Le Clan Blackstone [tome1] Se...

By AmbrayGaming

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Tome 1 - SECRETS DANS L'OMBRE (Après le chapitre 10, pour accéder au 32 autres, il vous suffit de vous abonne... More

Prologue
Chapitre Premier
Chapitre Deux
Chapitre Trois
Chapitre Quatre
Chapitre Cinq
Chapitre Six
Chapitre Sept
Chapitre Huit
Chapitre Neuf
Chapitre Dix
Chapitre Onze
Chapitre Douze
Chapitre Treize
Chapitre Quatorze
Chapitre Quinze
Chapitre Seize
Chapitre Dix-Huit
Note de l'auteure
Chapitre Dix-Neuf
Chapitre Vingt
Chapitre Vingt et Un
Chapitre Vingt-Deux
Chapitre Vingt-trois - Première partie.
Chapitre Vingt-trois - Deuxième Partie
Let's play a game
Chapitre Vingt-Trois - Troisième et dernière partie.
Chapitre Vingt-Quatre - Première Partie
Note de l'auteur n•2
Chapitre Vingt-quatre - Deuxième partie
Chapitre Vingt-Cinq - Première Partie.
Chapitre Vingt-Cinq - Deuxième Partie
Q&A
Chapitre Vingt- Six - Première Partie
Chapitre Vingt-Six - Deuxième Partie
Chapitre Vingt-Six - Troisième Partie
Chapitre Vingt-Sept - Première Partie
Chapitre Vingt-Sept - Deuxième Partie
Chapitre Vingt-Huit - Première Partie
Chapitre Vingt-Huit - Deuxième Partie
Chapitre Vingt-Huit - Troisième Partie
Note de l'auteur n•3
Chapitre Vingt-huit - Quatrième Partie
Q&A " 2 "
Chapitre Vingt-Neuf - Première Partie
Chapitre Vingt-Neuf - Deuxième partie
Note de l'auteur n°4
Chapitre Vingt-Neuf - Troisième Partie
Note de l'auteur n°5
Chapitre Trente - Première Partie
Note de l'auteur n°6
Chapitre trente - Deuxième Partie
Chapitre Trente - Troisième Partie
Chapitre Trente-et-Un - Première Partie
Chapitre Trente et Un - Deuxième Partie
Chapitre Trente et Un - Troisième Partie
Note de l'auteur n°7
Chapitre Trente-Deux - Première Partie
Chapitre Trente-Deux - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Deux - Troisième Partie
Chapitre Trente-Trois - Première Partie
Chapitre Trente-Trois - Deuxième Partie
Chapitre Trente - Trois - Troisième Partie
Chapitre Trente-Trois - Quatrième Partie
Chapitre Trente-Trois - Cinquième Partie
Chapitre Trente-Trois - Sixième Partie
Chapitre Trente-Quatre - Première Partie
Chapitre Trente-Quatre - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Cinq - Première Partie
Chapitre Trente-Cinq - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Cinq - Troisième Partie
Chapitre Trente-Six - Première Partie
Chapitre Trente-Six - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Sept - Première Partie
Chapitre Trente-Sept - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Sept - Troisième Partie
Chapitre Trente-Huit - Première Partie
Chapitre Trente-Huit - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Neuf - Première Partie
Chapitre Trente-Neuf - Deuxième Partie
Chapitre Trente-Neuf - Troisième Partie
Chapitre Quarante - Première Partie
Note d'auteur
Note d'auteur n°9
Chapitre Quarante - Deuxième Partie
Chapitre Quarante - Troisième Partie
Chapitre Quarante - Quatrième Partie
Chapitre Quarante - Cinquième Partie
Chapitre Quarante et Un
Épilogue
Tome deux : SECRETS - Dans la lumière
Annonce : Tome Deux !!
!! IMPORTANT !!
NOTE D'AUTEUR n°10
WATTYS 2017
BANDE ANNONCE / TRAILER

Chapitre Dix-Sept

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By AmbrayGaming


      Je toque, ou plutôt martèle, sa porte. Je ne suis pas encore certaine de ce que je vais lui dire. J'hésite entre lui hurler dessus en exigeant des explications, ou bien les lui demander poliment. Dans les deux cas j'aurais l'impression de faire les choses de travers, de toute façon, pour lui, j'agis toujours de la mauvaise manière.

Mon souffle se bloque dans ma gorge quand j'entends la porte se déverrouiller. Je suis venue ici convaincue que c'était la bonne solution et maintenant je redoute de le voir. De quoi ai-je peur finalement ? Peut-être d'apprendre que je suis liée à lui plus étroitement que ce que j'imaginais. Je jette un dernier regard à la photo du tableau, que j'ai pris avant de venir ici, celui représentant le groupe de guerriers, avant de lever mes yeux vers le visage de Nathaniel. Visage qui ressemble à si méprendre, à un des hommes sur la peinture.

