Mon Alpha.

Chapitre 39: La fin de soirée.

- Moi aussi mais ça n'a aucun rapport, à son tour d'éclater de rire. 

Nous observons la vue pendant de longues minutes, sans parler ma tête poser sur l'épaule de Damen, laissant nos yeux admirer la beauté du paysage, ce qui est vraiment reposant. 

- Tu veut rentrer ? Demande Damen.

- Oui. 

Je descends du balcon, Damen lit nos mains et nous quittons le premier étage. 

- Vous partez ? Nous interrompt Lily. 

- Oui, il est tard, dis-je.

- Il n'est qu'une heure du matin ? 

- On travaille nous, ajoute Damen. 

Je comprends la perche lancer à sa sœur et on quitte la maison. Nous allons à la voiture difficilement repérable au vue de sa couleur: Noir. Je monte dedans et Damen démarre direction chez lui. Maintenant que j'y pense je vais de moins en moins chez moi, je reste de plus en plus chez Damen, un petit souris se dessine sur mes lèvres. On arrive chez nous, on monte et je remarque la petite fille de la dernière fois jouant dans le couloir de notre étage. 

- Coucou Lyse, dis-je. 

Son regard se pose sur nous.

- Les super-héros ! 

Elle fonce vers nous. 

- Ça vas-toi ? Demande Damen. 

- Ouiiii ! nous sourit la petite blonde, Vous êtes allé sauvez le monde ? Comme superman. 

Je retiens un rire. 

- Évidemment ! Réponds Damen, j'ai sauvé plusieurs fois le monde ! 

Les yeux de la petite semblent parsemés d'étoiles. 

- Tu ne la dis à personne ? Ajoutais-je.

- Juste à mon amie Daisy ! 

Elle nous tend une poupée qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. 

- Alors fais attention à ce que Daisy ne dit rien ! Dis-je. 

- Promis ! 

Elle se retourne et cours de long en large le couloir. 

- Tellement mignon, lâchais-je. 

Je sursaute sous la petite tape sur les fesses que vient de me faire mon brun. 

- Toujours pas envie d'un bébé  ? 

Je ris. 

- On as eu cette conversation il y a à peine trente minutes. 

- Je sais, je sais je t'embête. 

- En parlant de bébé il faut que j'aille voir un médecin.

- Pourquoi ? 

Je lève les yeux au ciel le faîte que Damen n'est pas une mémoire très précise n'est pas une légende. 

- Je te rappelle que tout t'haleur nous n'avions pas de préservatifs et que si j'attends un enfant on l'apprendra rapidement par un médecin mais pas pour moi, mon corps ne changera que vers la fin de la grossesse. 

Un souris narquois vient se dessiner sur son visage. 

- Peut-être devrais-je recommencer pour être sûr ?

Je ris mais il libéré soudainement ses phéromones qui me font régir de suite, je me sens encombrer à l'entre jambes, ce qui semble plaire à mon brun qui affiche un sourire. Je me tourne rapidement vers lui et une seconde salve me fais lâcher un gémissement pendant que je mets à haleter. Mais j'entends le rire de la petite blonde.

- Damen arrête, il y a Lyse ! 

- Je sais, mais c'est une bêta elle ne ressent rien de ce que je te fais. 

Je rougis subitement et ça devient de plus en plus compliqué de rester calme, je mords ma lèvre inférieure en tentant de garder mon sang-froid mais malgré ma résistance et malgré tout je  commence à me laisser aller et j'ai bien trop peur de me mettre à marcher car j'ai l'impression que je pourrais m'effondrer. 

- Da. . . Damen arrête, dis-je avec difficulté. 

- Comment veux-tu que j'arrête quand tu fais une tête aussi sexy, sérieusement ! 

Il m'attire chez nous et m'embrasse, libérant ces phéromones ce que je fais aussi. Il retire mon haut et recolle ses lèvres au mienne, et malgré le manque de romantisme dans ses mouvements je ressens tout le désir qu'il ressent pour moi, sa langue joue à la mienne. Je me retrouve sur le canapé, et ne me pose pas la question du comment, trop concentré à ne pas le déshabiller sur-le-champ. Damen qui lui est déjà au-dessus de moi. Je retire son haut et commence à déboutonner rapidement son pantalon. Damen attrape mes mains qu'il remonte au-dessus de ma tête, il récupère ma cravate noire qu'il noue autour de mes poignets et je me rend compte, trop tard, que je suis immobilisé. 

- Reste sage, Nils, me dit-il d'une voix suave.

- Quoi ? 

À suivre . . .