Chronique De Fatima: Amoureus...

By ASTchro224

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👾Pas de plagiat 👾 Je suis amoureuse du fils, mais le père veut à tout prix être avec moi. Papa:tu es très... More

Présentation
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
chapitre 17
chapitre 18
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21
chapitre 22
chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
chapitre 26
chapitre 27
chapitre 28
chapitre 29
chapitre 30
chapitre 31
chapitre 32
chapitre 33
chapitre 34
chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
chapitre 38
chapitre 39
chapitre 40
chapitre 41
chapitre 42
chapitre 43
chapitre 44
chapitre 45
chapitre 46
Chapitre 47
j'en ai marre
chapitre 48
chapitre 49
chapitre 50
Epilogue
Important
hello

Chapitre 1

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By ASTchro224

Nb: Personne a le droit d'utilisé mon  œuvre, j'ai imaginé cette histoire moi_ même et j'ai passé des mois à l'écrire donc pas de plagiat et les gens qui aiment faire "copier-coller " prendre l'histoire des gens pour mettre sur Facebook c'est vraiment pas bien parce que la personne a pris des heures à l'écrire et vous venez utiliser sans son accord , c'est très mal je suis sûr qu'a la place de cette Personne vous n'allez pas aimer ce que tu n'aimes pas qu'on te fasse ne le fait pas à quelqu'un d'autre .

Donc je répète pas de plagiat
Et je ne vous autorise pas à utiliser mon oeuvre .

Merci et bonne lecture ♥️
ASTchro224
........................................................................

MAMAN, MAMAN !

Maman : Pourquoi tu cries mon nom comme ça Zahra ?

ZAHRA : J'ai faim.

Maman : Non mais tu ne connais pas la route de la cuisine espèce de folle ? Tu penses être un bébé ou quoi?

ZAHRA : Bien sûr je suis ton bébé, dis-je en mettant ma tête sur son épaule.

Elle a directement souri.

Maman : Va dans la cuisine, j'ai laissé ta part de nourriture. Et tu me laisses regarder ma série.

ZAHRA : Maman, toujours à regarder les séries alors que tu ne comprends même pas la langue.

Maman : Tchipp ce n'est pas tes affaires enfant impolie. Va manger et laisse moi tranquille.

Je me suis dirigée vers la cuisine comme une personne qui n'a pas mangé depuis des mois. Mais c'est normal la nourriture m'appelle et j'aime trop manger.

Moi : Vraiment délicieux, c'est pourquoi j'adore la cuisine de maman. Ça nous transporte dans un autre monde, dis-je en léchant mes doigts.

Ramatoulaye : Comme ça tu parles seule maintenant ? dit-elle en rigolant.

Moi : C'est pas moi ohh, c'est le riz de maman qui me fait delirer.

Ramatoulaye : Toujours aussi gourmande. Tu n'as pas vu Sarata ?

Moi: Elle est sortie depuis ce matin.

Ramatoulaye : Cette fille m'énerve wallah (je jure), elle passe son temps à porter mes affaires.

Moi : Qu'est-ce qu'elle a pris ?

Ramatoulaye : La chaussure à talons que j'ai achetée l'autre jour quand on est parties au marché. Je lui ai dit ce matin de ne pas prendre ça vu que je devais sortir avec ce soir, mais non elle n'écoute jamais.

Moi : Hum. Tu la connais elle ne fait que ce qui lui plait. Mais toi dis moi, tu sors avec qui ce soir ?

Ramatoulaye : Avec Aziz, tu as oublié ou quoi ? Je t'avais dit non ?

Moi : Oui c'est vrai. Attend que je finisse de manger, on va choisir les habits à te mettre.

Ramatoulaye : Désolée mais je ne vais pas t'attendre. Allez debout !

Elle m'a tirée de la chaise.

Moi : Mais Rama faut pas gaspiller la nourriture ! Et puis je ne suis pas rassasiée. S'il te plait laisse moi manger après on va partir.

Ramatoulaye : Non. Ma tenue avant la nourriture, dit elle en me poussant dehors.

Moi : Je vais dire à maman.

Ramatoulaye : N'importe quoi. De toute façon elle va rien me faire.

Moi : MAMAN MAM...

Elle a directement mit sa main sur ma bouche.

Ramatoulaye : Non mais tu es folle, tu veux qu'elle me tue ?

Voila elle rigole moins maintenant. Maman est une femme très douce et stricte à la fois. Avec elle on ne gaspille pas la nourriture, si tu joues avec ça elle t'egorge direct.

Moi : Voilà, tu disais que maman ne pouvait rien te faire non ?

Ramatoulaye : Tchipp tu la connais. À cause de ça elle peut même m'empêcher de sortir.

Moi : Bon comme je suis trop gentille allons-y. De toute façon, je suis trop indispensable dans ta vie.

Ramatoulaye : N'exagère pas non plus.

Une fois dans la chambre, j'ai fait sortir ses affaires de l'armoire pour pouvoir mieux choisir.

Moi : Essaie cette robe.

Ramatoulaye : Tu crois qu'elle m'ira ?

Moi : Heee Rama on est là pour ça. Si elle te va pas tu portes autre chose c'est tout.