L'écossais semble surpris de me voir. Je rentre chez lui sans attendre son autorisation, le bousculant légèrement au passage. Puis, je lui tends mon téléphone.

— Vous pouvez m'expliquer pourquoi cet homme vous ressemble ?

Il observe longuement la photo. J'essaie de déceler une émotion, la moindre petite réaction, mais rien ! Cet homme porte un masque, et il est en acier trempé. Il m'est impossible de savoir ce qu'il pense, excepté dans le cas où il a son stupide sourire en coin. Là, je sais qu'il pense à des choses qu'on ne pourrait pas qualifier de catholiques.

— Vous n'êtes venus que pour me montrer une stupide peinture, ou ceci est une excuse pour vous inviter dans mon lit ?

— Aucune femme n'a le privilège d'entrer dans votre lit, vous avez été plutôt clair à ce sujet MacWood. Et quand bien même, il y a longtemps que j'ai cessé de vouloir coucher avec vous !

Menteuse, me réprimande mon ange.

Je le vois ouvrir la bouche pour répliquer mais il se ravise, quelques secondes plus tard, il me fait signe de le suivre. J'hésite un instant avant de l'accompagner. Nous avançons jusqu'à la porte en face de l'entrée, à droite d'un immense escalier en marbre blanc. De ce que je peux apercevoir, rien ne semble avoir changé. Il a toujours cette même décoration froide et impersonnelle. Comme pour la personnalité de Nathaniel le côté chaleureux n'est pas présent. Il sort une clé de sa poche et déverrouille la porte, je lève les yeux au ciel quand je le vois rentrer un code sur un petit boitier. Je demande sarcastique :

— Pourquoi toute cette sécurité, c'est ici que vous cachez votre humanité ?

— On peut dire ça, marmonne-t-il en entrant dans la pièce.

Je reste coite sur le seuil de la porte, de par ce qu'il vient de dire, mais également par le changement brusque de décor. Ici adieu le blanc, la peinture des murs est d'un rouge profond, et le mobilier est en bois brun et cuir sombre. Dans cette pièce rectangulaire, les deux plus grands murs sont recouverts, d'une part par une immense bibliothèque, d'autre part par de nombreux tableaux, dont quelques-uns se trouve être des croquis de Leonard Da Vinci, un homme qui m'a toujours passionné. Face à moi, le mur du fond est presque entièrement vitré, offrant une vue sur l'arrière de la propriété. Du regard, je suis Nathaniel qui s'arrête devant un bureau en bois massif. Il y dépose mon téléphone.

— Il n'existe aucune autre représentation de lui. Et cela fait bien trop longtemps que je ne l'avais pas revu, s'exprime-t-il d'une voix lasse. Pourtant je n'ai pas oublié son visage, aucun fichu détail. Il est comme imprimé sous mes paupières. Tout comme les images de cette putain de nuit !

Sur cette dernière phrase, sa voix est devenue grondante. Il sert les poings jusqu'à faire blanchir ses phalanges. Je m'avance vers lui pour poser ma main sur son épaule. À mon contact, ses muscles se relâchent, et ses paupières fermées avec force s'ouvrent doucement. Il tourne la tête vers moi et je suis surprise de lire du chagrin dans ses yeux. Mais ce dernier disparait rapidement, et son regard redevient aussi froid que de la glace. Qui est cet homme qui arrive à éveiller des émotions, non lié au sexe et au pouvoir, chez Nathaniel ?

J'aimerais le lui demander, or je m'en abstiens, même si c'est la raison première de ma venue. Le sujet paraît trop délicat et je ne peux m'empêcher d'être sensible à la peine qu'il semble éveillé chez Nathaniel.

Je glisse un doigt sur l'écran de mon téléphone, afin d'afficher la photographie de la femme.

— Au château, je suis aussi tombée sur ce portrait, savez-vous de qui il s'agit ?

Il regarde attentivement l'image, puis mon visage, et plisse le front.

— Vous devriez arrêter de fouiller ce vieil endroit, de nombreux fantômes hantent ce lieu.

— Savez-vous de qui il s'agit, oui ou non ?

— N'avez-vous pas peur des fantômes, Lass ?

— Je vous le dirais quand j'en croiserais un.

— Peut-être serez-vous morte avant de m'avoir donné ma réponse.

— Est-ce une menace, MacWood ?

— Oserais-je, Blackstone ?

— Vous n'...

Je m'interromps en comprenant de quelle manière il vient de me nommer.

— Ne prenez pas cet air surpris, commente-t-il. Vous savez très bien que vous faites partie de ce clan, tout vous ramène à eux. À moins que vous ne soyez encore plus stupide que je ne le pensais.

