Chapitre 2: Le courrier est arrivé

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*Vous pouvez admirer la photo de la lettre faite par moi même*😂

-Maman ?

-Oui Ari ?

-Maman, je... 

-Que ce passe-t-il ? Pourquoi ce n'est pas Jinko qui appelle ?

La petite fille en pleurs, tenait le  combiné dans ses mains tremblantes.La voix hésitante, elle était soulagé de s'être souvenu du numéro de sa mère, elle le lui avait appris en cas de problème.

Et la, c'était un gros problème...

-Maman, j'ai fait une bêtise...

-Chérie, qu'est-ce qu'il y a ?

Au ton de sa voix on pouvait voir son inquiétude.

En éclatant en sanglot,elle dit a sa mère ce qu'il se passer.

-Maman, Jinko ne se réveille pas. Il est tout  blanc, Viens s'il-te-plaît !

-...

-Maman ?

-J'arrive, j'appelle les pompiers, bouges pas.

Malgré son ton calme, Anka paniquait tout autant que sa fille. Jinko ? Qui bouge pas et qui est tout pâle ? N'est-ce pas là définition d'un enfant pour... Non, ça ne pouvait pas être ça. Il ne pouvait pas être mort. Qu'est-ce qui aurait provoqué ça  ? Ou alors... Qui ? Non. Pas Ari. Ari n'est qu'une petite fille. Elle adore son frère, comment aurait-elle plus faire ça ?

Malgré sa conclusion, cette option resta encrée dans sa tête au feux rouge même lorsqu'elle rentra chez elle en urgence.
Son mari au volant dépassait largement la limite de vitesse indiquée...
Elle l'avait appelé tout de suite après les pompiers...Qui d'ailleurs les suivaient de près !

Arrivé devant la maison M.Suzuki freina d'un coup. Ils sortirent et courèrent jusqu'au palier a la quatrième vitesse.

En montant dans les escaliers,ils entendirent des sanglots.

Anka ralentit, et s'arrêta devant la porte d'où venait les sanglotements.
Elle ouvrit complétement la porte déjà entrouverte.

Et elle tomba sur le pire cauchemar possible.

Sa fille était agenouiller devant son fils.

Immobile.

Pâle.

Elle et son mari allèrent le voir.

Devant le cadavre de Jinko, Anka commença a pleurer. Elle s'écarta et vomissa.

Quel était le pire possible pour une
mère ?

Anka avait toujours fait de son mieux pour ses enfants.

Comme toute mère amante elle les chérissait du plus profond de son coeur.

Elle vivait pour ses enfants.

Mais la.

Il était mort.

Mort.

Ari,qui jusque là était dans une sorte de transe sembla enfin se rendre conte que ses parents étaient la.

Ses yeux et ses mains dégagaient une lueur verte.

Elle se tourna vers sa mère mais celle-ci semblait omnibuler par le cadavre de Jinko.
Elle se tourna alors vers son père. Mais quand elle s'approcha de lui. Il s'écarta d'un bond en arrière.
Il était pâle des goutes perlaient sur ses joues et il avait les yeux écarquillés.

Ari SuzukiDove le storie prendono vita. Scoprilo ora