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Fanny : Bon mtn on a fini viens me parler

Je lève les yeux en l'air et me pose à l'arrêt de bus.

— Quand t'aura fini ton boucan là tu me dit

Elle commence à s'attacher les cheveux et à se rapprocher de moi.

Je rigolais à sa gueule carrément ça faisait tellement pitié pardon mon bus il arrive dans 8 min cousine je veux pas le rater deh.

Tout le monde l'a attrapé et ça commençait à chauffer zehma.

Elle m'insultait de partout je répondais même pas je rigolais seulement puis là elle a commencé à insulter ma mère..

Fanny : Lachez moi elle m'a trop prise pour sa boufonne je vais lui niquer sa mère la pute cette grosse folle

— Oui d'accord si tu veux madame mais parle pas de ma mère stp

Fanny : Je parle de ta daronne tu vas faire quoi ?

— Fanny billaye parle pas de ma mère

Fanny : Ta mère la grosse pute y'a quoi mtn arrête de faire la ouf pour rien viens seulement.

De là je me suis levé et je lui ai décollé une grosse patate je l'ai vraiment mise de toute mes forces tout le monde a crier tellement ils étaient choqué. Moi même j'étais choquée mdrr.

Elle m'avait trop cherché tu peux m'insulter autant de fois que tu veux j'en ai rien à foutre mais parle pas de ma mère ça m'atteint directement ça je peux pas me retenir face à ce genre de parole sah.

Je lui est mis un chassé et elle est tombée au sol j'étais déchaînée j'ai commencer a me déchaîner sur elle mais ça a duré à peine 30 sec je me suis sentie soulever violemment comme un sac d'oignon.

Je voulais mettre toute ma haine sur elle j'étais à deux doigt de lui resauter dessus mais Moha voulait grave pas me lâcher.

— Moha lâche moi ptn

Il rigole et m'emmène plus loin

— C'est drôle là peut être ?

Moha : Je savais pas t'étais une boxeuse toi

— T'es pas marrant Moha lâche moi

Moha : Nan si c'est pour aller la frapper c'est bon.

— Vas-y lâche moi là j'ai trop été patiente avec elle maintenant elle se permet d'insulter ma mère. Billaye lâche moi je rigole pas avec toi.

Moha : Pk tu pleures wesh

— Moha lâche moi c'est tout

Moha : Viens viens

Il serre ma tête dans ses bras et me dit de pas pleurer.

Il m'emmène un peu plus loin et essaye d'apaiser les tensions.

Moha : wAllah pleure même pas wsh c'est une vieille meuf en plus tu la botté

Hawa - À chacun son chacunWhere stories live. Discover now