Il marque un bref silence, où j'ai envie de lui mettre une gifle, avant d'ajouter :

— Quant à la femme sur cette photo, je ne sais pas qui elle est. Peut-être une de vos ancêtres, certainement d'avant le seizième siècle.

— Je veux bien vous croire, mais comment savez-vous pour la date ?

— Je le sais, c'est tout.

— Comment ?

Il expire fortement, visiblement saoulé par mes questions.

— Parce que j'ai côtoyé chacun de vos ancêtres, de la fin du quinzième siècle jusqu'à nos jours. Et que cette femme n'en fait pas partie.

— Côtoyé ?

Il caresse doucement ma joue du bout de ses doigts, tout en se rapprochant dangereusement de moi. Son souffle caresse mes lèvres et je ferme instinctivement les yeux. Il répond d'une voix basse :

— Il y a de nombreuses choses que vous ignorez à mon sujet, ma belle. Ce guerrier sur le tableau était mon frère cadet, il est mort massacré devant mes yeux, et cela, au début seizième siècle.

Je suis assise sur un canapé Chesterfield en cuir noir, entourée d'une multitude de livres. En d'autres circonstances je serais déjà en train d'arpenter les rayonnages devant moi, ne sachant lequel de ces ouvrages j'ouvrirais en premier. Les mains tremblantes en parcourant la collection de manuscrits rédigés par Nostradamus, ou trépignante devant les journaux de Catherine De' Medici. Cependant, les circonstances actuelles font qu'ils resteront derrière la vitre qui les protège, et moi, gentiment assise à attendre les explications de mon hôte.

Nathaniel est assis sur un fauteuil en face de moi, il soupire en se penchant en avant. Les avant-bras posés sur les genoux, et les mains jointes, il m'observe. Je suis persuadée qu'il essaie de lire en moi, comprendre ce qu'il se passe dans ma tête. Honnêtement, je ne suis pas certaine de savoir moi-même ce qu'il s'y passe. J'hésite entre être choquée d'apprendre qu'il a plus de cinq-cents ans, ou me sentir barge de ne pas en être plus perturbée que ça. Puis après me vient une rasade de questions, dont une, sort du lot.

— Suis-je comme-vous ? Je veux dire, vais-je également vivre aussi longtemps ?

— Cela dépend de vous.

Je fronce les sourcils et il m'explique calmement :

— Cela dépend si vous désirez être comme moi, Lass. J'ai choisi et accepté ce côté animal, j'ai décidé de ne faire plus qu'un avec lui, voilà la raison de ma..., longévité. Cependant, je commence à me demander si vous n'êtes pas un peu trop humaine.

— Pourquoi cela sonne-t-il comme une insulte ?

— Les humains sont méprisables, crache-t-il. Même si dans votre sang coule celui des Blackstone, on vous a élevé comme une humaine. Une gentille petite idiote, douce et naïve, et je ne donne pas longtemps à votre joli cul si vous continuez de fourrer votre nez où il ne faut pas !

— Mon jolie cul vous dit d'aller vous faire foutre, MacWood !

— Avec plaisir, c'est une proposition que je ne saurais refuser. Il me semble en plus que nous n'avons jamais essayé ce genre de pratique, et j'ai toujours eu envie de vous prendre par là. Rien que de vous imaginer à nouveau à quatre pattes, devant moi, si docile...

Je ne le laisse pas terminer sa phrase et lui balance le premier objet qui me tombe sous la main. Il évite de justesse le vase, qui vient s'exploser en mille morceaux sur le parquet en bois. Nathaniel, le regard noir, se rue sur moi. En un temps record, je passe du luxueux canapé, au mur recouvert de tableaux. Il plaque son corps bouillant de rage contre le mien, me maintenant ainsi prisonnière.

— Je vais peut-être opter pour vous accrocher parmi eux, annonce-t-il en faisant référence aux nombreux tableaux. Libre de vous admirer, de vous toucher, de faire de vous ce que bon me semble.

Il enroule une main autour de ma gorge, tandis que de l'autre, il caresse ma poitrine, qui monte et descend rapidement, au rythme de ma respiration. Après s'être longuement attardé sur mes seins, il relève les yeux vers moi. Ils sont toujours noirs, mais la rage a laissé place à du désir. Je ne sais pas s'il se rend compte à quel point son regard est sexuellement explicite, j'ai l'impression de brûler sous celui-ci. Les évènements ont pris une tournure des plus torride, et aussi fou et mal que cela puisse être, j'ai envie d'aller plus loin.

Mon visage est en feu, j'ai le souffle court. Cela devient presque douloureux de sentir le tissu de mon débardeur frotter contre mes mamelons durcis.

— J'admire la bravoure, m'informe l'écossais, moins la stupidité. Me jeter se vase à la figure était une stupide erreur. Pour votre information il se trouvait être très ancien et très précieux. Et vous connaissez l'importance que je porte aux choses que je juge être de valeur, Lass.