Ramatoulaye : C'est bon insolente, dit-elle en portant la robe.

Moi : Je trouve qu'elle est très belle surtout avec la talon rouge .

Ramatoulaye : Oui c'est très joli. Et puis c'est le mois de l'amour donc le rouge serait parfait.

Moi : Ton Aziz va halluciner. S'il te demande pas en mariage aujourd'hui c'est qu'il est gay.

Elle m'a directement tapée dans le dos.

Ramatoulaye : Ne traite pas mon chéri de gay idiote.

Moi : Pourquoi tu m'insultes? Toi et moi savons qu'il ne te mérite pas. Avec sa bouche longue on dirait les souliers aurevoir la terre bonjour le ciel.

Elle a commencé à me frapper en m'insultant de tous les noms mais ça ne m'empêchera pas de dire ce que je pense.

Ramatoulaye : Fille mal éduquée comme ça. La prochaine fois je te couperai la langue, vilaine comme tes fesses.

Qu'est ce que je disais ?

Moi : Je suis plus belle que lui en tout cas, dis je en riant. Elle a encore recommencé à m'insulter.

Ramatoulaye : Je sais que tu n'as pas honte, le père et la mère de la honte sont tous morts pour te laisser.

Moi : C'est bon j'arrête. De toute façon on ne peut jamais blaguer avec toi.

Elle s'est couchée au près de moi.

Ramatoulaye : Tu sais Zahra j'aime beaucoup Aziz, mais j'ai l'impression qu'il ne veut pas s'engager avec moi. Ça fait 5 ans qu'on est ensemble mais il n'a jamais parlé de mariage et quand je commence à en parler, il s'énerve.

Moi : Je t'ai toujours dit qu'il n'est pas sérieux mais tu m'écoutes jamais. Laisse ce gars sinon tu vas souffrir pour rien.

Ramatoulaye : Je l'aime Zahra et c'est pas facile de quitter un homme avec qui on a passé 5ans de sa vie.

Moi : Je sais mais tu as 25 ans maintenant. Cherche un homme qui te fera avancer et non celui qui te fera rentrer toujours en arrière.

Ramatoulaye : A cause de lui Bintou ne me parle plus.

Je me suis directement levée.

Moi : Ne me dis pas que tu as laissé un homme te séparer de Bintou, vous aviez passé presque toute votre vie ensemble.

Ramatoulaye : Ne parle pas comme ça de lui on dirait un homme quelconque. C'est l'homme que j'aime.

Moi : D'accord mais est ce que lui, il t'aime ?

Ramatoulaye : Oui il m'aime.

Moi : Ok, si te convaincre toi même t'aide à te sentir bien vas y alors. Mais je vais te dire une chose, tu cours à ta perte avec lui et si c'est comme ça l'amour je n'en veux pas.

Ramatoulaye : Tu dis ça parce que tu n'es pas encore amoureuse.

Moi : Hum si tu le dis.

Ramatoulaye: Bref il faut que je me prépare maintenant il est 20 heures. Aide moi à me maquiller.

Je me suis donc occupée d'elle. Après le maquillage elle s'est habillée avec sa robe noire et rouge et une paire de talons rouges. Elle était vraiment belle. Dommage que cet homme ne la mérite pas.

Je l'ai prise en photo en l'accompagnant devant la porte.

Moi : Fais attention à toi. Et tu me gardes à manger.

Ramatoulaye : Tu ne penses qu'à manger toi.

Une fois dans la chambre j'ai commencé à manipuler mon téléphone quand j'ai senti la porte s'ouvrir. Et ce n'était personne d'autre que mon cher père.

Moi : Tu fais quoi dans ma chambre ?

Papa : Je suis venu te voir, ça se voit pas ?

Moi : Sort de ma chambre, dis-je énervée.

Papa : Pourquoi ?A ce que je sache c'est toujours ma maison.

Moi : Alors moi je m'en vais comme ça tu vas rester dans ta maison, dis-je en me levant du lit.

Il m'a attrapé la main pour ne pas que je sorte.

Moi : Lâche moi sale pervers.

Il n'a pas arrêté de me regarder en léchant ses lèvres.

Papa : Tu es si bonne et belle quand tu t'énerves.

Moi : Espèce de porc ! dis-je en le poussant pour qu'il me lâche.

Il a toujours été comme ça avec moi depuis petite c'est pourquoi je le déteste tant.

Etant enfant je l'ai considéré comme mon modèle, je l'aimais tellement jusqu'à ce que je découvre ses intentions envers moi. Il m'a jamais considéré comme sa fille mais comme une fille qu'on doit courtiser. Il est même allé jusqu'a me dévoiler ses sentiments.

Papa : J'aime quand tu me resistes et tu le sais, dit-il en voulant toucher mon visage.

La porte s'est ensuite ouverte sur son fils qui venait de débarquer sans frapper.

Hamid: Qu'est ce qui se passe ici ? dit-il en nous regardant.

Bonne lecture
ASTchro224

Nb: Personne a le droit d'utilisé mon  œuvre, j'ai imaginé cette histoire moi même et j'ai passé des mois à l'écrire donc interdiction de publier ici ou ailleurs.

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