Between Us - Marvel {Pietro M...

By Avengstark

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Que se passe t-il quand le personnage principal, celui censé tous nous sauver, se fait tuer brusquement dès l... More

1 ▪︎ Le jour où le monde a basculé.
2 ▪︎ Je te déteste.
▪︎ Cast ▪︎
3 ▪︎ Excursion (in)fructueuse.
4 ▪︎ Le début de la fin.
5 ▪︎ Une piste ?
6 ▪︎ Désespoir.
7 ▪︎ Lueur.
8 ▪︎ Épée de Damoclès.
9 ▪︎ Date butoir.
10 ▪︎ Mensonge(s) ?
12 ▪︎ Memento Mori.
13 ▪︎ Vérité.

11 ▪︎ Mickaela.

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By Avengstark

Les souvenirs discordants se superposaient et s'entrelaçaient pour former un nœud qu'on ne pouvait démêler.

Des rires d'enfants, des appels à l'aide, des images, des visages, des disputes, des larmes...

Une pièce floutée se mettait en place derrière la cacophonie qui n'arrêtait pas de lui taper les murs de sa mémoire. Puis un visage, un souvenir.

-C'est une promesse que tu dois nous faire, et te faire à toi-même, Charlie, dit la personne d'une voix presque inaudible.

La jeune femme pouvait encore sentir le choc qu'elle avait vécu à ce moment-là. Le sang collant sur ses mains. Ou alors datait-il de la veille ? Tout se superposait.

Un monstre. Voilà ce qu'elle était. Un monstre dont personne ne devait s'approcher.

Charlie le fixait les joues noyées de larmes.

-Mais...Mickaela..., tentait-elle de répondre. Et elle ne savait si c'était son souvenir ou elle aujourd'hui.

-Mickaela est morte.

Mickaela est morte.

Le sang sur ses mains semblait remonter sur son corps et son visage comme le jour où l'avenir venait d'être changé. Où elle avait fait quelque chose qu'elle n'aurait jamais dû.

Charlie recevait l'annonce ferme comme un couteau en plein cœur. Le sang sur ses mains apparaissait et disparaissait. Mais son expression restait la même. La culpabilité la rongeait.

Quand l'homme partait, Charlie tentait de le retenir, sans que son corps ne suive. C'était un souvenir, elle ne pouvait plus le changer.

Pourquoi n'avait-elle pas bougé ? Pourquoi avait-elle acceptée la sentence si calmement ?

Si ses pieds avaient bougés, si sa voix avait été portée pour le retenir, peut-être que l'histoire et ses mensonges ainsi que sa promesse ne seraient pas partis aussi loin.

Lorsque les rires derrière elle se faisaient plus forts.

Charlie se retournait, effaçant le premier souvenir pour faire face à un second qui prenait forme sous ses yeux, les voix provenaient de loin. Mais elle était là.

Héloïse était là, sur le siège passager. Et Charlie était assise au volant.

-Tu pourrais arrêter d'en rire, s'il te plait.

C'était l'aînée qui avait parlé. Mais Héloïse riait face à sa remarque en levant les yeux au ciel.

-Ça fait seulement quelques jours que je suis sortie d'Hydra, tu pourrais me laisser rire.

Charlie secouait la tête de droite à gauche en soupirant. Elle ne trouvait pas ce qu'il y avait de drôle sans pouvoir s'en empêcher. Alors que la jeune femme d'aujourd'hui souriait en voyant sa petite soeur. Elle voulait la serrer dans ses bras et lui promettre que tout irait bien. Mais son corps refusait d'obéir une nouvelle fois.

On ne peut pas changer le passé, même avec toute la volonté du monde.

-Je ne l'ai vu que de loin, mais je t'assure qu'il est pas comme les autres.

-Mais tu viens de me dire qu'ils ont choisi d'y aller.

-Seulement pour se venger, enfin de ce que j'ai compris. On entend pas mal de choses. Tu l'aimerais bien.

-Ça ne change rien.

-Et bien moi je le sais.

Un silence prenait place entre les jeunes femmes. Un silence un peu trop long pour qu'il soit habituel. Charlie jetait un coup d'œil à Héloïse qui la fixait déjà avec un sourire.

-Arrogant en plus. Ça te correspond bien, hein ?

Mais elle récoltait en simple réponse une petite bouteille d'eau qui traînait dans la figure, avant de se mettre toutes les deux à rire.

-Quand tu le verras à la télé, tu penseras à moi, ajoutait encore une fois la plus petite des deux avec un clin d'œil. Pietro Maximoff, fit-elle en faisant un cadre avec ses mains.

Puis elles riaient encore une nouvelle fois, avant que Charlie ne ressente une vive douleur dans les tympans. Un sifflement à les percer.

