L'oiseau en cage (Doflamingo X reader)

Chapitre 1

Fait important :

(Y/N) = ton prénom

(L/N) = ton nom de famille

(S/N) = ton surnom

(I/N) = Nom de ton île

(C/C) = couleur de cheveux

(C/Y) = couleur de yeux

(C/P) = couleur préféré

(S/C/P) = Style de Combat préféré (avec arme)

Tu es la princesse de ton île

Ton île était en guerre avec Desrosa jusqu'à récemment.

Tu hais Doflamingo.

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Tu es assise sur le bord de la fenêtre de ta chambre, ton front contre les barreaux et tes mains sur tes genoux. Tu porte de longs pantalon noires tellement large que tu semble être 5 fois plus grosse avec une veste (C/P) qui donne la même impression. Tu as décidé de te maquiller de sortes que tu sois défiguré malgré ta beauté qui faisait tomber tous les hommes de ton île.

Pourquoi? Hé bien la narratrice aurait dû commencer par là : Tu es actuellement enfermé dans le château qu'à volé Doflamingo. Ce dernier avait lancé une guerre contre ton île et ce, jusqu'à ce que tes parents, le roi et la reine de/d' (I/N), échangent la paix contre ta main pour ce satire. Pourtant, toi, tu préfèrerais mourir que d'être sienne. Tu préfèrerais que ton peuple soit décimé, arme à la main, que de te vendre a cet homme.

Et pourtant, te voilà dans ta nouvelle chambre, alias la troisième depuis que tu es arrivé. Comme tu t'étais mis en tête que tu ferais en sorte qu'il brise lui-même le mariage, tu as décidé d'être une sale garce. Donc la première chambre t'as semblé trop illuminé et trop haute, puisqu'elle est au quatrième et quand ils t'ont mis dans la deuxième, tu t'es enfuis par la fenêtre, comme elle était au sous-sol. Maintenant, tu es dans une chambre avec barreau à la fenêtre et ta porte est ouverte, mais gardé.

Toi : Si seulement il avait trouvé un autre moyen de garantir la paix que de me voler... Sale pirate de pacotille...

Tu grogne et regarde le sol à plus de 100 mètres en dessous de toi, puis tu peste de nouveau, te rappelant que tu ne pourrais pas t'enfuir ainsi de toute façon. Tu n'as pas mangé de fruit du démon, même si tu es une experte en (S/C/P) et que personne ne peut te battre a cela, ce n'est pas ce style de combat qui te permettrait de résister a une tel chute.

Tu soupire de nouveau, alors que tu entends des pas approcher. Des pas que tu commence à connaître. Tes yeux ne peuvent s'empêcher de lever au ciel, alors que tu entends le petit ''Toc'' qu'il fait toujours avant d'ouvrir la porte. Tu vois ses ballerines bleu marines en premier, puis une partie de ses jambes poilus avant de voir ses pantalons trois quart aux motifs de girafes roses avec sa ceinture rouge et bleu. Sa chemise blanche pas du tout boutonné, montrant son torse musclé et bronzé attire ton attention, puis ce que tu hais le plus chez lui : Son manteau de plume rose bonbon. Il aura beau avoir ses lunettes de soleil rouge pour cacher son regard bleu et pour faire refléter ses cheveux blond, tu trouvera toujours ce style ridiculement stupide. La mode n'a jamais été ton truc, mais tu as quand même un minimum de goût vestimentaire.

Toi : Je n'ai jamais rien vu d'aussi laid de toute ma vie...

Doflamingo : Dommage, tu sera pris a voir ce manteau toute ta vie...

Toi : Je parlais de ton visage...

Doflamingo : Ça aussi, tu seras prise avec le restant de tes jours!

Toi : Cette vie sera courte

Tu lève les yeux au ciel, puis tu fixes celui qui détient la clé de ta vie en soupirant, ton regard noir ne le quittant pas. Il te fixe quelques secondes, puis il rigole, te disant qu'il doit régler la paperasse en lien avec votre mariage, ce qui te fait pester et tu le laisse partir. Te retrouvant nouvellement seule, tu soupires, puis tu cherches un nouveau moyen de le faire chier. Ton regard (C/Y) se pose sur une tige de métal, puis sur les draps de ton lit. Une idée germe dans ta tête et te fait sourire sadiquement. Tu décides de littéralement détruire tes draps et le matelas avec la tige de métal, puis tu crée une corde les retailles, puis l'attache après ton arme de fortune. Tu frottes le bout contre la pierre devant un autre bout de tissu en boule dans lequel se trouve de la mousse du matelas et des plumes de l'oreiller et qui est attaché au centre de la tige pour rester fermé. Dès que des étincelles touchent la tissu, celui-ci commence a prendre feu et tu te dépêche de sortir le baluchon pour le faire lentement descendre jusqu'à ce qu'il arrive a la pièce en dessous. Une fois l'objectif atteint, tu joue avec la corde qui pend pour faire rentrer la flamme dans la pièce. Tu lâche la corde accidentellement, mais tu sourit en voyant que le feu continue de prendre dans la pièce.

Tu entends les gens paniquer, puis tu entends les pas devant ta porte s'éloigner, ce qui te fait sourire. Une nouvelle opportunité! Tu ouvres la porte et sort discrètement, descendant les marches le plus silencieusement que possible. Tu arrive aux portes de la sortie pour... foncer dans un des gardes qui soupire et t'attrape avant même que tu ais le temps de faire un mouvement.

Toi : Hey, merde!