- Afinne. Elle se nommera désormais Altesse Afin, représentante du future de notre monde.
Le nom résonna dans toutes la cathédrale, choquant l'assemblée. Tous ne pensait qu'à Jadis, impartiale mais pouvant etre bonne, à son fort caractère à meme de briser des montagnes, à sa joie, son sourrire... Mais non, c'était la douce Affine, sourriante mais plus discrète, plus posée. Elle me jeta un regard étonné, presque paniquée.
-Ça va aller, lui murmurai je en la poussant vers l'estrade, soulagée.
La cérémonie finirait, et je serai assurée qu'elle serai heureuse. Qu'on serait heureuse.
-Je n'ai pas finit, affirma ma mère d'une voix tranchante. Jadis, quand à elle, partira dans la province d'Arashi, en tant que gouverneur, ainsi qu'exiler pour que sa soeur mene correctement sa mission, sans craindre... des réactions disproportionnés.
Si l'annonce précédente m'avais empli d'une douce chaleur, celle ci m'en vida pour laisser place à une peur sourde, vite suivi d'une colère aveugle. Comment osait elle ? j'inspirai un grand coup. Je ne pouvait pas provoquer un scandale. Je verrait ça plus tard.
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Pinçant les lèvres, je sortis de la cathédrales en tentant de me controler. Je sentait la colère bouillir en moi quand je montais dans la calèche.
- Au palais, dans mes batiments, orodnnais je au cocher.
Dès que je fus arriver, je me precipitai vers la chambre de ma soeur et tambourrinais à la porte.
-Afinne ! S'il te plaait, j'ai besin de te parler !
Un des gardes de la porte m'interpela :
- Son Altesse a été déménagée plus près des quartier de la reine.
-Je veux la voire. Faites lui passer ce message.
Et je retournai dans ma chambre Au bout d'une vingtaine de minutes de torture, le garde revint.
- Vous ne pouvez la voire. Elle refuse de vous parler.
-Comment ça ?! Je refuse d'y croire ! Elle ne le refuserait jamais ! démentis je.
-Arrète d'insister, ma fille ! hurla une voix reconnaissable entre mille.