Pietro.

Pietro.

La jeune femme ouvrait lentement les yeux, assourdie par l'explosion qui venait de leur tomber dessus. De la poussière aveuglait l'endroit, la rendant inapte à se rendre compte de l'état des lieux.

Ça non plus, elle ne l'avait pas anticipé.

Par miracle, elle arrivait à sentir tous les membres de son corps. Mais le froid qui coulait du haut de sa temps lui indiquait le contraire. Sa tête avait prit. Charlie posait automatiquement sa main dessus et la retrouvait pleine de sang, mélangée à de la poussière. Elle clignait des yeux plusieurs fois pour oublier cette vision et enlever la porte qui lui était tombée dessus, non sans mal.

S'il l'avait écouté et qu'ils étaient partis d'ici, tout ça ne serait pas arriver.

La brune toussait fortement, au point où elle pensait ses poumons déchirés par la douleur avant de se relever en s'aidant des décombres.

Elle n'entendait toujours rien mais continuait de sentir les battements de sa tempe blessée.

-Pietro ! criait-elle dans l'espoir qu'il ne soit pas devenu momentanément sourd comme elle.

Quand elle vit une silhouette debout plus loin, toujours floue. Évidemment. Puisqu'elle avait perdue ses lunettes.

La jeune femme se dirigeait vers la silhouette, qui elle-même se dirigeait vers Charlie en faisant de grands gestes incompréhensibles. Oui, c'était bien lui. La jeune femme soupirait de soulagement. Quand Pietro arrivait, la brune vit qu'il était aussi dans un sale état, mais au moins vivant. Seulement, il continuait de parler, ou crier dans le vide.

-J'entends rien ! criait-elle en montrant ses oreilles que Pietro vit pleines de sang. C'était sûr qu'elle n'allait rien entendre dans cet état.

Et dire qu'il avait paniqué quand il s'était relevé. Il avait bien cru que Charlie était morte. Mais non, elle se tenait là, face à lui. Il sentait un poids se retirer. Pourquoi fallait-il qu'il continue de s'inquiéter pour sa vie après tout ça. Il se frappait mentalement.

-Pourquoi tu m'écoutes jamais ?! continuait-elle.

Quoi ?

-Remets pas la faute sur moi ! Si "tu" avais parlé on n'en serait pas là !

Mais malgré ses grands gestes toujours autant incompréhensibles, Charlie ne comprenait rien. À son avis, ce ne devait pas être quelque chose de sympa. Avait-il au moins assimilé quand elle lui avait dit être sourde ?

-Je comprends rien mais c'est ta faute, alors arrête de crier !

-Ma faute ?! Je suis seulement-

Pietro arrêtait sa phrase, voyant une ombre massive venir vers eux à travers la poussière. Forcément, à force de crier.

Et cette ombre n'était pas là pour faire beau.

Il jurait en prenant le bras de Charlie pour lui faire comprendre de courir. Lui ne pouvait pas les emmener plus rapidement. Une de ses jambes avait été transpercée par les décombres. Il se détestait de ne pas être capable de l'abandonner.

-Qu'est-ce que tu fais ?!

-Bouge !

-Mais je te comprends pas espèce d'idiot !

La jeune femme se libérait de la poigne de Pietro quand elle sentait son téléphone vibrer dans sa veste. Parce qu'il était encore en vie, lui ?

Charlie sortait le téléphone et paniquait en voyant le numéro. Le S.H.I.E.L.D.

Ils étaient dans une de leurs vieilles bases, bien sûr qu'ils allaient être au courant.

Et par-dessus le marché, elle n'entendait toujours rien.

Rien n'allait.

Elle décidait de décrocher tout de même, tout en continuant d'avancer pour fuir ce qui les suivait. Charlie n'avait pas le choix. Le téléphone collé à son oreille, elle n'entendait rien d'autre que des grésillements venant de très, très loin. Alors il fallait improviser. Elle ne pouvait pas les faire venir. Il y avait Pietro. S'ils l'attrapaient il irait directement en prison. Charlie ne pouvait pas lui faire ça.

Non, vraiment pas lui.

-Non, ce n'était pas moi. Fausse alerte tout va bien.

Des grésillements plus forts se faisaient entendre. C'est sûr qu'elle était très crédible.

Soudainement Charlie se rendait compte. Elle avait lâché Pietro.

Il ne l'avait pas rattrapé.

La jeune femme relevait la tête rapidement et tournait autour d'elle comme si cela pouvait l'aider. Mais rien à faire.

Pietro avait disparu.

En vitesse elle raccrochait au nez de son possible patron. La panique prenait une plus grande place.

-Pietro ! criait-elle une nouvelle fois.