Je ne réponds pas, de toute façon il ne s'agit pas d'une question. Nathaniel enfouit sa tête dans mon cou, puis prend une longue inspiration.

— J'ai toujours aimé le parfum de votre peau, frais et fleurit. Il en va de même pour votre goût, qui est tout autant exquis. (Nathaniel prend une nouvelle inspiration) Il y avait un pommier dans le jardin du château, je ne sais pas s'il s'y trouve encore, les pommes qui y poussaient étaient exquise. Délicieusement sucrées mais avec une touche d'acidulé, une merveille à croquer.

Il mord gentiment la peau de mon épaule, avant de remonter avec sa langue vers le point sensible sous mon oreille. Je ne peux réprimer un frisson de plaisir mais retiens un gémissement.

Nathaniel me regarde avec un sourire en coin. Je lèche mes lèvres devenues sèches, avant de mordre celle du bas. Cela ne dure pas une seconde avant que l'écossais n'écrase sa bouche contre la mienne. Je réponds avidement à son baiser, plongeant ma main dans ses cheveux pour en tirer ses boucles. Il grogne, et je me rends compte à quel point ce son incroyablement sexy m'a manqué. Son touché, la sensation de son corps contre le mien, il n'y a rien de sain à autant désirer une personne.

— Vous en avez envie, je le vois, dit-il en caressant la pointe durcie de mon sein droit.

Il me retourne violemment. Je suis à présent la joue contre le mur, les fesses contre son intimité. Il se presse contre celles-ci.

— Votre dos se courbe, vos reins se creusent, m'explique-t-il en traçant un chemin du bout de ses doigts, de ma nuque aux fossettes en bas de mon dos.

Je ressens une légère moiteur entre mes cuisses. Ma conscience me crie que tout ceci est mal, mon ange n'arrête pas de me supplier de m'éloigner de cet, ô combien viril mâle ! Malheureusement les sensations que Nathaniel éveille en moi, sont en train de briser mes dernières volontés de résister. Et la bête en moi s'en réjouit.

— Je veux savoir, murmure l'écossais, arrive-t-il à vous faire perdre la tête ?

Sa question me déstabilise. Elle me ramène aussi à la réalité. Durant tout ce temps, je n'ai pas une seule fois pensé à Liam, puisque nul doute que c'est de lui dont Nathaniel parle. La vérité serait de lui répondre, que c'est lui, et non Liam qui me fait perdre la tête. Qu'à chaque fois qu'il rentre dans une pièce, il occupe tout l'espace, vibrant et magnétique, effaçant le monde autour. Or je ne lui avoue rien, je ne veux pas lui donner cette satisfaction. Alors, je le pousse pour sortir de la pièce.

J'accélère mes pas en direction de la porte d'entrée, quand je l'entends qui me suit. Malheureusement je ne suis pas assez rapide, il m'attrape par le bras et me force à lui faire face.

— Qu'est-ce que c'était que ça ? Me questionne-t-il visiblement en colère.

— Je ne peux pas coucher avec vous alors que je suis avec Liam.

Il me toise quelques instants, avant de soupirer :

— Je sais.

Pour une fois il ne me corrige pas sur le fait qu'il ne couche pas, mais baise.

Il relâche sa prise sur mon bras, sans pour autant s'éloigner de moi.

— Passons un marché, propose-t-il.

— Je ne suis pas sûre que cela soit judicieux.

— Vous n'avez même pas encore entendue les termes de cet accord.

— Allez-y, dis-je dans un soupir.

Après tout, qu'ai-je à perdre à juste l'écouter ?

— Je vous aiderais à trouver les réponses que vous cherchez tant, à condition que je juge celles-ci importantes, juge-t-il bon de préciser. Et je vous enseignerais ce que je sais du clan Blackstone. En contrepartie vous arrêterez de poser vos questions à n'importe qui, et par conséquent de nous mettre tous en danger. Je vous demanderais également de m'aider pour mes propres recherches.

— Quel genre de recherches ?

— Pour les détails, nous y viendrons en temps et en heure. Acceptez-vous ?

Je mords ma lèvre inférieure, pesant le pour et le contre, mais la relâche subitement quand je vois le regard qu'il pose sur ma bouche. Je ne tiens pas à rejouer la scène précédente.

— Très bien. J'accepte.

Ma curiosité a pris le dessus sur mon bon sens. Je suis sans doute de nouveau impulsive, mais j'ai besoin des informations que Nathaniel détient.

— J'ai cependant deux conditions à ajouter.

— Le contraire m'aurait déçu, commente-t-il en souriant.

— Premièrement, vous respecterez le fait que je sois avec Liam. Deuxièmement, Luke doit en être, et ceci, et non négociable.

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