les dernières minutes, on discuta de Justin et mon père sembla lui aussi soulagé. Certainement se sentait-il un peu coupable de son état. Puis on sortit et alla dans la voiture. On fit le chemin jusqu'à chez Harry. Anne nous accueillit avec un sourire jusqu'aux oreilles.

-Alors, j'espère que vous avez faim !

Harry nous sourit, gêné. Anne nous poussa à table et on mangea comme des rois. Elle avait fait un énorme rôti de porc, avec plusieurs accompagnements et un pudding à manger parterre.

On sortit de table le ventre plein. J'avais les dents du fond qui baignaient et je montais difficilement les escaliers pour accéder à la chambre. Gemma me suivit et me tendit un sac. Je la regardais étonnée et elle rougit.

-Je me suis permise de regarder dans ta valise pour voir ce dont tu avais besoin..., à ses mots, elle rougit encore plus.

Ma mâchoire tomba et je la regardais encore plus étonnée.

-Excuse-moi, je n'aurais peut être pas du...

Devant mon manque de réaction, elle baissa son sac. Je sentis mes yeux se remplir de larmes et mon coeur d'une douce chaleur. Je savais d'où Harry tenait cette gentillesse maintenant, et cela me fit tellement plaisir. Elle avait touché là où elle n'aurait pas pu faire mieux.

Quand elle releva la tête, je la pris dans mes bras et explosai en sanglots.

-Merci Gemma, merci, dis-je en reniflant bruyamment.

-Hey, te mets pas dans cet état là, c'est rien !

-Nan mais c'est pas ça, sanglotai-je, ça me fait tellement plaisir, tu peux pas savoir. Vous êtes géniaux dans cette famille, merci d'être là, dis-je en essuyant mes larmes.

J'ouvris le sac et trouvais un peu de maquillage, du déodorant, du gel douche, du shampooing, de la crème, un pyjama car toutes mes affaires étaient pleines de poussière et même des petites boucles d'oreille fantasy.

-J'espère qu'elles te plaisent, dit-elle en désignant les bijoux.

-Elles sont géniales, merci.

Après m'être remise de mes émotions, j'allais sous la douche, emportant mon pyjama et les affaires de toilette que Gemma m'avait offertes.

En sortant, Anne passait avec une panière à linge sale et m'ordonna de lui donner mes vêtements pour qu'elle puisse les laver. J'enlaçais tout le monde avant d'aller me coucher.

Et pour la première fois depuis 48 heures, je m'endormis soulagée, le sourire aux lèvres.

Louis et Allie (je trouvais la photo trop mignonne *-*)
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Désolée pour le temps d'attente...
Pour la peine, un long chapitre de 3200 mots ;)

A bientôt

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