Middle School of NY, Vendredi 12 Avril 2006.
10h47.
La police ont débarqué sur les lieux quelque minute après, les élèves furent évacué du bâtiment, les parents d'élèves ont été appelés pour venir récupérer leur enfant, des parents ont été scandalisé par ce qui s'était produit.
Mais que c'est malheureux tout ça, c'est scandaleux, comment pouvez-vous garder un délinquant sexuel dans un établissement, c'est une honte. Un enfant mal éduqué. Pauvre petit.
Billy se faisait emmener par deux agents de police, acclamé par la haine des parents qui le maudissait, balançant leur haine sur lui.
Il esquissa un grand sourire au visage.
Placé le en prison !!!
Les deux policiers le placèrent à l'intérieur d'une des voitures de police.
À côté de cela, quelques officier de police essayait d'interroger le petit Tommy Hilfiger, il tremblait de tout son corps. Il ne pouvait prononcer aucun mot, aucune syllabes, traumatisé par ce qu'il lui est arrivé, il était protégé d'une couverture blanche et douce.
- Hé petit, Tommy Hilfiger, c'est ça ? demanda un policier se mettant à sa hauteur avec une voix calme.
- Tu pourrais nous raconter ce qu'il s'est passé ? demanda l'autre agent de police docilement.
- Tommy...
Le pauvre garçon resta fixe tremblotant, et perdue.
- Messieurs, vous voyez qu'il est incapable de parler après ce qu'il à vécu, rétorqua le père du petit.
- Tommy chéri, c'est maman. Messieurs s'il vous plaît vous devez nous aider, cet enfant doit aller en prison. s'écria la mère du petit. Il à 10 ans.
- Nous comprenions que vous êtes en détresse mais nous devons avoir des pistes, nous ne pouvons pas le placer directement derrière les barreaux, nous devrions requérir des informations précises, les témoignages du petit et interrogé le coupable arrêté.
- Vous ne le connaissez pas ? dit le père.
- Billy Sparks, si seulement vous le connaissiez, cet enfant est le cas le plus perturbant de ce collège ! Lorsque je vois des parents d'élèves ils me disent : « Ne laissé jamais vos enfants s'approcher de Billy !» « Ils ne sont pas en sécurité avec lui !»
Les deux policiers se regardaient d'un air inquiétant, une histoire à faire froid dans le dos.
- Alors ? Qu'allez-vous faire pour notre fils ? demanda le père tourmenté.
- Et bien, pour l'instant nous allons enquêté sur le cas de se jeune garçon, nous contacterons le père de celui-ci pour nous parler de ses agissements ; de son comportement et de la raison de cet incendie, répondit le premier policiers.
- Mais, le soucis c'est que l'on doit aussi interrogé le petit Tommy Hilfiger mais je doute qu'après ce qu'il lui est arrivé il n'arrivera à dire quelque mots et si vous voulez faire une poursuite judiciaire vous ne pourriez pas témoigner en faveur de votre enfant, répondit le second.
- Attendez quoi ! s'exclama le père offusqué.
- Vous... Vous n'allez rien faire ? répliqua la mère désespéré.
- Bien-sûr que nous allons vous aider mais si il ne parvient pas à parler ou bien même pire qu'il n'y ait eût aucun témoin pour le défendre nous ne pourrons rien faire.
- Non non ! Attendez il doit forcément y avoir une solution ! répliqua la mère.
- Moi je l'ai vu, s'écria Michael Franck se tenant devant eux. J'étais là quand ça s'est produit, je peux témoigner pour lui.
- V... Vraiment, répondit le père.
- Tu... Tu le peux, dit la mère s'approchant de Mike.
- Attendez, les deux policiers s'approchèrent du jeune Mike, se mettant à sa hauteur.
- Petit, comment est-ce que tu t'appelles ?
- Michael Franck.
- Pourrais-tu demander à t'es parents de venir s'il te plaît ?
- D'accord.
C'est alors qu'il se mit à courir à la recherche de ses parents.
Une autre personne courait vers une voiture de police, Charles Henry Sparks, courant pour trouver son fils. Courant entre les parents d'enfants, et la police.
Il s'arrêta un instant inquiet, essoufflé il regarda autour de lui, un peu plus loin, il vit une voiture de police, quelqu'un se trouvait à l'intérieur.
« Billy !!! »
Quand d'un coup, une personne se mit à bondir sur lui.
- C'est toi ! s'écria l'individu, lui donnant une pâté.
- C'est votre taré de fils qui fait du mal à mon petit frère ! hurla -t- il captivant l'attention des personnes autour.
- Je... Je vous demande pardon, répondit Charles bégayant et apeuré.
- Votre taré de fils à abusé de mon petit frère dans les toilettes !
« Hé ! Ça suffit lâcher le, lâcher le !!! »
Plusieurs policiers essayaient de le retenir pendant qu'il se débattait de toute ses forces, envahi par la rage et la tristesse.
Charles se releva, tenu par trois policiers, et virent tout les regards braqué sur lui.
C'est lui le père de William, Comment à -t-il pû élevé un enfant pareil. C'est honteux. Comment peut-il le regarder dans les yeux. Comment peut-on autant manquer d'éducation comme ça.
Il sentait, il pouvait savoir leur parole pleine de jugement par rapport à ce qui s'est passé.
- Monsieur... Je vais vous demander de nous suivre. Et il se mit à suivre les trois policiers jusqu'à une voiture. l'emmenant probablement au commissariat de police de New York.
Sous les yeux d'Elise, le visage fermé, monotone et perturbé par tous ce qui s'est passé ces derniers temps.
- Le pauvre petit, dit la mère d'Elise, comment peut-on enlever l'innocence d'un plus petit que lui. dit-elle d'un ton attristé.
Elise, les bras croisés, regarda la voiture où etait enfermé William. Le visage caché par ses longs cheveux, esquissant un long sourire au visage.
«Ce n'était que le début...»
Pourquoi est-ce qu'il ne l'ont pas renvoyé dès la sixième, c'est un danger publique.
« Bonjour, pouvons-nous vous demander ? » à demander le père et la mère de Michael Franck.
- Bonjour, en fait, nous voulions savoir, si il serait possible que votre fils pourrait témoigner en la faveur du jeune Tommy.
- S'il vous plaît, supplia la mère.
- Faites le, pour notre fils et de tout les autres élèves du collège, qui sait ce qu'il aurait pu faire à d'autres élèves, répliqua le père.
Les deux parents se regardèrent dans le blanc des yeux et acceptèrent, les deux parents du petit Tommy Hilfiger, les remercient du plus profond de leur cœur.