Mon Alpha.

Chapitre 46: Une Alpha comblée.

- Non, elle vous va parfaitement, répond la plus jeune des vendeuses, qui affichais une mine surprise. 

Je me doutais que c'était probablement l'une des premières fois où elles ne devaient pas retoucher la robe. Lily repart se changer un sourire combler sur le visage.
On va à la caisse et les femmes emballent la robe, dans une boîte aux couleurs de la boutique. 

-  Ça vous fera 1.890$

Je manque de tomber, devant le prix exorbitant de la combinaison ! Lily elle ne semble même pas tressaillir et sors son chéquier, les riches vivent vraiment dans un monde différent du nôtre. On quitte la boutique quand le soleil commence à ce coucher. On marche quelques pas en direction d'une ruelle qui ne mène probablement à rien. Je me stoppe et Lily me coupe, je me tourne vers elle avant de lui sourire gentiment et d'ajouter : 

- Lily tu veut venir chez nous. . . heu. . . .chez Damen.

Elle me fait un sourire en coin et je me sens obliger de lever les yeux au ciel suite à cette phrase muette qui voulait tout dire. Elle prend un air désolé et je sens déjà venir la réponse, ses lèvres pulpeuses s'ouvrent avant de prononcer un :

- Bien sur ! 

Je souffle un rire, prends mon téléphone et appelle son, frère qui me sert de petit-amis. 

- Allô Nils ? 

- Oui, Lily vient à la maison tu veut cuisiner ou on ramène le repas ? 

- Nan, on préparera quelques choses.

- D'accord alors on te rejoint ! 

- Je t'aime, la voix de Damen si proche de mon oreille créée un frisson.

- Moi. . . moi aussi. 

On raccroche et je rentre accompagné de Lily ainsi que de ça sublime combinaison. Je ne toque pas et ouvre directement la porte, je tombe sur Damen assis sur le canapé sirotant un verre de vin, à le voir comme ça on ne supposerait pas qu'il serait à la tête d'une multinationale. Je me retiens de rire et range la robe de Lily dans un endroit sur le temps du dîner. Je me rapproche de Damen et prends le verre qu'il tient entre ses doigts, j'en bois une gorgée et embrasse sa joue. 

- Tu viens m'aider à cuisiner ? 

- Je t'attendais voyons.

On se lève et on part dans la cuisine suivie de Lily qui elle s'assoit sur les chaises entourant l'îlot central. Damen et moi commençons un plat improvisé et Damen semble plus intéresser par Léon qu'il ne l'avait laissé sous-entendre plutôt. 

- Et ce Léon il a quel âge ? La questionne Damen. 

- 26 ans, répond simplement Lily. 

- Son emploi ? 

- Auto-entrepreneurs. 

- Sa famille ? 

- Pas de frère et sœur sa mère et morte à l'âge de 5 ans et son père travaillent pour une entreprise qui vend de l'électronique. 

- Son passé  ? 

- Il a eu une petite-amis, il a faits ses études dans des établissements tout à fait convenables.

Damen semble à court de questions et je vois bien qu'il s'inquiète pour sa sœur. 

- Tu le connais depuis quand ? Demandais-je. 

- Je sors avec lui depuis 4 ans. 

Damen écarquille les yeux et semble furieux. 

- Quoi ! Tu ne me la jamais dis, pourquoi ? 

- Pour éviter des interrogatoires et je tiens à te dire que moi, contrairement à certains, je suis assez doué pour ne pas me faire remarquer.

Je rigole silencieusement. 

- Peut-être mais toi tu n'es pas la patronne d'une multinationale. 

Lily ne trouve rien à rétorquer et je finis ce que je devais faire pour ensuite y mettre au four. On s'assied sur le canapé et Lily me montre des photos de mon petit-amis plutôt embarrassantes. Prise de loin et souvent lorsque Damen dort. 

- Ho mon dieu je veux celle-là ! Dis-je. 

Damen est complètement dans les vapes et semble défoncé dans une tenue du lycéen basique. Malgré la qualité de la photo qui a été prise d'un vieil album de famille on reconnais clairement Damen. 

- Je ne savais pas encore ce que je voudrais faire dans la vie, s'explique-t-il. 

- Je vois ça ! J'éclate de rire à la seconde photo encore pire. 

On reste concentrée les photographies jusqu'à ce qu'un son aiguë traverse tout l'apertement, Damen et mois nous regardons et fonçons jusqu'à la cuisine ou un début d'incendie ravage la cuisine luxueuse de Damen. 

- Nils l'extincteur ! 

À suivre . . .