Mais rien, pas un mouvement dans la poussière. Pas de silhouette. Personne.

Aors qu'elle allait se remettre à courir, elle n'eut le temps de ne faire un mouvement. Un objet lourd lui tombait sur la tête. Son corps tombait sous le choc, et la dernière chose qu'elle vit avant de sombrer fût une brique jetée au sol.

▪︎▪︎▪︎

Tac...

Charlie fronçait les sourcils face au son désagréable.

Tac...

Faites que ça s'arrête...

Tac...

La brune ouvrait les yeux plus difficilement que plus tôt. Elle avait l'impression de sentir sa rétine brûler. Ses poumons lui faisaient mal, tous ses membres étaient engourdis.

Tac...

Elle ne pouvait pas bouger, et comprenait vite pourquoi. Ses mains étaient liées dans le dos de la chaise sur laquelle elle se trouvait, et ses pieds également.

Tac...

Charlie relevait la tête -un peu trop rapidement- et failli vomir. Le monde tournait un peu trop pour elle. L'explosion lui revenait en mémoire, puis la brique. Du sang avait coulé de son visage, tachant ses habits de rouge. Elle ne doutait pas que ses cheveux ne contenaient plus une seule once de sa couleur brune.

Quant enfin elle découvrait le son. Les gouttes d'eau qui tombent. Elle connaissait ce son. Elle connaissait cet endroit. Elle connaissait ces murs, ce sol. Elle connaissait la noirceur sans lumière extérieure.

L'endroit où Mickaela était morte.

Charlie devait sortir d'ici. Elle avait perdu son téléphone. Le poignard qu'elle avait gardé était hors d'atteinte. Mais...pas les clefs de la voiture.

Les clefs qu'elle s'était promise de garder.

Et elle avait eu raison.

Alors Charlie s'aidait de ses pieds pour se pencher. Elle dû s'y prendre à deux reprises avant de toucher les clefs dans la poche arrière et de les récupérer en soufflant profondément. Elle n'avait plus aucune force, son corps était épuisé, la brune ne savait même pas comment il ne pouvait pas lâcher. Cela pouvait arriver d'un moment à l'autre. Probablement l'adrénaline.

La jeune femme commençait à prendre le côté dentelé de la clef pour tenter de couper la corde qui maintenait ses mains quand elle entendit du bruit dans le bâtiment, plus loin. Un bruit violent. Charlie se dépêchait à bout de force de couper sa corde, quand après plusieurs longues minutes, elle cédait.

La brune soufflait une nouvelle fois en ramenant ses poignets vers elle. Ses mains étaient couvertes de sang. Mais elle se forçait à ne rien penser. Le vide complet.

Charlie rangeait les clefs pour prendre le poignard et couper plus rapidement ses liens aux chevilles avant de le glisser à sa taille. Puis ne prit pas plus de temps pour se lever, mais voyant flou, et sa tête faisant tourner tout autour d'elle. Si elle connaissait cet endroit par cœur, actuellement, Charlie n'avait plus aucun repère.

Alors elle s'aventurait dans le bâtiment, une main devant elle comme pour garder l'équilibre au début, et éviter de se prendre un mur. Elle arrivait enfin à sortir de la pièce pour atteindre le couloir. Couloir qu'elle aurait aimé vite ne jamais voir.

Des cadavres étaient éparpillés absolument partout. Le manoir était devenu un cimetière, et plus seulement celui de Mickaela, mais aussi de tous ces innocents. Une nausée la prit et elle cru qu'elle allait sincèrement vomir face à cette vue et l'odeur de la mort qui venait à elle.

Avec autant de vitesse qu'elle pouvait le faire, Charlie partait s'accroupir vers un cadavre et reconnue l'uniforme. Des agents du S.H.I.E.L.D que Fury avait sûrement envoyé à leur recherche.

Et voilà où ils en étaient. Ils étaient tous morts. Par sa faute. Encore une fois.

Elle se sentait comme une tueuse en série. Toutes les personnes qui lui viennent en aide ne repartent jamais vivant.

Charlie frissonnait de peur quand un prénom lui vint en tête.

Pietro.

Elle devait le retrouver. Il ne devait pas mourir, il ne pouvait pas mourir. La panique montait encore un peu plus alors qu'elle se mettait à courir dans les couloirs et les pièces à sa recherche. Pas lui. Mais tout ce qu'elle vit étaient des morts. Des morts absolument partout.

La mort de Mickaela a provoqué tout ça. Et elle en était responsable. Tout était de sa faute. Elle tenait leurs cœurs dans ses mains. Ses mains qui étaient désormais aussi tachées de leur sang.

Après avoir parcouru une bonne partie du manoir, Charlie se laissait basculer sur le mur, toujours debout, pour reprendre sa respiration.

Elle n'avait pas le temps de se poser. La brune devait encore trouver Pietro. Il ne pouvait pas se trouver parmi les morts.

La jeune femme s'apprêtait à reprendre son chemin quand un bruit lourd venant dans la pièce face à elle fit irruption. Et elle comprit aussitôt que ce n'était pas Pietro quand la même silhouette massive de tout à l'heure se dressait devant elle et lui mit un coup du revers de la main qui la fit tomber sous le choc.

Sa vision floue n'aidait pas, mais il s'agissait d'un homme aux vêtements étrangement délabrés. Nous pourrions presque croire qu'il venait d'ailleurs. Sa peau tendait légèrement vers le verdâtre. Jamais elle n'avait vu un être pareil.

Mais surtout, que faisait-il là, et pourquoi les avait-il emmenés ?

Toujours sonnée, Charlie ne le vit pas brandir sa lance pour la planter dans sa cuisse gauche et ainsi l'empêcher de bouger. Un cri violent de douleur et de désespoir s'échappait. La douleur était insupportable. Elle avait l'impression que sa jambe allait être arrachée d'un moment un l'autre.

C'est alors qu'elle comprit. Elle ne sortirait pas d'ici vivante.

L'homme se penchait vers elle la main en avant tandis qu'elle fermait les yeux aussi fort qu'elle le pouvait dans l'espoir que le moment passe plus vite.

Mais avant qu'il ne puisse l'atteindre, quelque chose venait lui foncer dessus pour l'éloigner.

Ou quelqu'un.

Charlie ouvrait les yeux avec stupeur quand elle le vit.

-Pietro...

Lui aussi ne ressemblait plus à rien et était à bout de force. Mais il était venu. Avec la même fatigue et chancelant, il lui lançait un sourire qui se voulait rassurant, lui-même soulagé d'enfin la retrouver après ces longues minutes à errer dans les couloirs.

-Tu l'as pas vu venir celle-là.

Cette petite phrase la fit sourire à son tour. Non, elle ne l'avait pas vu venir. Mais le voir ainsi vivant la soulageait énormément. Pietro était vivant. Elle faisait attention à ne pas laisser ses émotions prendre le dessus cette fois-ci quand il s'approchait pour retirer la lance plantée dans sa jambe, et qu'elle senti ses yeux s'embrumer. Au contraire. Elle serrait les dents pour ne pas hurler une deuxième fois, tandis que du sang commençait à sortir de la plaie.

-Ça va aller ? demandait-il en la regardant une fois l'arme reposée.

-Et toi ?

Ils n'avaient rien pour faire un garrot ou empêcher le saignement. Ce qui les inquiétait tous les deux à la vue du sang qui s'écoulait. Le silence de Pietro face à sa question était aussi étrange. Mais ils prirent sur eux pour le moment, et le jeune homme passait un bras autour d'elle pour l'aider à se relever alors qu'elle en passait un autour de son cou. L'autre maintenant sa propre jambe blessée.

-Merci...

-Tu me dois encore des explications, tu sais Charlie, dit-il ironiquement. Parce que ce n'était clairement pas le moment. La sauvait-il vraiment pour avoir les informations en sa possession ? Il n'en était plus très sûr. Penser ça serait se mentir à lui-même.

Aucun des deux ne se lâchait, se tenant l'un à l'autre pour ne pas tomber, et trop effrayés à l'idée de se perdre une autre fois.

Pour faire face une énième fois à l'homme encore une fois devant eux, son arme à la main. Et aussi calmement que ça, pointant sur Charlie, prêt à lui transpercer le cœur.

-C'est terminé, dit-il de sa voix grésillante.

-Arrête, continuait Pietro comme si cela pouvait servir à le stopper dans son geste, alors qu'il maintenait Charlie qui était presque en apnée.

L'homme se mit alors à rire, d'un rire tout aussi rauque que sa voix en regardant Charlie d'un œil mauvais, rempli de dégoût.

-Ta Charlie ne t'a donc rien dit ?

La brune tournait légèrement la tête pour regarder Pietro, qui lui-même la fixait avec incompréhension. Comment pouvait-il savoir quoique ce soit ?

-C'est elle Mickaela.

Et elle doit mourir aujourd'hui.

▪︎▪︎▪︎

Hello Hello !

Voilà voila ! Que dire ? C'est la merde ? Oui probablement.
Voilà la promesse gardée, la clef de cette histoire. Mickaela était depuis tout ce temps sous vos petits yeux. Charlie est Mickaela.
Mais comment ? Pourquoi ? Son histoire ?
Et bien vous saurez cela très bientôt petits nébulien.ne.s.

J'espère que ce chapitre vous a plu !

Bonne journée !

▪︎▪︎▪︎

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